Concluant son intervention sur le chapitre de la réconciliation nationale, il annonçait : ‘’Je voudrais réaffirmer mon attachement au dialogue constructif qui contribue à l’apaisement du climat social. Nous continuerons, avec le Gouvernement, à rassembler toutes les filles et tous les fils de notre beau pays. Vous pouvez me faire confiance !’’. Après plusieurs années de vives tensions politico-judiciaires avec ses opposants, Alassane Ouattara demande de lui faire ‘’confiance’’ pour rassembler les filles et les fils du pays.
Et ce, malgré le maintien des poursuites judiciaires contre de nombreux opposants dont certains sont déjà rentrés, et le maintien en exil de plusieurs figures de premier plan de la scène politique dont Guillaume Soro, Me Affoussiata Bamba-Lamine et Charles Blé Goudé.
A cela, il faut ajouter les récentes menaces du procureur de la république, Adou Richard qui le 27 Décembre dernier, annonçait des poursuites judiciaires contre les meneurs de la désobéissance civile et le risque de dissolution de leurs formations politiques.
A quel jeu se livre le pouvoir ? Il n’y a que des arcanes du palais présidentiel que peuvent sortir les éléments de réponses qui permettront de sonder la stratégie du régime Ouattara. Pour le reste, l’opinion publique observe et prendra le chef de l’état au mot.
R.A
Et ce, malgré le maintien des poursuites judiciaires contre de nombreux opposants dont certains sont déjà rentrés, et le maintien en exil de plusieurs figures de premier plan de la scène politique dont Guillaume Soro, Me Affoussiata Bamba-Lamine et Charles Blé Goudé.
A cela, il faut ajouter les récentes menaces du procureur de la république, Adou Richard qui le 27 Décembre dernier, annonçait des poursuites judiciaires contre les meneurs de la désobéissance civile et le risque de dissolution de leurs formations politiques.
A quel jeu se livre le pouvoir ? Il n’y a que des arcanes du palais présidentiel que peuvent sortir les éléments de réponses qui permettront de sonder la stratégie du régime Ouattara. Pour le reste, l’opinion publique observe et prendra le chef de l’état au mot.
R.A