Selon les témoignages recueillis sur place, la victime aurait été kidnappée dans un maquis alors qu’elle y était avec un jeune homme, étudiant également, lorsqu’un agresseur armé s’y est introduit, intimant aux deux personnes de le suivre.
Ce n’est que dans la matinée du 1er Juin que le corps sans tête d’Agnès a été retrouvé dans un ravin contigu à la zone où la prise d’otage a eu lieu. Encore un cas de tête coupée alors que ces derniers jours, circule sur la toile, la vidéo macabre d’une femme nue en train d’être égorgée vivante, probablement dans un pays anglophone à l’écoute de la langue employée par les criminels.
Faut-t-il craindre une surenchère dans les méthodes déployées par les criminels, sans doute pour des motifs de sacrifices rituels ? Le crime semble avoir atteint des proportions incontrôlées. Visiblement, l’insécurité rituelle devient un véritable défi pour les états Africains.
R.A