Le président du Burkina Faso, Roch Kaboré.
« Notre Nation vit des moments difficiles. Nous devons en ce moment précis sauvegarder nos acquis démocratiques. J'invite ceux qui ont pris les armes à les déposer dans l'intérêt Supérieur de la Nation. C'est par le dialogue et l'écoute que nous devons régler nos contradictions ». C’est par ce tweet qu’a réagi ce lundi Roch Marc Christian Kaboré, président du Burkina, alors que depuis ce matin, des informations émanant de différentes sources, l’ annoncent entre les mains des mutins. Toutefois, aucun communiqué officiel n’a confirmé ou infirmé cette information.
Des tirs d’armes, en effet, ont été entendu depuis hier matin dans divers camps militaires de Ouagadougou ainsi que dans la ville de Kaya dans le centre-nord du pays. Coup d’Etat ou mouvement d’humeur de l’armée ? La situation reste confuse. Par ailleurs selon plusieurs sources ce matin, les militaires auraient maintenu leur emprise et le président Kaboré aurait même été arrêté. Un communiqué de la CEDEAO demande le respect de l’intégrité physique du président burkinabé et le retour des militaires dans les casernes.
MH
Des tirs d’armes, en effet, ont été entendu depuis hier matin dans divers camps militaires de Ouagadougou ainsi que dans la ville de Kaya dans le centre-nord du pays. Coup d’Etat ou mouvement d’humeur de l’armée ? La situation reste confuse. Par ailleurs selon plusieurs sources ce matin, les militaires auraient maintenu leur emprise et le président Kaboré aurait même été arrêté. Un communiqué de la CEDEAO demande le respect de l’intégrité physique du président burkinabé et le retour des militaires dans les casernes.
MH