Comme tous les samedis dans nos villages, des funérailles ont lieu très souvent dans la ferveur populaire. Mais ce samedi 1er Avril, à N'guinou, un village situé dans la sous-préfecture de Bongouanou, des obsèques qui se déroulaient dans l'euphorie, se sont terminées dans le drame.
Mais qu'est ce qui s'est réellement passé ?
Selon un témoin des faits, des corps habillés (Gendarmes et policiers) venus soutenir un des leurs qui a perdu sa tante, avant d'aller à l'église pour la messe de requiem, ont commencé à tirer en l'air comme ils le font souvent lors des cérémonies funéraires. Mais malheureusement, l'arme de l'un d'entre eux (fils du village), le MDC Allou Aka Athanase, gendarme en service à la brigade de Marabadiassa, déjà chambrée s'est bloquée.
C'est donc en voulant la débloquer, que le coup est parti, touchant mortellement un jeune qui se trouvait dans la trajectoire de la balle. Il s'agit du nommé Ano Tiemélé Jean Boniface, cultivateur, âgé de 30 ans.
Pris de panique, le jeune gendarme a pris la fuite. Il a été très vite rattrapé par des jeunes du village surexcités qui l'ont battu à sang.
Laissé pour mort, il a eu la vie sauve grâce au renfort d'une section de l'escadron, venu de Bongouanou à la demande du Sous-préfet qui s'y trouvait pour la fête de moisson d'une église. L'ordre a donc été rétabli dans le village et l'infortuné gendarme a été évacué d'urgence à l'hôpital de Bongouanou par les sapeurs pompiers civils, pour recevoir les premiers soins.
Vu la gravité de son état, il a été transféré par la suite, dans une structure hospitalière d'Abidjan. Au dernière nouvelle, il est toujours en vie malgré ses blessures et divers traumatismes.
Dans le sac du gendarme, il a été retrouvé un chargeur vide.
Le procureur militaire à été saisi de l'affaire par la gendarmerie nationale brigade de Bongouanou.
Correspondant Abidjan4all
Mais qu'est ce qui s'est réellement passé ?
Selon un témoin des faits, des corps habillés (Gendarmes et policiers) venus soutenir un des leurs qui a perdu sa tante, avant d'aller à l'église pour la messe de requiem, ont commencé à tirer en l'air comme ils le font souvent lors des cérémonies funéraires. Mais malheureusement, l'arme de l'un d'entre eux (fils du village), le MDC Allou Aka Athanase, gendarme en service à la brigade de Marabadiassa, déjà chambrée s'est bloquée.
C'est donc en voulant la débloquer, que le coup est parti, touchant mortellement un jeune qui se trouvait dans la trajectoire de la balle. Il s'agit du nommé Ano Tiemélé Jean Boniface, cultivateur, âgé de 30 ans.
Pris de panique, le jeune gendarme a pris la fuite. Il a été très vite rattrapé par des jeunes du village surexcités qui l'ont battu à sang.
Laissé pour mort, il a eu la vie sauve grâce au renfort d'une section de l'escadron, venu de Bongouanou à la demande du Sous-préfet qui s'y trouvait pour la fête de moisson d'une église. L'ordre a donc été rétabli dans le village et l'infortuné gendarme a été évacué d'urgence à l'hôpital de Bongouanou par les sapeurs pompiers civils, pour recevoir les premiers soins.
Vu la gravité de son état, il a été transféré par la suite, dans une structure hospitalière d'Abidjan. Au dernière nouvelle, il est toujours en vie malgré ses blessures et divers traumatismes.
Dans le sac du gendarme, il a été retrouvé un chargeur vide.
Le procureur militaire à été saisi de l'affaire par la gendarmerie nationale brigade de Bongouanou.
Correspondant Abidjan4all