C’est 26 nations, 98 artistes et groupes artistiques proposeront près de 200 spectacles, dans des disciplines artistiques diverses à travers la ville d’Abidjan. Le Premier ministre Patrick Achi qui a présidé la cérémonie, a adressé le traditionnel Akwaba à tous ces acteurs culturels qui ont effectué le déplacement pour vivre cet évènement au bord de la lagune Ébrié. Il s’est réjoui qu’Abidjan prenne, le temps d’une semaine de festivités, le leadership de la scène culturelle internationale. Il a rappelé l’importance de la culture et des arts dans la vie des peuples, et de l’Afrique en particulier. C’est pourquoi, il a relevé l’importance du Masa qui, à travers ses spectacles, ateliers, fora et tables rondes, se positionne comme un vecteur de la promotion de cette culture.
«C’est toujours une fierté pour la Côte d’ivoire d’accueillir ses hôtes pour promouvoir l’un des trésors les plus magnifiques de l’Afrique.... Ce trésor, c’est l’art. Ce sont d’ailleurs les arts multiples qui traversent l’Afrique depuis des millénaires, et qui, dans ce nouveau siècle, font révéler notre continent dans tous les champs artistiques, sur toutes les terres du monde», a-t-il expliqué. Avant de se satisfaire du thème de cette 12e édition du Masa : « Les industries culturelles et créatives : le défi des contenus ». Qui est, a-t-il estimé, en phase avec la profonde intrusion du numérique dans l’industrie artistique et culturelle. «Le digital a bouleversé la culture... Il n’est sans doute plus possible aujourd’hui d’être un artiste sans avoir d’identité virtuelle ou d’activité numérique sur les réseaux», a-t-il fait observer.
Pour, Harlette Badou N’guessan, ministre de la Culture et de l’industrie des arts et du spectacle, s’est montrée reconnaissante pour l’implication du Premier ministre pour la réussite de l’évènement.
Ainsi qu’aux partenaires institutionnels associés à l’organisation de cette biennale. Notamment l’Oif, l’Union européenne, le Conseil de l’Entente, la Cedeao, etc. Pour elle, le Masa est bien la preuve vivante de l’existence d’une économie créative qui peut être activée et valorisée. Il faut indiquer que cette édition du Masa a pour marraine la ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Kandia Kamissoko Camara. Qui a rehaussé la cérémonie par sa présence.
Avec près de 200 représentations artistiques des arts divers tels que le conte, slam, humour, danse, cirque, théâtre. La ville d’Abidjan se transforme, le temps du Masa, en un véritable champ d’expression artistique. Cela, au plus grand bonheur du public qui pourra vivre l’évènement dans de nombreux points de la capitale.
Charlemanges Charly
Ainsi qu’aux partenaires institutionnels associés à l’organisation de cette biennale. Notamment l’Oif, l’Union européenne, le Conseil de l’Entente, la Cedeao, etc. Pour elle, le Masa est bien la preuve vivante de l’existence d’une économie créative qui peut être activée et valorisée. Il faut indiquer que cette édition du Masa a pour marraine la ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Kandia Kamissoko Camara. Qui a rehaussé la cérémonie par sa présence.
Avec près de 200 représentations artistiques des arts divers tels que le conte, slam, humour, danse, cirque, théâtre. La ville d’Abidjan se transforme, le temps du Masa, en un véritable champ d’expression artistique. Cela, au plus grand bonheur du public qui pourra vivre l’évènement dans de nombreux points de la capitale.
Charlemanges Charly