Un cercueil disparaît: médiacongo
La nouvelle de cette triste réalité s’est répandue très vite comme une trainée de poudre. Et la population de cette localité située non loin de la rivière N’zi, est toujours sous le choc. Selon des témoignages, "c’est la toute première fois que ce bourg vit une telle situation. Toute chose qui suscite, en ce moment, une grande curiosité. L’affaire, qui ne demeure pas moins préoccupante, est devenue un sujet à discussion et la population continue d’en parler. Vu qu’elle s’explique encore difficilement ce qui est arrivé."
Un cercueil dans un corbillard
Et comme il fallait s’y attendre, le sujet de la profanation est diversement commenté et interprété. Ne sommes-nous pas en Afrique, avec ces pratiques mystérieuses ? On peut affirmer sans se tromper, que l’inquiétude et la peur se sont emparées des habitants. Ils ont du mal à comprendre les raisons profondes de cet acte ‘’abominable’’. Des interlocuteurs, redoutent que cet état de fait présage d’un malheur. Car, leurs tentatives de retrouver le cercueil sont restées vaines.
Deux personnes mettent un corps sans vie dans une voiture.
C’est donc dire que le coffre et son contenu lié au corps du défunt demeurent introuvables jusqu’à présent. Quelles sont donc les intentions réelles des casseurs ? L’on n’a de cesse de se poser cette question à Sôh-N’Guessankro. La brigade de la gendarmerie de Bocanda, qui a été saisie, à ouvert une enquête pour faire toute la lumière. En attendant son aboutissement, la chefferie traditionnelle est à la recherche d’un grand féticheur. Il s’agira pour celui-ci, de faire montre de ses pouvoirs mystiques, par des incantations, afin de ‘’démasquer’’ les auteurs de cette profanation de tombe. Et c'est le cas dans cette affaire rapportée par Netafrique décembre 2019.
Un féticheur assis dans un sanctuaire
En Chine, six jours après sa mort, elle sort de son cercueil pour manger. Un jour, des villageois et des proches venus rendre visite à la vieille dame ne la trouvent pas dans son cercueil. Ils la retrouvent dans sa cuisine, occupée à se préparer à manger. Elle aurait déclaré au Daily Mail : « J’ai dormi très longtemps, j’avais très faim. J’ai poussé le couvercle du cercueil très longtemps avant de pouvoir en sortir. » Les médecins ont conclu que Li Xiufeng avait été victime d’une mort artificielle. Elle a échappé de peu à une mort par inhumation. En revanche, cette petite somme de six jours lui a fait perdre tous ses biens, brûlés à l’annonce de sa mort.