Alliance Côte d’Ivoire est une Ong qui a parmi ces nombreuses la lutte contre la tuberculose, le soutien des communautés dans leurs actions de lutte contre le VIH/ sida, et d’autres pandémies éventuelles, la promotion de la santé et du développement des droits humains. Elle a tenu son atelier bilan le mardi 31 mai dernier en présence de ses partenaires sur le terrain et ses 12 ambassadeurs de bonne volonté.
Il ressort de ce bilan que plusieurs actions avec ses ambassadeurs de bonne volonté ont impacté ce combat pour la première année d’implémentation. Des actions palpables pour a lutte contre cette maladie tueuse silencieuse qui décime chaque année une bonne tranche de la population africaine. On peut lister entre autres, 01 single et 01 clip de sensibilisation sur la tuberculose avec des célébrités, 06 campagnes multimaladies à fort impact sur la population cible, 02 émissions télé de visibilité, 03 campagnes d’affichages sur Abidjan et à l’intérieur du pays , 02 spots Télé avec l’artiste Meiway sur l’auto-test et la lutte contre la stigmatisation. Au final il en est ressorti un fort engagement des ambassadeurs à poursuivre la lutte contre la tuberculose et le VIH aux cotés de l’ONG pour le bien être des populations.
Des défis à relever
Les missions de cette institution visent à soutenir l’action communautaire. La lutte contre le VIH, les maladies prioritaires et les maladies émergentes et réémergences, la promotion de la santé en situation de crise ou humanitaire, protection des droits humaines, la promotion du genre, la lutte contre la pauvreté et la gestion responsable de l’environnement.
Malgré un bilan satisfaisant selon les responsables de Alliance CI, beaucoup reste encore à faire. Des défis restent encore à relever. Il faut signaler que selon l’Oms environ 35 000 personnes sont potentiellement atteintes de tuberculose en Côte d’Ivoire. en 2021, seulement 21090 cas ont été notifiés. Soit un gap de 15 000 personnes à rechercher. Le manque d’informations, les problèmes liés à la stigmatisation, et la discrimination des populations vulnérables sont des goulots d’étranglement qui empêchent de rentrer en contact avec ces cas.
Le Dr Souleyman Sidibé coordonnateur adjoint du programme de lutte contre la tuberculose en Côte d’Ivoire ( PNLT CI) nous édifie plus sur les contours de cette maladie en rappelant que la tuberculeuse est une maladie contagieuse infectieuse qui se transmet d’un sujet malade à un sujet saint. Le sujet va se contaminer très rapidement dans un environnement mal ventilé où l’air y est stagnant , et où il y a un confinement. Les facteurs qui favorise la maladie sont entre autres, le VIH mal suivi, le diabète, les cancers, la corticothérapie, et bien sûr si l’organisme est exposé à une quantité importante de microbes.
On retrouve la tuberculose sous plusieurs formes, la plus classique qui est celle pulmonaire, et aussi une atteinte aux organes, au foie, à la peau, la forme osseuse aussi et dans ces cas on parle de tuberculose extra pulmonaire. C’est une maladie grave, mais curable. Le traitement dure au moins 6 mois, pour les formes sensibles.
Les profils exposés à cette maladie sont surtout les populations vulnérables qui vivent dans des endroits clos mal ventilés et qui n’ont pas une bonne alimentation ou hygiène de vie. Mais, de façon classique, tout le monde peut être sujet à cette maladie. La mesure préventive selon le docteur Sidibé c’est diagnostiquer tous les malades et les traiter afin qu’il n’y ai plus le microbes dans l’atmosphère. Mais le gap est que on arrive pas toujours à capter tous les malades, par manque d’informations.
Malgré un bilan satisfaisant selon les responsables de Alliance CI, beaucoup reste encore à faire. Des défis restent encore à relever. Il faut signaler que selon l’Oms environ 35 000 personnes sont potentiellement atteintes de tuberculose en Côte d’Ivoire. en 2021, seulement 21090 cas ont été notifiés. Soit un gap de 15 000 personnes à rechercher. Le manque d’informations, les problèmes liés à la stigmatisation, et la discrimination des populations vulnérables sont des goulots d’étranglement qui empêchent de rentrer en contact avec ces cas.
