Le président tchadien Idriss Deby
Portrait du nouvel homme fort de Ndjamena, Mahamat Idriss Déby
Mahamat Idriss Déby Itno est le président du conseil militaire de transition de la république du Tchad et le fils de l'ex-président Idriss Déby Itno
Mahamat Idriss Déby Itno est le président du conseil militaire de transition de la république du Tchad et le fils de l'ex-président Idriss Déby Itno
Le général Mahamat Idriss Déby Itno à Kidal
Juste après l’annonce de sa mort à la télévision nationale, Un conseil militaire est mis sur pied pour une période de 18 mois. Le nouvel homme fort du pays s'appelle Mahamat Idriss Deby Itno, fils du défunt président Idriss Deby. Ses premières actions ont été la dissolution du gouvernement et celle de l'assemblée nationale.
Jusqu’à sa nomination, fin janvier, au poste de commandant en second des Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), le benjamin des généraux tchadiens était moins connu que son frère, Zakaria Idriss Déby Itno, directeur adjoint du cabinet civil à la présidence. Mais son père a toujours veillé sur lui. C’est la mère du chef de l’État qui l’a élevé. D’où son surnom : Mahamat Kaka – kaka signifiant « grand-mère » en arabe tchadien. Le jeune homme a d’abord suivi les cours du Groupement des écoles militaires interarmées du Tchad. Puis il s’est inscrit en France, au lycée militaire d’Aix-en-Provence – où il n’est resté que trois mois. Dès son retour au pays, son père l’a versé dans la Direction générale de service de sécurité des institutions de l’État (DGSSIE), la garde présidentielle.
Quel avenir pour le Tchad et la sous-région Afrique centrale après le décès d’Idriss Deby Itno ? Va-t-on assister à une succession de type monarchique comme au Gabon ? Et si c'était un coup d'Etat à la Kabila père au Tchad ?
Biographie
Élevé par la mère du chef de l’État, il a pour cette raison comme surnom Mahamat Kaka (kaka signifiant « grand-mère » en arabe tchadien).
Le jeune homme a ensuite suivi les cours du Groupement des écoles militaires interarmées du Tchad puis a fait un bref passage au lycée militaire d'Aix-en-Provence. Dès son retour au pays, son père le verse dans la Direction générale de service de sécurité des institutions de l'État (DGSSIE), la garde prétorienne du régime.
En mai 2009, il participe à la bataille victorieuse d'Am-Dam contre une coalition rebelle menée par Timan Erdimi, dans l’est du Tchad.
Dès 2010, il reçoit au sein de la DGSSIE le commandement de l’escadron blindé et des gardes du corps. En 2012, il est ensuite nommé à la tête du groupement numéro 1 de la DGSSIE (sur trois groupements), chargée de la sécurité du palais présidentiel.
En 2013, il est nommé au poste de commandant en second des Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), dans le nord du Mali, sous les ordres du général Oumar Bikomo, mais en serait le chef officieux.
Abidjan4all.net
Jusqu’à sa nomination, fin janvier, au poste de commandant en second des Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), le benjamin des généraux tchadiens était moins connu que son frère, Zakaria Idriss Déby Itno, directeur adjoint du cabinet civil à la présidence. Mais son père a toujours veillé sur lui. C’est la mère du chef de l’État qui l’a élevé. D’où son surnom : Mahamat Kaka – kaka signifiant « grand-mère » en arabe tchadien. Le jeune homme a d’abord suivi les cours du Groupement des écoles militaires interarmées du Tchad. Puis il s’est inscrit en France, au lycée militaire d’Aix-en-Provence – où il n’est resté que trois mois. Dès son retour au pays, son père l’a versé dans la Direction générale de service de sécurité des institutions de l’État (DGSSIE), la garde présidentielle.
Quel avenir pour le Tchad et la sous-région Afrique centrale après le décès d’Idriss Deby Itno ? Va-t-on assister à une succession de type monarchique comme au Gabon ? Et si c'était un coup d'Etat à la Kabila père au Tchad ?
Biographie
Élevé par la mère du chef de l’État, il a pour cette raison comme surnom Mahamat Kaka (kaka signifiant « grand-mère » en arabe tchadien).
Le jeune homme a ensuite suivi les cours du Groupement des écoles militaires interarmées du Tchad puis a fait un bref passage au lycée militaire d'Aix-en-Provence. Dès son retour au pays, son père le verse dans la Direction générale de service de sécurité des institutions de l'État (DGSSIE), la garde prétorienne du régime.
En mai 2009, il participe à la bataille victorieuse d'Am-Dam contre une coalition rebelle menée par Timan Erdimi, dans l’est du Tchad.
Dès 2010, il reçoit au sein de la DGSSIE le commandement de l’escadron blindé et des gardes du corps. En 2012, il est ensuite nommé à la tête du groupement numéro 1 de la DGSSIE (sur trois groupements), chargée de la sécurité du palais présidentiel.
En 2013, il est nommé au poste de commandant en second des Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), dans le nord du Mali, sous les ordres du général Oumar Bikomo, mais en serait le chef officieux.
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COMMUNIQUE DE PRESSE N°0010/B.E/2021
Haut Commandement des Forces de la Résistance Nationale
Après Wour, Zouarké, Zouar, Gouri, Zigueï, une erreur d’aiguillage a retardé quelque peu la marche victorieuse des Forces de la Résistance Nationale vers N’Djaména. C’était le samedi 17 avril 2021. Cette erreur d’aiguillage étant réparée, les Forces de la Résistance Nationale ont repris leurs marches pour l’Alternance et la Concorde au Tchad très tôt le dimanche 18 avril 2021. Cette marche se poursuit, victorieuse, toujours victorieuse encore au moment où nous mettons sous presse ce communiqué.
Le rappel brutal à l’ordre de nos vaillants combattants était hier et aujourd’hui d’une rare violence et intensité ; au point que, les agresseurs de la conscience du peuple tchadien, venus dans le Kanem par un seul chemin, en sont repartis par sept chemins différents en direction d’on ne sait où, laissant derrière eux des centaines de cadavres, des blessés et prisonniers.
Nous avons pris l’engagement de ne pas exhiber le corps de nos frères tombés et les visages tuméfiés de ceux que nous avons fait prisonniers. Et ce, par respect aux morts, respect à leur famille et par crainte d’Allah en ce Saint mois de Ramadan. Cependant pour ne pas laisser libre cours à la propagande mensongère des Cavaliers de l’Apocalypse tchadien du MPS, voici la liste nominative des officiers supérieurs tués, portés disparus, blessés et en fuite.
Liste des généraux tués ou disparus.
1. Le Général Brahim Alawahid, tué
2. Le Général Adoum Houna Nassour, tué
3. Le Général Ali Mahamat Djouma, tué
4. Le Général Kerim khamis, mort
5. Le Général Mahamat Saleh Arim, porté disparu
6. Le Général Herey, porté disparu
7. Le Colonel Souleymane Manane, mort
8. Le Général Taher Erda, blessé et en fuite
9. Le Colonel Idriss Deby Itno, blessé et en fuite
10. Le Colonel Yesko Youssouf Boy, blessé
11. Le Général Ousman Bahr Mahamat Itno, blessé
12. Le Général Mahamat Souleyman, blessé
13. Le Général Issa Ali Lougouma, blessé
14. Le Général Digo Souleyman, blessé
15. Le Général Ibrahim Mahamat Souleyman, blessé.
Plusieurs officiers supérieurs restent à identifier.
Fait à Paris, le 19 avril 2021
Kingabé Ogouzeïmi de Tapol
Coordinateur politique chargé de la communication.