Des crimes imputés à l’armée Russe et qui pourraient avoir des conséquences insoupçonnées sur le plan judiciaire. Outre la justice Ukrainienne qui s’est déjà saisi du dossier, la Cour Pénale Internationale (CPI) annonçait le 2 Mars dernier par le canal de son procureur général, Karim Khan, l’ouverture d’une enquête sur les crimes commis en Ukraine de Novembre 2013 à 2022. ‘’Notre travail de recueil de preuves a commencé’’, avait-t-il prévenu.
Alors que d’autres tueries sont signalées dans d’autres localités d’Ukraine, les craintes de poursuites judiciaires contre le dirigeant Russe et ses lieutenants, se ravivent. Dans une publication datant du 13 Mars sur le site de la télévision Suisse, rts.ch, Gerry Simpson, directeur adjoint de la division crises et conflits à Human Rights Watch, expliquait : ‘’S’il y’a suffisamment de preuves, il est très probable que lui et ses généraux soient inculpés’’.
Pour l’heure, Moscou continue de nier son implication dans ces massacres. Il reste à savoir si cela suffira à sauver le soldat Poutine.
R.A