Dans les années 1970, le Togo était considéré comme le centre du commerce ouest-africain, l'industrie textile étant sa principale source de revenus. Des femmes d'affaires connues sous le nom de Nana Benz. Nana" signifie mère en togolais et "Benz" fait référence à leur mode de transport préféré. Ces dames ont fait jadis de la capitale, togolaise Lomé, un centre régional de distribution de textiles. Cependant, au début des années 2000, les tissus Nana Benz ont dû faire face à une forte concurrence du marché chinois, dont les textiles étaient vendus à un dixième du prix de ceux produits au Togo.
Le pays de Gnassingbé Eyadema s’est donné depuis cette année l’ambition de rebooster son industrie du textile. Un avant-projet de loi allant dans ce sens, était sur la table de l'exécutif, et a été adopté il y a quelques jours en Conseil des ministres.
Le gouvernement veut introduire une politique de l’industrie du textile et de l’habillement en renforçant les capacités de transformations du coton ainsi que l’attractivité de sa destination. Une politique qui mettra l’accent sur l’amélioration de la production et la transformation du coton produit par le Togo.
Pour l’équipe du Premier ministre togolais Victoire Tomégah-Dogbé, il s’agit notamment de permettre au Togo de disposer d’un véritable outil d’accélération de l’installation des industries du secteur du textile et de l’habillement et de booster ainsi un secteur à forte intensité en main d’œuvre. »
L'objectif ici selon les autorités togolaises étant de faire du secteur, un levier de promotion de l’emploi, de ressusciter l’industrie du textile togolais en lui offrant une nouvelle politique d’investissement dans la sous –région, d’augmenter le revenu par habitant de la population et ainsi, de contribuer à l’amélioration de l’économie nationale.
EVN.
Pour l’équipe du Premier ministre togolais Victoire Tomégah-Dogbé, il s’agit notamment de permettre au Togo de disposer d’un véritable outil d’accélération de l’installation des industries du secteur du textile et de l’habillement et de booster ainsi un secteur à forte intensité en main d’œuvre. »
L'objectif ici selon les autorités togolaises étant de faire du secteur, un levier de promotion de l’emploi, de ressusciter l’industrie du textile togolais en lui offrant une nouvelle politique d’investissement dans la sous –région, d’augmenter le revenu par habitant de la population et ainsi, de contribuer à l’amélioration de l’économie nationale.
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