Une adhésion qui suscite bien des questions, mais, il faut rappeler ici que le Commonwealth est un gigantesque marché de plus de 2,4 milliards de consommateurs, donc, pour tout nouveau membre, le principal avantage est à voir du côté économique, même si adhérer au Commonwealth ne donne droit à aucun avantage commercial direct.
Par cette entrée, le Togo qui devient le 56ème membre avec le Gabon 55ème peut espérer de potentielles retombées économiques et nouer des accords bilatéraux avec d'autres membres de la communauté. Pour ces nouveaux venus, c’est aussi une façon de diversifier les partenariats.
Aujourd'hui, le pays de Faure Gnassingbé Eyadema, veut faire de son économie une attraction particulière en Afrique et dans la sous-région. Pour cela, toutes les opportunités sont à saisir pour assurer son développement.
Quelques heures après son annonce officielle, la nouvelle a été saluée par le Président de la République. “Je remercie les Etats membres du Commonwealth pour l’acceptation de notre candidature en ce jour. L’adhésion du Togo à cette grande famille est une évolution que nous avons souhaitée dans une perspective de renforcement de la coopération entre États et du brassage des peuples”, a indiqué Faure Gnassingbé, qui a félicité au passage son homologue rwandais Paul Kagame, porté à la présidence de l’Organisation.
Adhérer à une organisation intergouvernementale de la trempe du Commonwealth fait partie de nombreuses opportunités que le Togo s'offre pour atteindre sa maturité économique. De plus en plus de pays veulent rejoindre cette institution, Ils y voient dans cette adhésion un avantage diplomatique et économique non négligeable. Pour les puristes, l’adhésion au Commonwealth est aussi une marque de respectabilité.
En ce qui concerne les autorités exécutif du pays, c’est une grande satisfaction. Un évènement historique qui traduit la vision audacieuse et pragmatique du président de la république togolaise de permettre au Togo de poursuivre sa marche vers le développement durable, tant diplomatique économique que culturel, et surtout se rapprocher du monde anglophone qui constitue un vaste marché mondial.
Edithe valerie
Par cette entrée, le Togo qui devient le 56ème membre avec le Gabon 55ème peut espérer de potentielles retombées économiques et nouer des accords bilatéraux avec d'autres membres de la communauté. Pour ces nouveaux venus, c’est aussi une façon de diversifier les partenariats.
Aujourd'hui, le pays de Faure Gnassingbé Eyadema, veut faire de son économie une attraction particulière en Afrique et dans la sous-région. Pour cela, toutes les opportunités sont à saisir pour assurer son développement.
Quelques heures après son annonce officielle, la nouvelle a été saluée par le Président de la République. “Je remercie les Etats membres du Commonwealth pour l’acceptation de notre candidature en ce jour. L’adhésion du Togo à cette grande famille est une évolution que nous avons souhaitée dans une perspective de renforcement de la coopération entre États et du brassage des peuples”, a indiqué Faure Gnassingbé, qui a félicité au passage son homologue rwandais Paul Kagame, porté à la présidence de l’Organisation.
Adhérer à une organisation intergouvernementale de la trempe du Commonwealth fait partie de nombreuses opportunités que le Togo s'offre pour atteindre sa maturité économique. De plus en plus de pays veulent rejoindre cette institution, Ils y voient dans cette adhésion un avantage diplomatique et économique non négligeable. Pour les puristes, l’adhésion au Commonwealth est aussi une marque de respectabilité.
En ce qui concerne les autorités exécutif du pays, c’est une grande satisfaction. Un évènement historique qui traduit la vision audacieuse et pragmatique du président de la république togolaise de permettre au Togo de poursuivre sa marche vers le développement durable, tant diplomatique économique que culturel, et surtout se rapprocher du monde anglophone qui constitue un vaste marché mondial.
Edithe valerie