Selon Alassane Ouattara, ‘’c’est un phénomène malheureusement mondial et si on prend le taux d’inflation en Côte d’Ivoire. Évidemment le taux d’inflation général est faible. Le problème de la vie chère résulte d’une déficience de l’offre’’. Cependant, reconnaît le numéro 1 Ivoirien, ‘’En matière de protéines, vous savez également que les problèmes avec certains pays voisins ont ralenti l’acheminement du bétail’’.
Une allusion faite au Mali, principal fournisseur en bétail du marché Ivoirien, qui depuis le 09 Janvier, croule sous un embargo économique imposé par la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). L’impact de cet embargo se fait donc ressentir également sur le quotidien des Ivoiriens, tout au moins ceux qui sont adeptes de la consommation de la viande qui en pâtissent directement.
R.A