Pour palier aux pénuries de ciments de farine de blé de riz et de plusieurs autres produits de grandes consommations dans le territoire, le ministre du commerce camerounais annonce une suspension de l’exportation des produits notamment ceux produits à l’intérieur du pays. Il s’agit du ciment, de l’huile raffinée, du riz ainsi que d’autres produits comme les céréales. Pour le ministre, il n’est pas question de vendre aux consommateurs externes alors que la demande locale n’est pas satisfaite .
Pour certains, la démarche du ministre du commerce est contingentielle. « On ne peut pas imaginer qu’une simple mesure administrative peut venir régler un problème véritablement tournée vers la pénurie. Il faut axer la communication sur la promotion des industries locales » a déclaré un économiste.
Selon les autorités camerounaises, de nombreux grossistes préfèrent faire des affaires avec les pays frontaliers comme la Guinée- équatoriale, le Gabon, la RCA, le Congo Brazza, le Nigéria au détriment du marché local. Cette pénurie selon les observateurs affectent sévèrement la distribution locale, les ménages et autres revendeurs qui voient les prix de certains denrées flambés.
L’objectif de cette note ministérielle est de freiner la flambée des prix sur le marché local. Outre les pénuries des produits sus–mentionnés, s’ajoute également la hausse du prix du sucre en raison de quelques jours d’arrêts de la production d’une des usines sucrières camerounaises dans la localité de Mbandjock en région du centre. Pour les autorités, tous commerçants véreux qui continueront à exporter les produits malgré les pénuries se verront frapper de sanction. Il faut signaler ici que cette mesure fait suite au constat des pénuries aggravées des denrées alimentaire et de l’énergie que l’on observe sur le marché national depuis l’arrivée de la guerre en Ukraine.
Edithe Valérie.
Pour certains, la démarche du ministre du commerce est contingentielle. « On ne peut pas imaginer qu’une simple mesure administrative peut venir régler un problème véritablement tournée vers la pénurie. Il faut axer la communication sur la promotion des industries locales » a déclaré un économiste.
Selon les autorités camerounaises, de nombreux grossistes préfèrent faire des affaires avec les pays frontaliers comme la Guinée- équatoriale, le Gabon, la RCA, le Congo Brazza, le Nigéria au détriment du marché local. Cette pénurie selon les observateurs affectent sévèrement la distribution locale, les ménages et autres revendeurs qui voient les prix de certains denrées flambés.
L’objectif de cette note ministérielle est de freiner la flambée des prix sur le marché local. Outre les pénuries des produits sus–mentionnés, s’ajoute également la hausse du prix du sucre en raison de quelques jours d’arrêts de la production d’une des usines sucrières camerounaises dans la localité de Mbandjock en région du centre. Pour les autorités, tous commerçants véreux qui continueront à exporter les produits malgré les pénuries se verront frapper de sanction. Il faut signaler ici que cette mesure fait suite au constat des pénuries aggravées des denrées alimentaire et de l’énergie que l’on observe sur le marché national depuis l’arrivée de la guerre en Ukraine.
Edithe Valérie.