Ce Mardi 5 Juillet, lors d’une réunion d’information à laquelle participaient ‘’le président et les membres du Conseil Stratégique et Politique, le président exécutif, le Secrétaire Général et les présidents des différents organes et commissions du parti’’, le porte-parole du PPA-CI, Koné Katina Justin, informait ses camarades et par ricochet, l’opinion publique nationale ‘’ de la remise par le ministre de l’intérieur du récépissé de déclaration…après avoir vérifié la conformité du dossier de déclaration du PPA-CI à l’issue de son congrès constitutif des 16 et 17 Octobre 2021’’.
Désormais légal, le nouveau parti de l’ex chef d’état Ivoirien, peut prétendre en toute sérénité aux futures échéances électorales. Mais, que se serait-t-il passé si cette décision concernait une autre formation politique sorti des ambitions d’un ancien proche de Laurent Gbagbo ?
Difficile de ne pas imaginer des avalanches d’accusations et de soupçons de traîtrise, visant à discréditer et à torpiller les acquéreurs qui auraient promptement été dénoncés comme des traîtres à la cause Gbagboïste, subornés pour nuire au mentor des pseudo-panafricanistes. Cependant tant qu’il s’agit de Laurent Gbagbo et des siens, on peut se passer des soupçons ! Le christ de Mama, étant exempt de tout reproche potentiel.
RA