En effet le médecin-chef du service de santé scolaire et universitaire-santé adolescents et jeunes (SSSU-SAJ) de Bouna fait savoir qu’une élève en classe de 6e porte une grossesse dans la région du Bounkani rapporte Linfodrome. Malgré toutes les campagnes de sensibilisation des autorités ivoiriennes aux élèves, enseignants et parents d’élèves, les grossesses en milieu scolaire ne cessent de se multiplier dans plusieurs villes en Côte d’Ivoire. La source rapporte qu’un cas incroyable de grossesses en milieu scolaire est signalé dans la Région du Bounkani, située dans le nord-est de la Côte d’Ivoire, au moment alors que les autorités et les organisations non-gouvernementales intensifient la lutte contre les grossesses en milieu scolaire et en font leur cheval de bataille.
Ph:DR des élèves
En fait, depuis le début de l’année scolaire, 2021-2022, cette région du pays a enregistré 43 cas de grossesses dans les écoles. Mieux, une élève inscrite au Cours élémentaire 2e année (CE2) sera bientôt mère si elle ne l’est déjà pas. Cette gamine, qui n’a pas à peine, comprend le sens de la vie porte un enfant en elle. La confidence a été faite par le médecin-chef du Service de santé scolaire et universitaire-santé adolescents et jeunes (SSSU-SAJ) de Bouna, Dr Léopold Kouassi. Et tous ces cas ont été enregistrés lors des deux premiers trimestres. Aux dires du Dr Kouassi, « Certaines filles élèves disparaissent des classes dès l’apparition des premiers signes de grossesse ». Disons que le nombre de cas de grossesse dans cette région pourrait surpasser les chiffres annoncés.
Et qui sait s’il n’y a pas plusieurs élèves du primaire dans ces cas de grossesse non déclarée. Face à une telle situation, le mieux, serait d’accroître les campagnes de sensibilisation auprès des jeunes écolières, sur l’usage des contraceptifs et dans le meilleur des cas sur l’abstinence sexuelle. Aussi, c’est une lutte qui demande la part de tous, surtout les parents d’élèves. C’est en effet la raison pour laquelle le médecin-chef du Service de santé scolaire et universitaire-santé adolescents et jeunes leur supplique de prendre soin de leurs enfants en leur permettant de manger à leur faim. Pour finir, il a donné pour cause la faim comme excuse qui pousse les jeunes filles à se jeter dans les bras des prédateurs sexuels qui abondent aussi bien hors de l’école que dans les établissements fréquentés. À cet effet, un appel d’alerte est lancé au ministre de l'Éducation nationale et de l’Alphabétisation adepte d’un système éducatif performant et compétitif.
Charlemanges Charly
Et qui sait s’il n’y a pas plusieurs élèves du primaire dans ces cas de grossesse non déclarée. Face à une telle situation, le mieux, serait d’accroître les campagnes de sensibilisation auprès des jeunes écolières, sur l’usage des contraceptifs et dans le meilleur des cas sur l’abstinence sexuelle. Aussi, c’est une lutte qui demande la part de tous, surtout les parents d’élèves. C’est en effet la raison pour laquelle le médecin-chef du Service de santé scolaire et universitaire-santé adolescents et jeunes leur supplique de prendre soin de leurs enfants en leur permettant de manger à leur faim. Pour finir, il a donné pour cause la faim comme excuse qui pousse les jeunes filles à se jeter dans les bras des prédateurs sexuels qui abondent aussi bien hors de l’école que dans les établissements fréquentés. À cet effet, un appel d’alerte est lancé au ministre de l'Éducation nationale et de l’Alphabétisation adepte d’un système éducatif performant et compétitif.
Charlemanges Charly