Visiblement, les assurances données par les autorités Ivoiriennes relativement à l’application impartiale de la justice ont du mal à convaincre au contact du terrain. Selon cet avocat international, ‘’Il y’a une immixtion de l’exécutif dans les procédures judiciaires. C’est évidemment une violation flagrante de la séparation des pouvoirs’’. La FIDH tire la sonnette d’alarme : ‘’Il faut que l’état se ressaisisse et mette l’accent sur la reconnaissance et la réparation des victimes’’, car rappelle son vice-président, ‘’2020 a démontré que les violences reprennent très vite… C’est l’impunité qui rend ces crimes possibles. Or, la Côte d’Ivoire fait face à des échéances électorales importantes en 2025. Le temps presse pour que le processus de réconciliation soit véritable, avec une vraie réparation et une réconciliation inclusive avec les victimes’’.
Les partis d’opposition le décrient constamment, mais dans la rue, on le chuchote. La justice Ivoirienne est ‘’trop corrompue’’ comme l’indique RFI dans son article sur le sujet. La FIDH vient de jeter un pavé dans la mare. Cette sortie d’Alexis Deswaef fera peut-être tâche d’huile pour libérer la parole en Côte d’Ivoire.
R.A
Les partis d’opposition le décrient constamment, mais dans la rue, on le chuchote. La justice Ivoirienne est ‘’trop corrompue’’ comme l’indique RFI dans son article sur le sujet. La FIDH vient de jeter un pavé dans la mare. Cette sortie d’Alexis Deswaef fera peut-être tâche d’huile pour libérer la parole en Côte d’Ivoire.
R.A