Dans sa livraison n° 328 du 15 au 18 février 2022, le bimensuel Le reporter révèle que des changements sont opérés au sein du Gspr depuis le 10 février 2022. "313 gendarmes et plus de 200 policiers ont reçu une notification qui met fin à leur mise à disposition. Les gendarmes regagnent leur ministère d'origine, à savoir le ministère des armées et des anciens combattants. Les policiers eux, regagnent le ministère de la sécurité", révèle le confrère qui précise que "ils seront remplacés par les éléments de l'armée de terre, seule habilitée à assurer la sécurité présidentielle désormais". Cette configuration pourrait affecter aussi la primature et l'assemblée nationale. La sécurité de ces institutions échoit à la police nationale. Ces changements tirent leur fondement du fait des conflits récurrents entre gendarmes et policiers au sein du Gspr. Ceux-ci font poser des questions sur la sécurité du président de la république. Notons que jusqu'en 2015, date du coup d'état manqué, la sécurité du président de la république était l'affaire du régiment de la sécurité présidentielle (Rsp). Norbert Nkaka (source, Le reporter du 15 au 28 février 2022)
Junior Gnapié | 13/06/2024 | 106 vues