Les fausses nouvelles sont des tueuses qui peuvent avoir des conséquences néfastes et surtout, mettent en péril la démocratie, la paix, la santé et la sécurité des citoyens. Certains médias numériques ne sont pas souvent conscients de la portée de leurs actions et du rôle positif qu’ils peuvent jouer pour la prévention des conflits.
En vue de lutter contre ce phénomène, Avocat sans frontières de France ( ASF France) en partenariat avec l’association des blogueurs de Guinée (ABLOGUI), la plateforme panafricaine Danaïdes et le réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (Repprelci) ont lancé à Abidjan le mardi 12 avril le projet impact qui vise à lutter contre la désinformation, la propagation de fausses informations et des contenus haineux à travers l’implication des médias numériques.
Ce projet invite à la formation des formateurs et aussi au renforcement des capacités des journalistes de la sous -région.
« Il est prévu dans le cas de la mise en œuvre de ce projet un certains nombres d’activités parmi lesquelles le renforcement des capacités. Nous avons prévu une série de formations qui seront adressées à l’endroit des journalistes. Nous avons aussi une cruche importante dans ce projet, se sont les journalistes citoyens. Les communautés qui ont un accès a l’information à travers les médias sociaux. Les priorités pour nous étant de pouvoir former également ces communautés . » Nous signifie ici Ahmed Sekou Touré, chef du projet Impact.
Le Repprelci, faitière majeur des médias en lignes ivoiriens qui a pour objectif de promouvoir et de développer la presse en ligne et tous les médias auxiliaires au 225 veut sensibiliser et former les différents utilisateurs des nouveaux médias à partir des universités et établissements publics sur l’étendue du territoire national.
En vue de lutter contre ce phénomène, Avocat sans frontières de France ( ASF France) en partenariat avec l’association des blogueurs de Guinée (ABLOGUI), la plateforme panafricaine Danaïdes et le réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (Repprelci) ont lancé à Abidjan le mardi 12 avril le projet impact qui vise à lutter contre la désinformation, la propagation de fausses informations et des contenus haineux à travers l’implication des médias numériques.
Ce projet invite à la formation des formateurs et aussi au renforcement des capacités des journalistes de la sous -région.
« Il est prévu dans le cas de la mise en œuvre de ce projet un certains nombres d’activités parmi lesquelles le renforcement des capacités. Nous avons prévu une série de formations qui seront adressées à l’endroit des journalistes. Nous avons aussi une cruche importante dans ce projet, se sont les journalistes citoyens. Les communautés qui ont un accès a l’information à travers les médias sociaux. Les priorités pour nous étant de pouvoir former également ces communautés . » Nous signifie ici Ahmed Sekou Touré, chef du projet Impact.
Le Repprelci, faitière majeur des médias en lignes ivoiriens qui a pour objectif de promouvoir et de développer la presse en ligne et tous les médias auxiliaires au 225 veut sensibiliser et former les différents utilisateurs des nouveaux médias à partir des universités et établissements publics sur l’étendue du territoire national.
« Le discours de haine est aujourd’hui un fléau contre qui tout le monde se bat. En général, ces discours prolifèrent dans le champ politique. Les politiques sont donc une cible importante. Quand on parle de citoyenneté on ne regarde pas si vous appartenez à un parti politique ou pas. C’est le citoyen tout court qui est concerné par ce projet. » souligne M. Lassina Sermé, président du Repprelci.
L’Union Européenne qui contribue à la stabilité et à la paix dans la sous –région, inscrit ce projet dans le cadre de son soutien à la protection et à la promotion des droits de l’homme. Elle a financé le projet à une hauteur de 1 millions d’euros, dont 655 957 000 Fcfa.
Edithe Valerie Nguekam.
L’Union Européenne qui contribue à la stabilité et à la paix dans la sous –région, inscrit ce projet dans le cadre de son soutien à la protection et à la promotion des droits de l’homme. Elle a financé le projet à une hauteur de 1 millions d’euros, dont 655 957 000 Fcfa.
Edithe Valerie Nguekam.