Djeli Guinet ou encore la femme griotte en langue Soussou et Malinké de Guinée est une femme débordante d’énergie qui approche à sa soixantaine. Elle a fait des instruments traditionnels tel le balafon, le djembé , la kora, et le krin, le bolong, le toungoung ses passions.
C’est à son plus jeune âge que, suspendu au côté de son papa, elle a appris a utiliser ces instruments de musiques traditionnelles. Elle est née dans une famille de balafoniste réputée et a grandi dans le balafon. D’une ingéniosité artistique polyvalente et exceptionnelle sans pareille, le balafon, le Djembé et plusieurs autres instruments traditionnels, elle en maitrise parfaitement. Si vous la voyez jouer, c’est l’attraction ! Un art qu’elle a hérité de son père, Ousmane Kouyaté. A son tour, elle a su transmettre cet héritage plus précieux à ses enfants. Oui, Kouyate Fatoumata est mère de 8 enfants avec qui elle partage la scène et la passion des instruments.
Elle explique qu’ une femme griotte dans la société guinéenne n’est pas une identité nouvelle. Elle a su tirer son épingle du jeu de part sa particularité à jouer plusieurs instruments. Ce qui à fait la différence. Djéliguinèt, qui veut dire griotte en langue Soussou, est dans ce métier depuis le bas âge. Elle maîtrise tellement bien ses instruments, qu’on oublie qu’elle n’est passée par aucune école de musique. Malgré les difficultés rencontrées, elle est sortie victorieuse grâce à sa passion pour son métier. A en croire ses propos, le goût du métier, aussi masculin le pense- t- on, lui a valu d’énormes difficultés, notamment, la perception mythique du métier accordé aux ancêtres et qui ne mérite qu’un exercice masculin.
Cette digne descendante Malinké est a son deuxième Masa, le premier ayant été avec une troupe guinnéenne masculine en 2007. Ses prestations lors de cette 12ème édition du Masa ont fait l’objet d’une curiosité de par son originalité. Son répertoire est fait de classiques chansons aux sonorités sahéliennes qui racontent une histoire et invitent au voyage.
Quand on lui pose la question de savoir que représente le Masa pour elle, l’ancienne amazone de Guinée dans un air sérieux et plein de sincérité déclare que : « Le Masa est une excellente plateforme d’échanges et de partages, un festival qui aide beaucoup les artistes africains et qui ne doit pas disparaître. » Durant son séjour en terre ivoirienne, la troupe a été approchée par plusieurs promoteurs de spectacle à travers le monde, et il ne serait pas étonnant de retrouver le Djeli Guinet Band à l’avenir dans un festival en Afrique et pourquoi pas dans le monde. Comme disent les anglais : he deserve It.
C’est à son plus jeune âge que, suspendu au côté de son papa, elle a appris a utiliser ces instruments de musiques traditionnelles. Elle est née dans une famille de balafoniste réputée et a grandi dans le balafon. D’une ingéniosité artistique polyvalente et exceptionnelle sans pareille, le balafon, le Djembé et plusieurs autres instruments traditionnels, elle en maitrise parfaitement. Si vous la voyez jouer, c’est l’attraction ! Un art qu’elle a hérité de son père, Ousmane Kouyaté. A son tour, elle a su transmettre cet héritage plus précieux à ses enfants. Oui, Kouyate Fatoumata est mère de 8 enfants avec qui elle partage la scène et la passion des instruments.
Elle explique qu’ une femme griotte dans la société guinéenne n’est pas une identité nouvelle. Elle a su tirer son épingle du jeu de part sa particularité à jouer plusieurs instruments. Ce qui à fait la différence. Djéliguinèt, qui veut dire griotte en langue Soussou, est dans ce métier depuis le bas âge. Elle maîtrise tellement bien ses instruments, qu’on oublie qu’elle n’est passée par aucune école de musique. Malgré les difficultés rencontrées, elle est sortie victorieuse grâce à sa passion pour son métier. A en croire ses propos, le goût du métier, aussi masculin le pense- t- on, lui a valu d’énormes difficultés, notamment, la perception mythique du métier accordé aux ancêtres et qui ne mérite qu’un exercice masculin.
Cette digne descendante Malinké est a son deuxième Masa, le premier ayant été avec une troupe guinnéenne masculine en 2007. Ses prestations lors de cette 12ème édition du Masa ont fait l’objet d’une curiosité de par son originalité. Son répertoire est fait de classiques chansons aux sonorités sahéliennes qui racontent une histoire et invitent au voyage.
Quand on lui pose la question de savoir que représente le Masa pour elle, l’ancienne amazone de Guinée dans un air sérieux et plein de sincérité déclare que : « Le Masa est une excellente plateforme d’échanges et de partages, un festival qui aide beaucoup les artistes africains et qui ne doit pas disparaître. » Durant son séjour en terre ivoirienne, la troupe a été approchée par plusieurs promoteurs de spectacle à travers le monde, et il ne serait pas étonnant de retrouver le Djeli Guinet Band à l’avenir dans un festival en Afrique et pourquoi pas dans le monde. Comme disent les anglais : he deserve It.
Edithe Valerie Nguekam au Masa