Youssouf Fadiga, Dg de la Bni a dressé un bilan très satisfaisant de la structure.
" Ce qui se conçoit bien s'explique clairement et les mots pour le dire, arrivent aisément", cette pensée de François Rabelais n'est pas usurpée. En effet, depuis son avènement à la tête de la banque nationale d'investissement (Bni) , en 2018, Youssouf Fadiga(ingénieur financier diplômé de l'Edhec Business school de Nice- France) et son équipe affichent une fougue qui a fait boule de neige au sein de la structure à statut mixte dont l'Etat est majoritaire à 80% avec pour partenaire, la caisse nationale de prévoyance sociale (Cnps) à 19,4%. En tout cas, si l'on s'en tient aux chiffres et à la marge de progression de la Bni pour les quatre dernières années (2018-2021), on comprendrait aisément les performances de l'équipe dirigeante. En effet pour l'année 2021, la Bni a réalisé 1037, 749 milliards F de dépôts contre 881, 753 milliards F en 2020 soit un taux de 18%.
Mais plus intéressant, le produit net bancaire (Pnb) est passé de 51, 971 milliards F à 57,846 milliards F, soit une performance de 11 %. Un chiffre d'affaires nettement flatteur et qui rassure la clientèle parmi laquelle les PME à qui la Bni a octroyé 128 milliards F en termes de prêt en 2021 contre 106 milliards aux particuliers. Le produit brut d'exploitation de 22,280 milliards F est aussi en net augmentation de 14%.
Photo de la table de séance
"La Bni, au regard de nos résultats, est la plus performante. Nous sommes passés de la 8 ème à la 5 ème place sur les 29 banques en Côte d'Ivoire. Elle rassure parce que c'est une banque conçue par les ivoiriens avec des cadres et des capitaux ivoiriens. Elle est donc plus proche et au cœur de notre population", a confié Youssouf Fadiga qui estime que l'adaptation de la structure aux nouveaux outils des NTIC, notamment du numérique, sont entre autres les adjuvants de cette embellie. Et c'est à juste titre que la Bni glane des prix ces dernières années : 1er prix de la performance économique et financière des entreprises publiques et privées, super prix de la performance et de la gouvernance des entreprises publiques et 3 ème prix de l'efficacité du conseil d'administration bancaire du programme gouvernemental.
En termes d'infrastructures, l'équipe de Youssouf Fadiga, a rénové les agences de Yamoussoukro, Dabou, l'agence prestige de Carrefour Duncan, Marcory, Port Bouet, Bassam, Bingerville, Divo et Touba sans oublier les espaces digitaux et la plateforme monétique. " Notre ambition est d'occuper le territoire ivoirien, d'élargir nos gammes de produits et satisfaire aux goûts des clients", promet le directeur général qui a élaboré un plan stratégique 20/26 et qui consiste à ouvrir 5 nouvelles agences, améliorer la qualité des services par la digitalisation, la formation des collaborateurs, la formation en ligne et la sécurité des opérations. " Nous voulons accélérer la croissance et la construction d'une banque digitale. Mais notre rêve est de réaliser le siège de la Bni pour un coût d'environ 13,5 milliards F au centre des affaires au Plateau. Il s'agit d'un immeuble de R+9 sur un espace de 2000 m2.
Les travaux sont en cours", a indiqué le DG Youssouf Fadiga, visiblement heureux. Il convient de noter que la Bni compte à ce jour 724 agents avec plus de 50 % de femmes. Dans les échanges avec la presse, outre Youssouf Fadiga (DG), Jérôme Ahua (Dga), Daniel Kouadio (secrétaire général chargé des ressources humaines) et Roland Adjé (directeur financier et comptable) ont éclairé les zones d'ombre qui ont préoccupé les journalistes. Pour rappel, il est bien de savoir que la Bni est née de la disparition de la caisse autonome d'amortissement (Caa), structure étatique créée en 1959. Le capital est de 25,358 milliards F.
Norbert Nkaka
En termes d'infrastructures, l'équipe de Youssouf Fadiga, a rénové les agences de Yamoussoukro, Dabou, l'agence prestige de Carrefour Duncan, Marcory, Port Bouet, Bassam, Bingerville, Divo et Touba sans oublier les espaces digitaux et la plateforme monétique. " Notre ambition est d'occuper le territoire ivoirien, d'élargir nos gammes de produits et satisfaire aux goûts des clients", promet le directeur général qui a élaboré un plan stratégique 20/26 et qui consiste à ouvrir 5 nouvelles agences, améliorer la qualité des services par la digitalisation, la formation des collaborateurs, la formation en ligne et la sécurité des opérations. " Nous voulons accélérer la croissance et la construction d'une banque digitale. Mais notre rêve est de réaliser le siège de la Bni pour un coût d'environ 13,5 milliards F au centre des affaires au Plateau. Il s'agit d'un immeuble de R+9 sur un espace de 2000 m2.
Les travaux sont en cours", a indiqué le DG Youssouf Fadiga, visiblement heureux. Il convient de noter que la Bni compte à ce jour 724 agents avec plus de 50 % de femmes. Dans les échanges avec la presse, outre Youssouf Fadiga (DG), Jérôme Ahua (Dga), Daniel Kouadio (secrétaire général chargé des ressources humaines) et Roland Adjé (directeur financier et comptable) ont éclairé les zones d'ombre qui ont préoccupé les journalistes. Pour rappel, il est bien de savoir que la Bni est née de la disparition de la caisse autonome d'amortissement (Caa), structure étatique créée en 1959. Le capital est de 25,358 milliards F.
Norbert Nkaka
La Photo de famille suite à cette rencontre