Depuis Bamako, A.D, journaliste dans un organe de presse en ligne, ne cache pas son dégoût des autorités de transition qu’il accuse de prendre le pays en otage. Lors d’un échange ce Mercredi 12 Janvier sur l’ambiance qui prévaut sur les rives du djoliba après les lourdes sanctions de la CEDEAO qui font craindre la banqueroute au Mali, il s’indignait : ‘’C’est ce qui a permis à Yahya Jammeh de quitter le pouvoir en Gambie.
On ne peut pas accepter que des gens s’accaparent du pouvoir et fassent du n’importe quoi. Qui n’ont aucun moyen ni intellectuel, ni matériel pour développer ce pays. Le gars (Ndlr : Assimi Goïta), il est dans son rêve, certains disent, il faut qu’il parte. Il peut venir organiser les élections et partir. Mais, on ne peut pas accepter que des gens fassent un coup d’état et s’éternisent dans un pays comme le Mali, c’est fini ça’’.
Ce Dimanche 09 Janvier, le Mali a écopé de sanctions sévères de la part de la CEDEAO qui a ordonné un embargo économique sur le pays pour contraindre la junte à renoncer à son chronogramme d’organisation de la prochaine présidentielle dans un délai de 4 ans, en 2026.
Raoul Mobio
On ne peut pas accepter que des gens s’accaparent du pouvoir et fassent du n’importe quoi. Qui n’ont aucun moyen ni intellectuel, ni matériel pour développer ce pays. Le gars (Ndlr : Assimi Goïta), il est dans son rêve, certains disent, il faut qu’il parte. Il peut venir organiser les élections et partir. Mais, on ne peut pas accepter que des gens fassent un coup d’état et s’éternisent dans un pays comme le Mali, c’est fini ça’’.
Ce Dimanche 09 Janvier, le Mali a écopé de sanctions sévères de la part de la CEDEAO qui a ordonné un embargo économique sur le pays pour contraindre la junte à renoncer à son chronogramme d’organisation de la prochaine présidentielle dans un délai de 4 ans, en 2026.
Raoul Mobio