Ce nouvel organe centralisé de gestion de la lutte contre les groupes terroristes répond à la volonté des militaires de reprendre les choses en main à leur manière, face à l’échec du pouvoir civil du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP) dont le bilan en matière de défense reste très approximatif.
Après la chute du régime Kaboré, les attentes grossissent dans l’opinion publique avec l’arrivée des militaires qui ne pourraient tirer leur légitimité que par des succès sur le front.
R.A