Appelez le désormais l’écrivain Vincent Toh Bi Irié. L’ex-préfet d’Abidjan, en effet, vient d’ajouter une autre corde à son arc à travers la publication de 6 œuvres littéraires. Face à la presse, des bloggers, des influenceurs et un groupe de personnalités publiques telles que Venance Konan, Meiway, A’Salfo, Emma Lohoues, Max Gradel, Stanislas Zézé, Hassan Hayek, l’ex-préfet d’Abidjan a décortiqué, un à un, ses ‘’ réflexions ‘’ tout en situant leur contexte afin de ‘’ repousser les limites de l’impossible’’ .
Le premier livre brandi par l’ex-administrateur a été ‘’ Face à Facebook’’. L’ œuvre constituée de 400 pages, a-t-il indiqué, est une un condensé de ses textes sur les réseaux sociaux. « Je ne sais rien à Facebook mais j’ai compris son utilité», a-t-il fait remarquer. ‘’ Tribulation ‘’, le second à être mis en lumière fait la part belle à ses réflexions. Le troisième intitulé ‘’ Jours de colère’’, quant à lui, est l’histoire et la somme de toutes les colères liées à la crise ivoirienne de 2010 à 2012. « Il se lie de bas ne haut», a-t-il précisé.
Le quatrième, écrit en 36 heures non stop selon lui, porte le nom de son ex-patron, feu le Premier ministre Hamed Bakayoko. « Le livre sur Hamed Bakayoko, sorti le 18 Avril 2021 n’a jamais été dédicacé ni présenté officiellement parce que le jour de la sortie, j’ai eu un accident qui m’a cloué deux mois à la maison. De 2014 à 2017, j’ai été son directeur de cabinet. Il s’agit de témoignages sur l’homme», a-t-il expliqué non sans révéler que 6 millions de personnes avaient déjà lu le livre au décompte de juin dernier.
‘’ La rage de vaincre’’, le cinquième écrit en 3 jours, est un ouvrage sur le développement personnel et une exhortation à croire en soi. Enfin ‘’ L’ étrange préfet’’ vise à déconstruire certains mythes ou la mystification de l’exercice du pouvoir. A en croire l’auteur, il faut créer la relation entre les dirigeants et le peuple. «Les livres ont des orientations totalement différentes mais ils sont complémentaires. L’obligation de réserve n’es pas le mutisme», a-t-il insisté. Et d’ajouter : « Les jours qui viennent, nous ferons des dédicaces dans les librairies et tous les lieux publics ou privés où vous nous inviterez. On pourra discuter alors directement et échanger des idées».
Pour ceux qui sont vexés parce qu’il ne fait plus beaucoup de posts sur Facebook, Vincent Toh Bi a prétexté : « 6 livres en un an écrits dans les natures sauvages de notre pays , ça casse le cerveau. Laissez-moi récupérer un peu quand même». Toutefois, il a promis dès la semaine prochaine reprendre le rythme des posts Facebook « avec des publications légères et sérieuses pour participer à l’animation de notre vie sociale . Nous restons convaincus que c’est le partage des mêmes valeurs nobles qui tirera notre pays vers le haut», a-t-il conclu.
Le premier livre brandi par l’ex-administrateur a été ‘’ Face à Facebook’’. L’ œuvre constituée de 400 pages, a-t-il indiqué, est une un condensé de ses textes sur les réseaux sociaux. « Je ne sais rien à Facebook mais j’ai compris son utilité», a-t-il fait remarquer. ‘’ Tribulation ‘’, le second à être mis en lumière fait la part belle à ses réflexions. Le troisième intitulé ‘’ Jours de colère’’, quant à lui, est l’histoire et la somme de toutes les colères liées à la crise ivoirienne de 2010 à 2012. « Il se lie de bas ne haut», a-t-il précisé.
Le quatrième, écrit en 36 heures non stop selon lui, porte le nom de son ex-patron, feu le Premier ministre Hamed Bakayoko. « Le livre sur Hamed Bakayoko, sorti le 18 Avril 2021 n’a jamais été dédicacé ni présenté officiellement parce que le jour de la sortie, j’ai eu un accident qui m’a cloué deux mois à la maison. De 2014 à 2017, j’ai été son directeur de cabinet. Il s’agit de témoignages sur l’homme», a-t-il expliqué non sans révéler que 6 millions de personnes avaient déjà lu le livre au décompte de juin dernier.
‘’ La rage de vaincre’’, le cinquième écrit en 3 jours, est un ouvrage sur le développement personnel et une exhortation à croire en soi. Enfin ‘’ L’ étrange préfet’’ vise à déconstruire certains mythes ou la mystification de l’exercice du pouvoir. A en croire l’auteur, il faut créer la relation entre les dirigeants et le peuple. «Les livres ont des orientations totalement différentes mais ils sont complémentaires. L’obligation de réserve n’es pas le mutisme», a-t-il insisté. Et d’ajouter : « Les jours qui viennent, nous ferons des dédicaces dans les librairies et tous les lieux publics ou privés où vous nous inviterez. On pourra discuter alors directement et échanger des idées».
Pour ceux qui sont vexés parce qu’il ne fait plus beaucoup de posts sur Facebook, Vincent Toh Bi a prétexté : « 6 livres en un an écrits dans les natures sauvages de notre pays , ça casse le cerveau. Laissez-moi récupérer un peu quand même». Toutefois, il a promis dès la semaine prochaine reprendre le rythme des posts Facebook « avec des publications légères et sérieuses pour participer à l’animation de notre vie sociale . Nous restons convaincus que c’est le partage des mêmes valeurs nobles qui tirera notre pays vers le haut», a-t-il conclu.