‘’Les questions qui nous opposent sont connues, diagnostiquées, documentées, consignées. Je forme l’espoir qu’ensemble, nous sachions ouvrir une nouvelle page pour enfin solder le cycle de trois décennies de violence, de méfiance réciproque, de douleurs et de deuils. Il n’y a pas de fatalité. Si nous le voulons avec la même sincérité et une commune détermination, la Côte d’Ivoire retrouvera le chemin de la stabilité politique et de la cohésion sociale’’, déclarait l’ancien premier ministre Ivoirien au sortir des travaux. Par ailleurs, Affi Nguessan en cerne les enjeux : ‘’Le Front Populaire Ivoirien (FPI) et l’Alliance des Forces Démocratiques (AFD) sauront se hisser à la hauteur de cet enjeu.
Depuis 30 ans, notre histoire est brutale. Depuis 30 ans, nos compatriotes subissent les conséquences de notre incapacité collective à leur offrir cet environnement de paix et de stabilité qui doit permettre l’épanouissement de chacun d’entre eux et le rayonnement de notre pays. C’est pourtant la raison d’être des leaders politiques.
Depuis 30 ans, notre histoire a creusé des fossés, bâti des murs de mésentente et parfois de haine. Notre histoire n’est pas à l’image de ce que nous sommes. Notre histoire ne reflète pas l’identité profonde de la Côte d’Ivoire. Elle ne répond pas davantage aux aspirations de nos compatriotes, un peuple épris de paix.
Nos compatriotes attendent de nous la construction d’une vraie nation, unie dans sa diversité, confiante en ses institutions, un pays modèle, un pays moteur pour le reste du continent.
Aujourd’hui, le contexte international et Sous-régional ne nous laisse en réalité plus le choix. Il nous impose de faire preuve d’esprit de responsabilité et de dépassement. La menace terroriste nous oblige à faire bloc. Elle nous incite à la cohésion, au rassemblement autour de l’essentiel, l’intérêt de la Côte d’Ivoire’’.
Pour une partie d’opposition, notamment dans le camp Soro, ce dialogue part déjà sur des bases d’échec du fait de l’exclusion de Générations et Peuples Solidaires (GPS) de la table des négociations bien que ce mouvement représente l’une des principales forces politiques en Côte d’Ivoire.
R.A
Depuis 30 ans, notre histoire est brutale. Depuis 30 ans, nos compatriotes subissent les conséquences de notre incapacité collective à leur offrir cet environnement de paix et de stabilité qui doit permettre l’épanouissement de chacun d’entre eux et le rayonnement de notre pays. C’est pourtant la raison d’être des leaders politiques.
Depuis 30 ans, notre histoire a creusé des fossés, bâti des murs de mésentente et parfois de haine. Notre histoire n’est pas à l’image de ce que nous sommes. Notre histoire ne reflète pas l’identité profonde de la Côte d’Ivoire. Elle ne répond pas davantage aux aspirations de nos compatriotes, un peuple épris de paix.
Nos compatriotes attendent de nous la construction d’une vraie nation, unie dans sa diversité, confiante en ses institutions, un pays modèle, un pays moteur pour le reste du continent.
Aujourd’hui, le contexte international et Sous-régional ne nous laisse en réalité plus le choix. Il nous impose de faire preuve d’esprit de responsabilité et de dépassement. La menace terroriste nous oblige à faire bloc. Elle nous incite à la cohésion, au rassemblement autour de l’essentiel, l’intérêt de la Côte d’Ivoire’’.
Pour une partie d’opposition, notamment dans le camp Soro, ce dialogue part déjà sur des bases d’échec du fait de l’exclusion de Générations et Peuples Solidaires (GPS) de la table des négociations bien que ce mouvement représente l’une des principales forces politiques en Côte d’Ivoire.
R.A