Ces questions brûlent depuis quelques jours sur les lèvres à Abidjan. Que pourrait-t-il advenir des chefs de guerre de l’ancienne rébellion des Forces Nouvelles, en cas de nouvelles instructions judiciaires par la Cour Pénale Internationale (CPI) ? Le site Akody.com est pourtant formel.
Des experts ont été mandatés par l’institution judiciaire pour approfondir les enquêtes sur la crise postélectorale de 2011, qui a endeuillée la Côte d’ivoire, près de 10 ans, après l’ouverture du procès de Laurent Gbagbo.
Au premier rang des accusés, si la procédure devait être relancée, devraient figurer les chefs de guerre de l'ex rébellion, accusés par certaines victimes de la crise postélectorale, notamment à l'ouest du pays, de s’être rendus coupables de nombreuses exactions sur des populations civils.
Seulement, une telle éventualité donne du tournis sur place à Abidjan. Personne n’imagine par quel moyen, ces soldats, désormais gradés aux rangs d’officiers dans l’armée Ivoirienne, et qui font partie des piliers de la défense du régime, pourraient être inquiétés par la justice internationale.
Les livrer à l’expertise judiciaire internationale, serait vite perçu comme un acte suicidaire pour le régime en place à Abidjan. La loyauté de ces officiers envers le successeur de Laurent Gbagbo au palais présidentiel, n'a visiblement jamais fait défaut. Et ces liens indéfectibles devraient logiquement constituer un rempart pour ces soldats.
À peine 3 mois après le début effectif de son 3ème mandat, Alassane Ouattara devrait miser sur une stabilisation accrue du pays. Ce qui mettrait inéluctablement à contribution ces ex com zones.
Des experts ont été mandatés par l’institution judiciaire pour approfondir les enquêtes sur la crise postélectorale de 2011, qui a endeuillée la Côte d’ivoire, près de 10 ans, après l’ouverture du procès de Laurent Gbagbo.
Au premier rang des accusés, si la procédure devait être relancée, devraient figurer les chefs de guerre de l'ex rébellion, accusés par certaines victimes de la crise postélectorale, notamment à l'ouest du pays, de s’être rendus coupables de nombreuses exactions sur des populations civils.
Seulement, une telle éventualité donne du tournis sur place à Abidjan. Personne n’imagine par quel moyen, ces soldats, désormais gradés aux rangs d’officiers dans l’armée Ivoirienne, et qui font partie des piliers de la défense du régime, pourraient être inquiétés par la justice internationale.
Les livrer à l’expertise judiciaire internationale, serait vite perçu comme un acte suicidaire pour le régime en place à Abidjan. La loyauté de ces officiers envers le successeur de Laurent Gbagbo au palais présidentiel, n'a visiblement jamais fait défaut. Et ces liens indéfectibles devraient logiquement constituer un rempart pour ces soldats.
À peine 3 mois après le début effectif de son 3ème mandat, Alassane Ouattara devrait miser sur une stabilisation accrue du pays. Ce qui mettrait inéluctablement à contribution ces ex com zones.