Il faut noter ici qu’avec l’émergence et l’expansion de la presse numérique la question de la protection des journalistes est d’autant plus pertinente. Dans tous les pays de la région, on trouve des préoccupations spécifiques exprimées quant à cette question par les mécanismes de Droits de l’Homme.
En Côte d’Ivoire, d’après un rapport de recensement des sites web d’informations, le secteur emploie plus de 316 personnes, dont 186 journalistes professionnels, soit 20,66% des journalistes professionnels de la Côte d’Ivoire. Toujours selon le rapport, 80% des sites Internet d’informations emploient au moins un (01) journaliste professionnel, tandis que 61% des sites disposent d’un siège. Sur le plan international, la question de la protection des journalistes est l’objet d’un large cadre de coopération entre le HCDH et l’UNESCO. En novembre 2019, les deux entités de l'ONU ont conclu un protocole d'accord décrivant une coopération renforcée pour promouvoir la sécurité des journalistes.
Le thème de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse pour l’année en cours, est formulée comme tel : « Le journalisme en état de siège numérique, l'impact de la numérisation sur la pratique du journalisme en Afrique ». En effet, la pénétration des technologies de l'information et de la communication (TIC) nouvelles et émergentes, a eu un effet transformateur sur le journalisme et les secteurs de la communication. Elles ont créé de nouvelles opportunités, permettant à un plus grand nombre de personnes de communiquer, de rechercher et de créer des informations, d'organiser des communautés d'intérêts partagés et de s'exprimer. Désormais, la presse numérique, bien que plus récente que les médias classiques, emploie un nombre important de journalistes qui sont autant concernés par la question de protection des journalistes que les journalistes classiques.
Le thème de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse pour l’année en cours, est formulée comme tel : « Le journalisme en état de siège numérique, l'impact de la numérisation sur la pratique du journalisme en Afrique ». En effet, la pénétration des technologies de l'information et de la communication (TIC) nouvelles et émergentes, a eu un effet transformateur sur le journalisme et les secteurs de la communication. Elles ont créé de nouvelles opportunités, permettant à un plus grand nombre de personnes de communiquer, de rechercher et de créer des informations, d'organiser des communautés d'intérêts partagés et de s'exprimer. Désormais, la presse numérique, bien que plus récente que les médias classiques, emploie un nombre important de journalistes qui sont autant concernés par la question de protection des journalistes que les journalistes classiques.
C’est dans ce contexte donc que le Repprelci a tenu a formé pendant (02) jours des journalistes aguerris a la cause des droits humains, la protection et la sécurité des hommes et femmes des médias dans l’exercice de leurs fonctions. Quoi de plus important d’intéresser les journalistes de l’intelligence artificielle pour mieux porter ce combat et ce débat. La sécurité des journalistes est un maillon essentiel pour la survie de l’information dans le monde.
Le Bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest du Haut –commissariat des Nations unies aux droits de l’homme ( BRAO) est la principale institution des Nations unies en charge de la protection et la promotion des droits de l’Homme en Afrique de l’Ouest . Opérationnel depuis septembre 2008 le bureau est basé à Dakar au Sénégal. Sa mission première est également de travailler à la protection des droits de l’homme pour toutes les personnes qu’il s’agisse de leurs droits civils et politiques ou économiques, sociaux et culturels.
Le Bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest du Haut –commissariat des Nations unies aux droits de l’homme ( BRAO) est la principale institution des Nations unies en charge de la protection et la promotion des droits de l’Homme en Afrique de l’Ouest . Opérationnel depuis septembre 2008 le bureau est basé à Dakar au Sénégal. Sa mission première est également de travailler à la protection des droits de l’homme pour toutes les personnes qu’il s’agisse de leurs droits civils et politiques ou économiques, sociaux et culturels.
Ce séminaire sera addicté d’un contenu très dopé, qui au final aura pour objectifs de sensibiliser les acteurs des médias en Côte d’Ivoire sur la loi et les mécanismes de protection des journalistes, nouer des partenariats pour constituer un réseau de points focaux en droits de l’homme prenant en considération les attentes des journalistes.