Pour sa 14ème édition, sur invitation de l’Organisation des Cités et Gouvernements Locaux Unis d’Afrique (CGLU Afrique), le Festival International de la Mode en Afrique(FIMA), s’installe du 7 au 10 décembre 2022 à Rabat, Un rendez-vous incontournable de la création organisé à l’occasion des célébrations marquant les festivités de « Rabat, capitale africaine de la culture». Il se tiendra sous le thème «La synergie des cultures pour le développement de l’Afrique».
Il faut signaler ici que l’Afrique a un potentiel important en matière de culture, des talents extraordinaire, que se soient au sein du continent et même à travers la diaspora africaine qui vit en Europe. Ces derniers qui mettent à chaque occasion leur savoir faire pour le rayonnement de la culture du continent.
C’est ainsi que le Fima se donne pour vision a chaque édition la promotion de la culture africaine et des industries créatives pour en faire un véritable vivier économique en faveur de la jeunesse africaine.
Depuis sa première édition en 1998, le Fima oeuvre a mettre en lumière le savoir faire de tout un continent pour promouvoir sa diversité culturelle, l’émergence d’une industrie de la mode et des arts au service du développement, et également capitaliser le savoir-faire artisanal traditionnel africain pour finir, afin de faire de l’Afrique un hub de l’industrie de la mode, des arts et de la culture.
C’est ainsi que le Fima se donne pour vision a chaque édition la promotion de la culture africaine et des industries créatives pour en faire un véritable vivier économique en faveur de la jeunesse africaine.
Depuis sa première édition en 1998, le Fima oeuvre a mettre en lumière le savoir faire de tout un continent pour promouvoir sa diversité culturelle, l’émergence d’une industrie de la mode et des arts au service du développement, et également capitaliser le savoir-faire artisanal traditionnel africain pour finir, afin de faire de l’Afrique un hub de l’industrie de la mode, des arts et de la culture.
Des défilés, expositions, et concours rythmeront les quatre jours de ce festival en plus d’un colloque sur le financement de la mode, une thématique à l’heure pour faire de la mode africaine une véritable industrie.
Le Prince du désert en la personne de Alphadi explique souligne que « Aujourd'hui, il est important de miser sur un créateur. Les grandes banques devraient s’intéresser de plus en plus aux créateurs africains. Les jeunes créateurs, sortis des grandes écoles ont également besoin de vivre de leur art, de leur passion »
Promouvoir les jeunes créateurs africains, c’est aussi l’ambition que s’est donné le président du Fima, ambition qui s’est concrétisée avec la naissance d’une école d’art et de la mode à Niamey.
Le Prince du désert en la personne de Alphadi explique souligne que « Aujourd'hui, il est important de miser sur un créateur. Les grandes banques devraient s’intéresser de plus en plus aux créateurs africains. Les jeunes créateurs, sortis des grandes écoles ont également besoin de vivre de leur art, de leur passion »
Promouvoir les jeunes créateurs africains, c’est aussi l’ambition que s’est donné le président du Fima, ambition qui s’est concrétisée avec la naissance d’une école d’art et de la mode à Niamey.