Cette mise en garde qui visait spécifiquement les instigateurs de la campagne de désobéissance civile, dont l’ex chef d’état et président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), Henri Konan Bédié, Pascal Affi Nguessan, président du Front Populaire Ivoirien (FPI) et d’autres ténors de l’opposition, avait très vite fait de créer le branle-bas dans l’arène politique Ivoirienne.
Près de 4 mois après, aucune évolution tangible n’est à signaler dans le dossier concernant spécifiquement les poursuites qui visent ces personnalités. Le sort de ces opposants reste pour l’instant, incertain. Du moins, tant que plane cette procédure judiciaire dénoncée par l’opposition comme un moyen de pression politique.
R.A