C’est le ministre togolais du Commerce , Kodjo Adédzé, qui l’a annoncé jeudi le 8 septembre dernier dans la capitale éponyme lors d’une réunion virtuelle au secrétariat général de l’institution.
« Le monde étant en profonde mutation, les consommateurs de plus en plus exigeants et les concurrents toujours à la quête d’opportunités d’affaires, nous devons travailler davantage sur les aspects de quantité, mais aussi de qualité et de certification dans les chaînes de valeur de notre café pour garantir une meilleure compétitivité’, a-t-il déclaré.
Kodjo Adédzé est le président en exercice du comité directeur de l’OIAC.
‘Le café est le deuxième produit le plus échangé au monde après le pétrole évalué à des revenus de l’ordre de 466 milliards de dollars en 2021. L’Afrique est le berceau du café Arabica et Robusta et est le deuxième plus grand continent au monde où le plus grand nombre de pays cultivent du café.
Au cours de la rencontre annoncée à Lomé, les différentes délégations de pays membres vont plancher sur les questions de quantité, qualité et certification de la chaîne de valeurs café.
« Nous devons travailler davantage sur les aspects quantité, mais aussi de qualité et de certification dans les chaînes de valeurs de notre café pour garantir une meilleure compétitivité. Le monde étant en profonde mutation, les consommateurs sont de plus en exigeants et les concurrents toujours à la quête d’opportunités d’affaires », a indiqué l’officiel togolais lors de cette rencontre qui a aussi servi de cadre des préparatifs du rendez-vous de Lomé. Des délégations de 25 pays africains producteurs de café, devraient y participer.