"Je n'ai aucun regret" a indiqué l'universitaire dans des propos rapportés par l'AIP. Car, tenait-t-il à préciser, "ma détermination est totale. Elle est d'autant plus totale qu'elle n'a pas fait le choix d'une négociation pour m'appeler, c'est une décision".
Cette adhésion devrait-t-elle être interprétée comme un repentir de la part du président de l'université Charles-Louis de Montesquieu, lui qui avait porté de vives critiques contre la situation démocratique dans son pays ? À moins que les choses aient évolué positivement en ce sens depuis, l'on s'interroge sur les motivations réelles de cette adhésion.
R.A