Par Tapé GROUBERA
Depuis ce matin du 25 décembre 2021, j'observe la diffusion sur les réseaux sociaux des images des élèves qui ont délogé leur camarades élèves en vue d'anticiper les congés de fin d'année. En tant qu'enseignant, je condamne ce comportement des élèves. Cependant, je ne suis pas d'accord de la suite donnée par les autorités ivoiriennes à cette faute disciplinaire. Cela parce que d'une part, il y a une diffusion des images de ces enfants sur les réseaux sociaux, et d'autre part, pourquoi c'est un camp militaire (ou policier) qui est choisi pour administrer des sanctions physiques (peut-être corporelles) à ces élèves délogeurs. En Côte d'Ivoire, il n'existe donc pas de règlements disciplinaires dans l'enseignement ? Si oui, qu'on applique purement et simplement les mesures réglementaires scolaires relatives à ces comportements.
Beaucoup, certainement excédés par ces comportements, approuvent ces mesures. Mais qu'ils n'oublient pas que si pour avoir déloger des élèves (ce que je condamne) la ministre impose ces mesures disproportionnées frisant la violation des droits et l'humiliation, quand en serait-il de ceux/celles qui vont (ou ont) assassiner (assassiné) des élèves ? Pourquoi n'a-t-on jamais créé de centre de réinsertion pour les jeunes délinquants appelés "Microbes" qui sévissent impunément ? Il me semble que c'est plus du tape-à-l'œil. L'école ivoirienne, à l'instar de toutes écoles au monde, possède un règlement intérieur et disciplinaire. APPLIQUONS SIMPLEMENT LES TEXTES QUI RÉGISSENT TOUTE Structure. Et dans ce cas-ci l'école. Je ne souhaite pas mais que diraient les autorités ivoiriennes si un élève venait à décéder ? Ce d'autant plus qu'elles ne savent l'état de santé de ces élèves avant de les soumettre à ces activités physiques.
L'HISTOIRE EST LE TRIBUNAL DES PEUPLES.
Depuis ce matin du 25 décembre 2021, j'observe la diffusion sur les réseaux sociaux des images des élèves qui ont délogé leur camarades élèves en vue d'anticiper les congés de fin d'année. En tant qu'enseignant, je condamne ce comportement des élèves. Cependant, je ne suis pas d'accord de la suite donnée par les autorités ivoiriennes à cette faute disciplinaire. Cela parce que d'une part, il y a une diffusion des images de ces enfants sur les réseaux sociaux, et d'autre part, pourquoi c'est un camp militaire (ou policier) qui est choisi pour administrer des sanctions physiques (peut-être corporelles) à ces élèves délogeurs. En Côte d'Ivoire, il n'existe donc pas de règlements disciplinaires dans l'enseignement ? Si oui, qu'on applique purement et simplement les mesures réglementaires scolaires relatives à ces comportements.
Beaucoup, certainement excédés par ces comportements, approuvent ces mesures. Mais qu'ils n'oublient pas que si pour avoir déloger des élèves (ce que je condamne) la ministre impose ces mesures disproportionnées frisant la violation des droits et l'humiliation, quand en serait-il de ceux/celles qui vont (ou ont) assassiner (assassiné) des élèves ? Pourquoi n'a-t-on jamais créé de centre de réinsertion pour les jeunes délinquants appelés "Microbes" qui sévissent impunément ? Il me semble que c'est plus du tape-à-l'œil. L'école ivoirienne, à l'instar de toutes écoles au monde, possède un règlement intérieur et disciplinaire. APPLIQUONS SIMPLEMENT LES TEXTES QUI RÉGISSENT TOUTE Structure. Et dans ce cas-ci l'école. Je ne souhaite pas mais que diraient les autorités ivoiriennes si un élève venait à décéder ? Ce d'autant plus qu'elles ne savent l'état de santé de ces élèves avant de les soumettre à ces activités physiques.
L'HISTOIRE EST LE TRIBUNAL DES PEUPLES.