Selon Adama Coulibaly, patron du groupe de presse, Global Médias à Bamako, ‘’Ça dépend. Il y’en a qui disent ne rien craindre. Mais, c’est surtout pour les plus riches qui ont leur argent dans les banques, ils s’inquiètent. Mais pour un pauvre qui n’a pas d’argent en banque, il s’en fout’’. Autant dire que le secteur privé risque d’être sérieusement affecté par ces mesures décidées par la CEDEAO, notamment pour les hommes d’affaires actifs dans l’import-export.
R.A
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