Ouragahio/ La mutuelle de développement réhabilite la salle des spectacles et fait des dons aux veuves

Rédigé par Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi le Dimanche 1 Septembre 2024 à 02:33 | Lu 359 fois


La 2 ème édition des festivités de la mutuelle du développement de Ouragahio-village ( Mudov) , le samedi 31 août a été marquée par plusieurs actions à l'endroit des populations. La salle des spectacles a été réhabilitée et les veuves ont reçu plusieurs dons de vivres et de non-vivres.


L'événement, placé sous le signe de la solidarité et du développement, a rassemblé la population locale autour d’une série d’activités, Le président de la MUDOV, Gahoudi Boli Célestin, a demandé à la population à s'approprier les projets de développement. En effet, grâce aux efforts des uns et des autres, la Mutuelle a pu offrir une citerne d'une capacité de 33 mille litres d'une valeur de 14 millions de F, à la maternité du centre de santé de la commune. Le député de Ouragahio et Bayota, Antoni Garou, par ailleurs le parrain de l'événement, a salué le dynamisme de la population et son engagement constant pour le développement du village. Il a encouragé les habitants à poursuivre dans cette voie afin de renforcer le progrès et la cohésion sociale.

De son côté, le sous-préfet de Ouragahio, Fofana Kader Lanciné, a profité de l'occasion pour prodiguer des conseils aux jeunes sur les dangers de la drogue et les autres vices. Il a enfin recommandé aux différentes mutuelles de la région de mettre en place un livre blanc, qui servirait de guide pour les projets de développement. Le sous préfet a également exprimé le souhait de voir une collaboration étroite entre les présidents de mutuelles.

Enfin, dans un geste de solidarité, les cadres de Ouragahio résidant à Abidjan ont fait don de vivres et de non-vivres aux veuves et aux femmes du village. Cette journée festive, riche en enseignements et en actions concrètes, témoigne une fois de plus, la détermination de la population de Ouragahio à œuvrer pour le développement de leur village.

Une correspondance de Madouce Boniking

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