Pour le dirigeant Ghanéen, le délai de 4 ans proposé par la junte est ‘’clairement inacceptable’’. Toutefois, relativise-t-il, ‘’une période de transition de 12 mois représenterait un cadre acceptable’’. La junte et la CEDEAO pourfendée dans l’opinion publique Malienne suite aux sanctions imposées par les chefs d’états Ouest-Africains, sauront-t-ils accorder leurs violons pour rétablir le cadre de dialogue sérieusement mis à mal depuis le second coup d’état menée par Assimi Goïta et ses acolytes en Mai 2021 contre le régime de la transition civile alors dirigé par Bah Ndaw et Moctar Ouane ?
Le dégel risque pourtant de s’imposer à l’ensemble des parties.
RA