"Nous mettrons tout en œuvre pour qu’à moyen terme l’industrie de la mode puisse prendre toute sa place … Car elle peut générer de nombreux emplois, développer l’économie et faire rayonner le pays à travers le monde. C’est un secteur stratégique et pourvoyeur d’emplois. Il peut contribuer fortement à l’insertion professionnelle des jeunes et surtout des femmes » Avait lancé le premier ministre Ivoirien Patrick Achi il y a quelques mois au cours d’un déjeuner d’échanges à la Primature avec les stylistes et modélistes.
Premier incubateur des métiers de la mode en Afrique de l’ouest, Grain de Mode vient confirmer ces dires en restructurant à travers ce centre les fondamentaux des métiers de la mode. Il permet aujourd'hui au personne qui se lance dans la mode d’accomplir leur rêve, de surcroit, il vient combler un vide dans la formation professionnelle. Le constat fait souvent dans le secteur est que les établissements forment les jeunes dans les métiers techniques et professionnels, mais ne donnent pas des rudiments pour devenir entrepreneur. Plusieurs diplômés se retrouvent dans le marché de l’emploi, sans véritables qualifications et sans connaître les rouages de leurs métiers, ils viennent ainsi grossir le rang des chômeurs. C’est fort de ce constat amère que la promotrice Mme Michèle Okei a bien voulu mettre sur pied cet incubateur innovant. Un centre d’oasis où tous les assoiffés de mode se donnent rendez- vous pour soit se performer après une première formation dans la mode, soit pour apprendre les rudiments du métier. Ici, une stratégie de formation particulière sur la mode y est enseignée.
Pour faire de ce centre un lieu par excellence d’apprentissage des stratégies de valorisation et de mise en pratique de la formation reçue à l'école, Mme Michèle Okei n’a pas lésiné sur les moyens pédagogiques et techniques.
« On a recruté les consultants qui vont leur apprendre à parler en public, à travailler sur les réseaux sociaux, à créer leur marque. Ils leur apprendrons également la gestion, l’informatique. Ils vont se familiariser aussi avec la création des dessins par ordinateur, et seront pendant 12 mois coachés par des consultants que nous prenons dans divers domaines d’activités qui vont leur refaire leur formation, mais d’une autre manière. » A expliqué la promotrice du Centre.
Dans cet incubateur, les pensionnaires vont apprendre les rudiments de l’entrepreneuriat, ce qui a pour but qu’à leur sortie, ils soit aptes pour s’auto-employer et vivre de leur métier.
Pour faire de ce centre un lieu par excellence d’apprentissage des stratégies de valorisation et de mise en pratique de la formation reçue à l'école, Mme Michèle Okei n’a pas lésiné sur les moyens pédagogiques et techniques.
« On a recruté les consultants qui vont leur apprendre à parler en public, à travailler sur les réseaux sociaux, à créer leur marque. Ils leur apprendrons également la gestion, l’informatique. Ils vont se familiariser aussi avec la création des dessins par ordinateur, et seront pendant 12 mois coachés par des consultants que nous prenons dans divers domaines d’activités qui vont leur refaire leur formation, mais d’une autre manière. » A expliqué la promotrice du Centre.
Dans cet incubateur, les pensionnaires vont apprendre les rudiments de l’entrepreneuriat, ce qui a pour but qu’à leur sortie, ils soit aptes pour s’auto-employer et vivre de leur métier.
L’auto entrepreneuriat pour mieux vivre de son métier
En moyenne, se sont près de 15 apprenants par an qui viennent se former dans cet incubateur de mode. Parmi ces derniers Karel Fodjo qui rêve d’être une styliste modéliste reconnue à l’échelle internationale comme Pathé O et Eli Kouamé « Ici, j’apprends assez. Je me spécialise dans la confection des vêtements, pour grande industrie, j’apprends à faire des dessins assistés par ordinateur (DAO), et aussi à la main. J’essaye de me former à la gestion d’une entreprise. Mon plus grand rêve c’est d’être influente dans le domaine de la mode et être reconnue mondialement. Surtout, pouvoir être à la tête d’une multinationale en vêtements »
Aujourd'hui ils sont nombreux ceux qui ont pu monter leur business dans le secteur de la mode. Grâce à l’incubateur Grain de mode. L’engagement du gouvernement à faire de l’industrie de la mode et du design, l’une des plus dynamiques du continent, en soutenant les acteurs du secteur n’est plus à démontrer.
Au- delà de cet incubateur qui se veut ambitieux, la promotrice de grain de mode entend favoriser le développement de l’industrie de la mode dans le secteur en Côte d’Ivoire et dans la sous –région. Fort de ce qui semble prometteur, Michel Okei prévoit mettre sur pied des incubateurs sur l’esthétique, la coiffure la cordonnerie et bien d’autres domaines d’activités.
Edithe Valerie Nguekam.
En moyenne, se sont près de 15 apprenants par an qui viennent se former dans cet incubateur de mode. Parmi ces derniers Karel Fodjo qui rêve d’être une styliste modéliste reconnue à l’échelle internationale comme Pathé O et Eli Kouamé « Ici, j’apprends assez. Je me spécialise dans la confection des vêtements, pour grande industrie, j’apprends à faire des dessins assistés par ordinateur (DAO), et aussi à la main. J’essaye de me former à la gestion d’une entreprise. Mon plus grand rêve c’est d’être influente dans le domaine de la mode et être reconnue mondialement. Surtout, pouvoir être à la tête d’une multinationale en vêtements »
Aujourd'hui ils sont nombreux ceux qui ont pu monter leur business dans le secteur de la mode. Grâce à l’incubateur Grain de mode. L’engagement du gouvernement à faire de l’industrie de la mode et du design, l’une des plus dynamiques du continent, en soutenant les acteurs du secteur n’est plus à démontrer.
Au- delà de cet incubateur qui se veut ambitieux, la promotrice de grain de mode entend favoriser le développement de l’industrie de la mode dans le secteur en Côte d’Ivoire et dans la sous –région. Fort de ce qui semble prometteur, Michel Okei prévoit mettre sur pied des incubateurs sur l’esthétique, la coiffure la cordonnerie et bien d’autres domaines d’activités.
Edithe Valerie Nguekam.