Selon le justicier des Lagunes, les auteurs de la campagne de la contestation populaire contre le 3ème mandat d’Alassane Ouattara, ne doivent pas échapper à l’impunité. Une démarche audacieuse du procureur, mais qui risque d’avoir de fâcheuses répercussions sur les nouveaux amis du pouvoir, notamment Marcel Amon Tanoh, fraîchement nommé secrétaire exécutif du Conseil de l’Entente grâce aux manœuvres de son ami trentenaire, Alassane Ouattara. Piqué au vif par la désignation du défunt premier ministre, Amadou Gon Coulibaly en Mars 2020 en tant que candidat du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), Marcel Amon Tanoh avait claqué la porte du gouvernement et du camp présidentiel, avant de rejoindre quelques mois plus tard les rangs du front de l’opposition.
Avec les principaux adversaires du chef de l’état sortant, il avait pris une part active à la campagne de désobéissance civile. Sera-t-il également visé par les poursuites annoncées par Adou Richard ? Il serait difficile que le successeur de Patrice Kouamé au Conseil de l’Entente échappe au rouleau compresseur rétroactif qui menace de s’abattre sur les meneurs de la désobéissance civile.
R.A
Avec les principaux adversaires du chef de l’état sortant, il avait pris une part active à la campagne de désobéissance civile. Sera-t-il également visé par les poursuites annoncées par Adou Richard ? Il serait difficile que le successeur de Patrice Kouamé au Conseil de l’Entente échappe au rouleau compresseur rétroactif qui menace de s’abattre sur les meneurs de la désobéissance civile.
R.A