Le Dr Souleyman Sidibé coordonnateur adjoint du programme de lutte contre la tuberculose en Côte d’Ivoire ( PNLT CI) nous édifie plus sur les contours de cette maladie en rappelant que la tuberculeuse est une maladie contagieuse infectieuse qui se transmet d’un sujet malade à un sujet saint. Le sujet va se contaminer très rapidement dans un environnement mal ventilé où l’air y est stagnant , et où il y a un confinement. Les facteurs qui favorise la maladie sont entre autres, le VIH mal suivi, le diabète, les cancers, la corticothérapie, et bien sûr si l’organisme est exposé à une quantité importante de microbes.
On retrouve la tuberculose sous plusieurs formes, la plus classique qui est celle pulmonaire, et aussi une atteinte aux organes, au foie, à la peau, la forme osseuse aussi et dans ces cas on parle de tuberculose extra pulmonaire. C’est une maladie grave, mais curable. Le traitement dure au moins 6 mois, pour les formes sensibles.
Les profils exposés à cette maladie sont surtout les populations vulnérables qui vivent dans des endroits clos mal ventilés et qui n’ont pas une bonne alimentation ou hygiène de vie. Mais, de façon classique, tout le monde peut être sujet à cette maladie. La mesure préventive selon le docteur Sidibé c’est diagnostiquer tous les malades et les traiter afin qu’il n’y ai plus le microbes dans l’atmosphère. Mais le gap est que on arrive pas toujours à capter tous les malades, par manque d’informations.
Recycler le personnel de santé.
Le personnel de santé également doit être formé à la prise en charge de la tuberculose. La sensibilisation dans les communautés doit aussi être un exercice permanent. Le renforcement des capacités en infrastructures dans les centres de prise en charges, les équipements de dernières générations, les outils moléculaires, et la disponibilité des médicaments sont les mesures urgentes à prendre pour cette lutte.
« En 2021, 21000 malades ont été déclarés en Côte d’Ivoire, se qui est une hausse par rapport à 2020 où on était à 19 000 cas. La Covid-19 a également eu un impact sur la lutte parce que les malades avaient peur d’aller dans les centres de dépistage et le personnel aussi. Une baisse de fréquentation et des cas dépistés. En terme de guérison, ont a guéri 86% ce qui n’est pas mal et 9% de décès ce qui reste un défi. Les décès sont liés a des consultaions tardives, les malades viennent avec un long parcours thérapeutique, en passant par la médecine traditionnelle, les églises, les pasteurs, et autres automédications, ils arrivent à l’hôpital quand la maladie est déjà avancée. On va néanmoins les diagnostiquer et les mettre sous traitement, malheureusement dans les 2 mois qui suivent il y en a beaucoup qui décèdent. » Nous révèle ici le Dr Sidibé.
Pour finir, il est important de communiquer sur la maladie, afin de détecter rapidement les foyers tuberculeux dans un secteur donné, traiter les cas latents, et prendre rapidement en charge les patients co-infectés VIH/TB.
Edithe Valerie N.
« En 2021, 21000 malades ont été déclarés en Côte d’Ivoire, se qui est une hausse par rapport à 2020 où on était à 19 000 cas. La Covid-19 a également eu un impact sur la lutte parce que les malades avaient peur d’aller dans les centres de dépistage et le personnel aussi. Une baisse de fréquentation et des cas dépistés. En terme de guérison, ont a guéri 86% ce qui n’est pas mal et 9% de décès ce qui reste un défi. Les décès sont liés a des consultaions tardives, les malades viennent avec un long parcours thérapeutique, en passant par la médecine traditionnelle, les églises, les pasteurs, et autres automédications, ils arrivent à l’hôpital quand la maladie est déjà avancée. On va néanmoins les diagnostiquer et les mettre sous traitement, malheureusement dans les 2 mois qui suivent il y en a beaucoup qui décèdent. » Nous révèle ici le Dr Sidibé.
Pour finir, il est important de communiquer sur la maladie, afin de détecter rapidement les foyers tuberculeux dans un secteur donné, traiter les cas latents, et prendre rapidement en charge les patients co-infectés VIH/TB.
Edithe Valerie N.