Lors de la cérémonie d’ouverture de cette 14ème édition, le ministre de la promotion de la jeunesse, de l’insertion professionnelle et du civisme ivoirien Monsieur Mamadou Touré a pris la parole pour un devoir de vérité envers les jeunes. Tout en appréciant le thème choisi par le comité d’organisation du Femua, et en félicitant le commissaire général du festival pour sa grande contribution à trouver des solutions pour les problèmes des jeunes, il n’est pas passé par quatre chemins pour expliquer à ces derniers les conditions complexes qui minent l’obtention d’un emploi en Côte d’Ivoire.
« Le thème choisi est pertinent, lorsque dans un pays nous avons a peu près 28 millions de personnes et près de 22 millions qui ont moins de 35 ans, lorsque on regarde sur le continent africain le volume de jeunes que nous avons, près de 420 millions de jeunes sur le marche du travail et dans un demi siècle nous aurons près d’un milliards de jeunes sur le marché du travail » c’est dire la complexité qu’il y a aujourd'hui a obtenir un travail décent.
Il ressort également des propos du ministre que , sur 12 millions de jeunes qui arrivent chaque année sur le marché du travail, il n’y a que 3 millions d’emplois formels qui sont crées. Lorsque on regarde tous ces défis, c’est à juste titre que le président Alassane a ériger la cause de la jeunesse et l’insertion des jeunes au cœur des priorités du gouvernement et c’est une fierté partagée par toute les nations africaines.
Le ministre déplore dans son discours, le fait que les jeunes aujourd’hui veulent tous être des fonctionnaires. « La promotion de l’entrepreneuriat est intéressante. lorsqu’ on gère chaque année les concours publics et parapublics ont un a un cota de 300 000 places et les postes disponibles ne sont que de 30 000. Sa veut dire que de façon structurelle, chaque année, il y a 270 000 jeunes qui ne pourront jamais rentrer dans la fonction publique. L’entrepreneuriat apparaît alors comme l’une des solutions. Il faut savoir que on ne nait pas entrepreneur. Pour entreprendre, il faut accepter d’être formé et malheureusement, beaucoup de jeunes veulent travailler sans être formés. A l’occasion de ce Femua, nous avons un devoir de vérité, il faut accepter de se former. » a t’il ajouté.
« Le thème choisi est pertinent, lorsque dans un pays nous avons a peu près 28 millions de personnes et près de 22 millions qui ont moins de 35 ans, lorsque on regarde sur le continent africain le volume de jeunes que nous avons, près de 420 millions de jeunes sur le marche du travail et dans un demi siècle nous aurons près d’un milliards de jeunes sur le marché du travail » c’est dire la complexité qu’il y a aujourd'hui a obtenir un travail décent.
Il ressort également des propos du ministre que , sur 12 millions de jeunes qui arrivent chaque année sur le marché du travail, il n’y a que 3 millions d’emplois formels qui sont crées. Lorsque on regarde tous ces défis, c’est à juste titre que le président Alassane a ériger la cause de la jeunesse et l’insertion des jeunes au cœur des priorités du gouvernement et c’est une fierté partagée par toute les nations africaines.
Le ministre déplore dans son discours, le fait que les jeunes aujourd’hui veulent tous être des fonctionnaires. « La promotion de l’entrepreneuriat est intéressante. lorsqu’ on gère chaque année les concours publics et parapublics ont un a un cota de 300 000 places et les postes disponibles ne sont que de 30 000. Sa veut dire que de façon structurelle, chaque année, il y a 270 000 jeunes qui ne pourront jamais rentrer dans la fonction publique. L’entrepreneuriat apparaît alors comme l’une des solutions. Il faut savoir que on ne nait pas entrepreneur. Pour entreprendre, il faut accepter d’être formé et malheureusement, beaucoup de jeunes veulent travailler sans être formés. A l’occasion de ce Femua, nous avons un devoir de vérité, il faut accepter de se former. » a t’il ajouté.
Il a au cours de son allocution insisté sur le fait que les jeunes doivent se former pour pourvoir créer eux même leur propres affaires. Il a également soulevé la difficultés que rencontre certains jeunes voulant investir à leur propre compte, notamment celui du financement. Les banques refusent de prêter ou alors refusent d’accompagner le plus souvent ces primo- entrepreneurs. Néanmoins il est resté positif dans la suite en invitant les jeunes a s’impliquer davantage pour trouver ensemble des solutions pour le futur.
« Nous avons un secteur privé en plain essor, mais pas encore dynamique pour absorbé toute la main d’œuvre actuelle. Il y a certes des reformes en cours, mais beaucoup reste à faire. Nous allons apporter toutes nos contributions au débat, avec tous les experts qui seront réunis à partir de jeudi pour le programme « carrefour jeunesse » afin que tous ensemble, nous puissions en trouver des solutions. Je dis toujours que la question des jeunes et l’insertion des jeunesse, devraient faire l’objet d’un consensus national, il ne s’agit pas d’une affaire politique »
Avant de clore son discours, le ministre des jeunes Mamadou Touré a promis la mise en place d’une ligne de financement par son département ministériel d’une somme de 100 millions pour un projet entrepreneurial au Femua. Il sera redistribué aux jeunes qui auront proposer des projets fiables en art et culture et tout autre domaine d’activités et qui auront participé aux formations pendant le programme « Carrefour jeunesse ».
Edithe Valerie.
« Nous avons un secteur privé en plain essor, mais pas encore dynamique pour absorbé toute la main d’œuvre actuelle. Il y a certes des reformes en cours, mais beaucoup reste à faire. Nous allons apporter toutes nos contributions au débat, avec tous les experts qui seront réunis à partir de jeudi pour le programme « carrefour jeunesse » afin que tous ensemble, nous puissions en trouver des solutions. Je dis toujours que la question des jeunes et l’insertion des jeunesse, devraient faire l’objet d’un consensus national, il ne s’agit pas d’une affaire politique »
Avant de clore son discours, le ministre des jeunes Mamadou Touré a promis la mise en place d’une ligne de financement par son département ministériel d’une somme de 100 millions pour un projet entrepreneurial au Femua. Il sera redistribué aux jeunes qui auront proposer des projets fiables en art et culture et tout autre domaine d’activités et qui auront participé aux formations pendant le programme « Carrefour jeunesse ».
Edithe Valerie.