Nous sommes postés sur le terrain de la mairie, lieu chargé d'histoire où se déroule chaque année le festival des peuples Dida. N’ayant pas retrouvé le car affrété pour les journalistes, quelques confrères et moi décidons de prendre un taxi vers une des gares routières de Divo au Nord de la ville, première étape de notre périple vers Béhiri . A la gare, les chauffeurs nous informent que Béhiri n'est pas sur leur trajet. Nous négocions donc un trajet jusqu’à Blé, à moins de 25 km de Divo, espérant y trouver un moyen de transport pour rejoindre Béhiri.
moyennant une sommes de 700F, nous empruntons donc une vieille Peugeot 504 pour commencer notre voyage. Le trajet se passe sans embûches et notre voiture nous dépose finalement au milieu vdu Djaka festival et d'autres invités à ce rendez-vous culturel sont sur la place nous ont précédés chez le chef du village.
Nous tombons sur une cérémonie de bienvenue, riche en danses et en rituels, marque des hôtes du lieu. Une heure plus tard, La notabilité du village accorde la permission symbolique aux festivaliers de continuer leur périple, tout en leur ouvrant les portes d’un retour éventuel.
Après cette visite enrichissante, nous partageons un repas champêtre sous les cacaoyers, où les spécialités culinaires locales rencontrent celles des Antilles. La convivialité est au rendez-vous, et les échanges culturels se poursuivent autour de mets traditionnels, de boissons locales, et de pinacolada fait antillais. Avant de quitter Béhiri, nous emportons quelques cabosses de cacao en souvenir de cette journée mémorable.
Nous nous dirigeons ensuite vers le campement Kouakro, situé à moins de 3 km du village, pour visiter une plantation de cacao, d’hévéa, et de palmiers à huile, appartenant à M. Alphonse Koua. pour y accéder, certains ont décidés de faire de la randonnée, et d'autres les plus âgés ont été transportés par voiture. le Campement Kouakro nous accueille après 30 mn de marche dans une forêt clairière, avec pour paysage des plantations de cacaoyer défrichés, et quelques cultures de produits vivriers comme la banane plantin.
Au bout de l'effort, le réconfort . Nous sommes accueillis sur les lieux par un groupe de femmes tres contente de nous voir et qui scandent des chants du terroir pour nous souhaiter la bienvenue. Monsieur Koua propriétaire des lieux est tout aussi heureux de nous voir, et s'empresse de nous faire explorer les curiosités de son domaine. l' exploitant agricole engagé nous montre sa plantation, un exemple d'agroforesterie réussie, où la biodiversité est préservée et la terre est valorisée pour une production durable. M. Koua explique la genèse de sa plantation à ses visiteurs d’un jour que nous sommes, et les visages affichent une mine admirative, conquise et pleine d’espoir. À la fin de son speech l’hôte encourage les jeunes à se lancer dans l’agriculture, insistant sur l’importance de la patience et du travail acharné.
Au bout de l'effort, le réconfort . Nous sommes accueillis sur les lieux par un groupe de femmes tres contente de nous voir et qui scandent des chants du terroir pour nous souhaiter la bienvenue. Monsieur Koua propriétaire des lieux est tout aussi heureux de nous voir, et s'empresse de nous faire explorer les curiosités de son domaine. l' exploitant agricole engagé nous montre sa plantation, un exemple d'agroforesterie réussie, où la biodiversité est préservée et la terre est valorisée pour une production durable. M. Koua explique la genèse de sa plantation à ses visiteurs d’un jour que nous sommes, et les visages affichent une mine admirative, conquise et pleine d’espoir. À la fin de son speech l’hôte encourage les jeunes à se lancer dans l’agriculture, insistant sur l’importance de la patience et du travail acharné.
Après cette visite enrichissante, nous partageons un repas champêtre sous les cacaoyers, où les spécialités culinaires locales rencontrent celles des Antilles. La convivialité est au rendez-vous, et les échanges culturels se poursuivent autour de mets traditionnels, de boissons locales, et de pinacolada fait antillais. Avant de quitter Béhiri, nous emportons quelques cabosses de cacao en souvenir de cette journée mémorable.
Le retour à Divo se fait cette fois-ci dans un bus confortable, offert par une société touristique ivoirienne pour le transport des festivaliers au festival, qui nous a conduit à vers une dernière halte à l’usine de transformation de cacao de Divo œuvre de M. Allassane Diakité qui nous déroule le chemin parcouru par la fève de cacao du champ à notre table.
Cette visite qui épouse parfaitement le thème du Djaka festival acte 14, « L’agriculture, les chaînes de valeurs agricoles » conclut notre immersion dans l’univers du chocolat de Divo, en nous rappelant aussi l'importance de cette filière pour l'économie ivoirienne.
Ainsi s’achève cette aventure, où la découverte du terroir ivoirien s’entrelace avec l’histoire d’une success story agricole, confirmant une fois de plus la place centrale du cacao, l’or brun de la Côte d’Ivoire, dans les plantations du pays.
Edithe Valerie Nguekam à Behiri.
Cette visite qui épouse parfaitement le thème du Djaka festival acte 14, « L’agriculture, les chaînes de valeurs agricoles » conclut notre immersion dans l’univers du chocolat de Divo, en nous rappelant aussi l'importance de cette filière pour l'économie ivoirienne.
Ainsi s’achève cette aventure, où la découverte du terroir ivoirien s’entrelace avec l’histoire d’une success story agricole, confirmant une fois de plus la place centrale du cacao, l’or brun de la Côte d’Ivoire, dans les plantations du pays.
Edithe Valerie Nguekam à Behiri.