L’organisation par la Côte d’Ivoire de la COP15, constitue, le prolongement d’un engagement constant de ce pays dans la recherche de solutions contre la dégradation du sol. La lutte contre la désertification et la sécheresse constituant une priorité nationale dans le choix des politiques de développement socio-économiques.
La COP15 sera également l’occasion pour la Côte d’Ivoire et pour l’ensemble des pays de sensibiliser aux solutions et à la nécessité de réhabiliter les terres dégradées. Selon le président du comité d’organisation de la Cop15, Abou Bamba, 60% des terres cultivables sont dégradées en Côte d’Ivoire. Ce qui entraine la baisse de la productivité agricole et de la croissance économique, ainsi que la vulnérabilité de la femme rurale. Au demeurant, un tel événement ne saurait se tenir sans que le pays hôte n’en bénéficie convenablement. Pour cela, l es retombées de cet événement pour la Côte d’Ivoire seront palpables aux sortir de ces 12 jours de travaux .
Selon Abou Bamba, président du comité d’organisation de la COP15, Ce rendez vous mondial favorisera non seulement des retombées économiques pour le pays, mais aussi facilitera l’attraction des investissements étrangers directs dans le domaine de gestion des terres et des sols et la promotion de l’agriculture durable. « Plus de 5000 personnes seront présentes dans la capitale ivoirienne pendant deux semaines. Effectivement, ces personnes vont dépenser leurs ressources en devises fortes, dans tous ces secteurs là qui auront soufferts de la crise de la Covid-19. Ceci leur permettra de rebondir du fait de la présence de ces délégués dans notre pays. En deuxième phase nous aurons les effets économiques à long terme c’est à dire dans le cas du financement des initiatives agricoles (Abidjan Legacy programme) ce vaste programme de restauration et de réhabilitation des sols dégradés en Côte d’Ivoire dans le but d’augmenter la production agricole. »
La COP15 sera également l’occasion pour la Côte d’Ivoire et pour l’ensemble des pays de sensibiliser aux solutions et à la nécessité de réhabiliter les terres dégradées. Selon le président du comité d’organisation de la Cop15, Abou Bamba, 60% des terres cultivables sont dégradées en Côte d’Ivoire. Ce qui entraine la baisse de la productivité agricole et de la croissance économique, ainsi que la vulnérabilité de la femme rurale. Au demeurant, un tel événement ne saurait se tenir sans que le pays hôte n’en bénéficie convenablement. Pour cela, l es retombées de cet événement pour la Côte d’Ivoire seront palpables aux sortir de ces 12 jours de travaux .
Selon Abou Bamba, président du comité d’organisation de la COP15, Ce rendez vous mondial favorisera non seulement des retombées économiques pour le pays, mais aussi facilitera l’attraction des investissements étrangers directs dans le domaine de gestion des terres et des sols et la promotion de l’agriculture durable. « Plus de 5000 personnes seront présentes dans la capitale ivoirienne pendant deux semaines. Effectivement, ces personnes vont dépenser leurs ressources en devises fortes, dans tous ces secteurs là qui auront soufferts de la crise de la Covid-19. Ceci leur permettra de rebondir du fait de la présence de ces délégués dans notre pays. En deuxième phase nous aurons les effets économiques à long terme c’est à dire dans le cas du financement des initiatives agricoles (Abidjan Legacy programme) ce vaste programme de restauration et de réhabilitation des sols dégradés en Côte d’Ivoire dans le but d’augmenter la production agricole. »
Il s’agit ici de 1 milliards de dollars dont 560 milliards de FCFA qui vont être investi dans l’économie agricole ivoirienne afin de créer les emplois pour les jeunes dans le secteur agricole et dans tous les métiers concernant l’agriculture.
Garantir à la descendance, un monde bien meilleur
« Terres, vie, patrimoine d'un monde précaire vers un avenir prospère » c’est le thème retenu pour cette édition de la COP 15. De l’avis du ministre de l’Environnement et du Développement durable, Jean Luc Assi, les engagements de la Côte d’Ivoire s’inscrivent dans la perspective de l’atteinte de l’ODD qui vise à « Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité. »
Les préparatifs vont bon train pour cet événement qui se tiendra au Sofitel Ivoire d’Abidjan. Elle comprendra une cérémonie d’ouverture de haut niveau comprenant des chefs d’Etat , des tables rondes et des sessions de dialogue interactif entre ministres et autres hauts fonctionnaires présents. Changer les conditions de vie des populations en zone rurale en les sortant de la précarité, créer des emplois dans le secteur agricole, tels seront les axes que la Côte d’Ivoire défendra, tout ceci pour garantir à la descendance un monde bien meilleur.
Garantir à la descendance, un monde bien meilleur
« Terres, vie, patrimoine d'un monde précaire vers un avenir prospère » c’est le thème retenu pour cette édition de la COP 15. De l’avis du ministre de l’Environnement et du Développement durable, Jean Luc Assi, les engagements de la Côte d’Ivoire s’inscrivent dans la perspective de l’atteinte de l’ODD qui vise à « Préserver et restaurer les écosystèmes terrestres, en veillant à les exploiter de façon durable, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité. »
Les préparatifs vont bon train pour cet événement qui se tiendra au Sofitel Ivoire d’Abidjan. Elle comprendra une cérémonie d’ouverture de haut niveau comprenant des chefs d’Etat , des tables rondes et des sessions de dialogue interactif entre ministres et autres hauts fonctionnaires présents. Changer les conditions de vie des populations en zone rurale en les sortant de la précarité, créer des emplois dans le secteur agricole, tels seront les axes que la Côte d’Ivoire défendra, tout ceci pour garantir à la descendance un monde bien meilleur.
Edithe Valerie Nguekam.