Le duo a été arrêté dans la zone du gouvernement local d’Olaoluwa, alors qu’ils transportaient les parties humaines mutilées dans un sac Ghana-Must-Go. Ganiyu, qui a failli être lynché par une foule enragée, a affirmé qu’il avait été monté par le mari de sa fille.
Confirmant l’arrestation aux journalistes, le commandant de terrain d’Amotekun, le camarade Amitolu Shittu, a déclaré : « Sept autres suspects ont été arrêtés dans la ville d’Iwo en lien avec les nouvelles parties humaines. L’identité du cadavre n’est pas encore connue. Nous avons arrêté Lawal Ibraheem (25 ans), Adiatu Rufus (19 ans), Fatola Niyi (45 ans), Eniola Akeem (42 ans), Chief Amusan (64 ans), Alaba Oyeniran (31) et Oyekola Ibraheem (20 ans).
Amitolu a noté que tous les suspects ont été remis au Département des services d’État (DSS) pour une enquête plus approfondie. Le commandement de la police de l’Etat de Lagos au Nigeria, a arrêté mardi, un religieux islamique, Alfa Kayode Abdul-Fatai, dans la région d’Alakuko, pour possession illégale de parties humaines, dont un organe féminin. Le suspect, qui a été arrêté au n ° 4, rue Okedumola, dans la zone d’Obadare, à Alakuko, aurait également été attrapé avec un cœur et d’autres parties d’une femme dans sa chambre.
Le responsable des relations publiques de l’État de Lagos, SP Chike Oti, a déclaré que le religieux islamique avait été arrêté à la suite d’une dénonciation, et d’une enquête par des officiers du commandement. Oti a déclaré que le suspect, lors de son interrogatoire, a révélé que les parties humaines ont été données par un complice qui a également été mis aux arrêts. Selon Oti, le suspect et le complice seraient poursuivis en justice à la fin de l’enquête. Il a déclaré que le Commissaire de police, Edgal Imohimi, a demandé instamment aux membres du public d’être conscients des activités des personnes vivant dans leurs voisinages, et de signaler tout mouvement suspect aux forces de l’ordre. Le commissaire exhorte les membres du public à se lancer dans l’opération « Connais ton voisin » parce que le suspect vivait dans un camp, sans que ses voisins sachent ce qu’il fait pour gagner sa vie «, a dit Oti. L’Afrique et ses mystères.