Le travail des enfants et le travail forcé, un phénomène qui indispose la société ivoirienne. Pour cela, une rencontre sur le renforcement des capacités s’est déroulée mercredi le 18 mai dernier à la maison du patronat ivoirien (CGECI ) . Cet atelier qui vient ouvrir le débat sur l’importance du renforcement des capacités des entreprises et des employeurs du secteurs privé en matière de lutte contre le travail des enfants. Sujet préoccupant pour le gouvernement et les entreprises depuis plusieurs années.
Ces entreprises conjuguent plusieurs initiatives en vue de réduire l’impact négative de ce phénomène dans le monde des affaires en Côte d’ivoire. Toutefois, ce défi lié au travail des enfants continue d’être un caillou dans la chaussure des employeurs ivoiriens.
Les organisations des employeurs en plus de leurs activités promotionnelles de contribuer à l’adoption, à l’application et au suivi des conventions de l’Organisation Internationale du Travail ( OIT) en matière de lutte contre le travail des enfants, doivent œuvrer efficacement en faveur d’un environnement propice aux entreprises durables principes sources de croissance économique.
« Les entreprises occupent plusieurs secteurs économiques dans lesquels on retrouve le travail des enfants. Aujourd'hui, du fait des principes directeurs des Nations -Unies sur les droits de l’homme, ou d’autres instruments tels que la déclaration de l’OIT sur les entreprises multinationales. Les entreprises développent des initiatives de plus en plus responsables, qui œuvrent à lutter contre le travail des enfants dans leur chaine de développement. » nous indique ici un des panéliste de cette rencontre.
Cette rencontre entre opérateurs économiques vise à sensibiliser le secteur privé à se pencher sur la question du travail des enfants et à tirer sa part de responsabilité. Les secteurs clés tels que la cacao culture, l’or sont les plus concernés par le projet. Au de la de ceci, c’est entièrement tout le secteur agricole qui devrait être concerné.
Selon l’Organisation Internationale du travail, plus de 50 millions d’enfants travaillent dans le monde et près de la moitié d’entres eux sont soumis a des pires formes de travaux forcés.
Edithe Valerie N.
Ces entreprises conjuguent plusieurs initiatives en vue de réduire l’impact négative de ce phénomène dans le monde des affaires en Côte d’ivoire. Toutefois, ce défi lié au travail des enfants continue d’être un caillou dans la chaussure des employeurs ivoiriens.
Les organisations des employeurs en plus de leurs activités promotionnelles de contribuer à l’adoption, à l’application et au suivi des conventions de l’Organisation Internationale du Travail ( OIT) en matière de lutte contre le travail des enfants, doivent œuvrer efficacement en faveur d’un environnement propice aux entreprises durables principes sources de croissance économique.
« Les entreprises occupent plusieurs secteurs économiques dans lesquels on retrouve le travail des enfants. Aujourd'hui, du fait des principes directeurs des Nations -Unies sur les droits de l’homme, ou d’autres instruments tels que la déclaration de l’OIT sur les entreprises multinationales. Les entreprises développent des initiatives de plus en plus responsables, qui œuvrent à lutter contre le travail des enfants dans leur chaine de développement. » nous indique ici un des panéliste de cette rencontre.
Cette rencontre entre opérateurs économiques vise à sensibiliser le secteur privé à se pencher sur la question du travail des enfants et à tirer sa part de responsabilité. Les secteurs clés tels que la cacao culture, l’or sont les plus concernés par le projet. Au de la de ceci, c’est entièrement tout le secteur agricole qui devrait être concerné.
Selon l’Organisation Internationale du travail, plus de 50 millions d’enfants travaillent dans le monde et près de la moitié d’entres eux sont soumis a des pires formes de travaux forcés.
Edithe Valerie N.