Cette vérité, Mamadou Traoré, conseiller spécial de l’ex chef du parlement Ivoirien, a tenu à le réaffirmer dans un post sur sa page Facebook ce Mardi 29 Décembre, en ressortant un paragraphe de l’ouvrage ‘’La crise Ivoirienne, ce qu’il fallait comprendre. J’y suis, j’y reste’’, contenu à la page 24. ‘’Nous (les Nations Unies) les appelions "les cinq grands ".
Les présidents Laurent Gbagbo et Blaise Compaoré, le Premier Ministre Guillaume Soro, le leader du parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, et celui du Rassemblement des Républicains (RDR), Alassane Ouattara.
Les trois premiers étaient signataires de l'APO, et les deux derniers les chefs des principaux partis de l'opposition. Tous les cinq étaient membres du cadre permanent de concertation (CPC), l'organe de décision de l'APO.
On savait que trois d'entre eux seraient candidats à l'élection présidentielle et que l'un de ceux-ci en sortirait vainqueur. Il était donc essentiel que j'entretienne de bonnes relations avec tous. J'eus la chance d'y parvenir’’, relatait le diplomate dans ses souvenirs sur la gestion de la crise en Côte d’Ivoire. Selon des confidences que nous faisait récemment Anne-Marie Bonifon, présidente de la délégation Générations et Peuples Solidaires (GPS) Côte d’Ivoire, le mouvement fondé par l’ancien premier ministre, Guillaume Soro, compte officiellement 418.300 adhérents. Des chiffres qui démontrent s’il le fallait, la prééminence de l’ex chef du parlement Ivoirien sur l’échiquier politique Ivoirien.
Raoul Mobio
Les présidents Laurent Gbagbo et Blaise Compaoré, le Premier Ministre Guillaume Soro, le leader du parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, et celui du Rassemblement des Républicains (RDR), Alassane Ouattara.
Les trois premiers étaient signataires de l'APO, et les deux derniers les chefs des principaux partis de l'opposition. Tous les cinq étaient membres du cadre permanent de concertation (CPC), l'organe de décision de l'APO.
On savait que trois d'entre eux seraient candidats à l'élection présidentielle et que l'un de ceux-ci en sortirait vainqueur. Il était donc essentiel que j'entretienne de bonnes relations avec tous. J'eus la chance d'y parvenir’’, relatait le diplomate dans ses souvenirs sur la gestion de la crise en Côte d’Ivoire. Selon des confidences que nous faisait récemment Anne-Marie Bonifon, présidente de la délégation Générations et Peuples Solidaires (GPS) Côte d’Ivoire, le mouvement fondé par l’ancien premier ministre, Guillaume Soro, compte officiellement 418.300 adhérents. Des chiffres qui démontrent s’il le fallait, la prééminence de l’ex chef du parlement Ivoirien sur l’échiquier politique Ivoirien.
Raoul Mobio