Connectez-vous S'inscrire
Menu
Inscription à la newsletter

Suivez-nous
Facebook
Twitter
YouTube Channel
LinkedIn
Rss
Mobile
Newsletter

Publicité


Inscription à la newsletter

Publicité




Inscription à la newsletter
Seconde Une
Credit Photo : Liberation.fr
Credit Photo : Liberation.fr
Invisibles. Des êtres humains continuent à mourir en Méditerranée, dans l’indifférence générale. Depuis le début de l’année, ce sont au moins 599 migrants qui sont morts en mer Méditerranée selon les chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Soit près du double par rapport à l’année dernière sur la même période. La passivité de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes (Frontex) est pointée du doigt par une large majorité de députés européens et d’ONG. L’hécatombe se poursuit, mais l’Europe regarde ailleurs.

Ces dernières semaines sont particulièrement éprouvantes pour le seul équipage qui porte encore secours aux embarcations en détresse dans la zone maritime immense que constitue les 500 kilomètres entre les côtes libyennes et les premières côtes européennes, principale route maritime empruntée par les migrants pour rejoindre l’Europe. Ce seul équipage, c’est celui de l’Ocean Viking, le bateau de SOS Méditerranée. Le 22 avril, l’ONG française n’a pu que constater le naufrage de 130 personnes au large de la Libye. L’équipage a décrit des «vagues de plus de six mètres de haut» et une pauvre «petite embarcation pneumatique grise». Aucun survivant.

L’ONG Alarm Phone a publié un rapport au lendemain du naufrage : «ces morts ne sont pas un accident». Le rapport de l’ONG pointe la responsabilité des autorités européennes : elles n’auraient pas prévenu les navires marchands qui circulaient dans la zone et auraient pu porter secours selon l’ONG. Sept heures après le naufrage, un avion de Frontex a été envoyé en reconnaissance. Fabienne Lassalle, la directrice adjointe de SOS Méditerranée, est claire : «Cet avion a été envoyé beaucoup trop tardivement. Un avion arrivé plus tôt aurait pu
identifier l’embarcation». Cette passivité a suscité l’indignation partout en Europe. Le quotidien belge De Standaard a titré : «L’Europe regarde 130 migrants se noyer, depuis un avion».

Suite au drame, une large majorité de députés européens a refusé d’approuver le nouveau budget de Frontex voté au Parlement européen ce vendredi 30 avril 2021, à 528 voix contre
et 127 pour. Une majorité de ces députés estiment que le rôle de l’agence européenne n’est pas clair. Lorsqu’elle est interpellée, plutôt que d’intervenir, Frontex rejette la responsabilité des opérations, en renvoyant la balle aux autorités libyennes. Frontex est en outre soupçonnée du renvoi forcé de migrants.

Depuis le 1er janvier, ce sont au moins 599 migrants qui ont péri en Méditerranée, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). La grande majorité d’entre eux (488 personnes) sont morts sur la route au départ notamment de la Libye de laquelle ces derniers espèrent fuir l’enfer de l’esclavage et de la torture. La Méditerranée devient une fosse commune à ciel ouvert. Mais les projecteurs sont braqués ailleurs, quelque part entre les groupes de paroles non mixtes et les hommages à Napoléon. Les ONG sont bien seules face à ce drame quotidien, l’Europe détourne lâchement le regard.

Source : autre presse

Bill et Melinda Gates lors d'un événement au Lincoln Center, à New York, le 26 septembre 2018. Ludovic MARIN / AFP
Bill et Melinda Gates lors d'un événement au Lincoln Center, à New York, le 26 septembre 2018. Ludovic MARIN / AFP
Après 27 ans de mariage, le milliardaire Bill Gates, l'un des hommes les plus riches du monde, et sa femme Melinda Gates ont annoncé lundi leur divorce, même s'ils continueront à travailler ensemble au sein de leur fondation, l'une des plus puissantes du globe.

"Après mûre réflexion et beaucoup de travail sur notre relation, nous avons pris la décision de mettre fin à notre mariage", ont tweeté dans un communiqué commun les deux Américains, qui résident dans l'Etat de Washington.

Les Gates, qui ont trois enfants, ont ajouté qu'ils continueraient à "travailler ensemble au sein de leur fondation", la Bill and Melinda Gates Foundation, qui lutte contre la pauvreté et les maladies, mais qu'ils ne pensaient "plus pouvoir évoluer ensemble en tant que couple".

Bill Gates, cofondateur de Microsoft aujourd'hui âgé de 65 ans, et sa femme, 56 ans, une ex-directrice du géant informatique, n'ont rien dit dans l'immédiat des raisons qui les poussaient à se séparer. Ils ont prié le public de donner à leur famille "l'espace et l'intimité" nécessaires pour pouvoir "commencer à nous adapter à cette nouvelle vie".

Bill Gates est, selon le dernier classement de Forbes, le quatrième homme le plus riche du monde, avec une fortune évaluée à 124 milliards de dollars. Il se place derrière deux autres Américains, Jeff Bezos et Elon Musk, et le Français Bernard Arnault, et devant le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg.   

S'il a fait fortune grâce à Microsoft, il a démissionné du poste de président en 2014 et de son conseil d'administration l'an dernier. Il se consacre aujourd'hui essentiellement à la philanthropie.

Sollicité par de nombreux dirigeants, il a fait de multiples interventions depuis le début de la pandémie, contre laquelle sa fondation a dépensé plus d'un milliard de dollars, selon le New York Times.

Cette visibilité sur une maladie qui a alimenté les tensions politiques a fait de lui une cible fréquente des théories complotistes sur les réseaux sociaux.

La fondation qu'il a créée avec Melinda Gates est considérée comme la plus grande fondation privée au monde. Elle a dépensé quelque 53 milliards de dollars en 20 ans et emploie près de 1.600 personnes, selon son site officiel.

"Pour et contre du mariage"
Même s'ils continueront à oeuvrer ensemble au sein de leur fondation, qu'ils co-président aux côtés de Warren Buffett, leur divorce pourrait entraîner des changements dans la façon dont elle est financée, avançaient certains observateurs. On ignore notamment si M. Gates continuera à l'alimenter en fonds aussi régulièrement qu'il le faisait jusqu'ici.

Bill et Melinda Gates s'étaient rencontrés lors d'un dîner à New York peu après l'entrée de Melinda à Microsoft en 1987. 

Dans un documentaire sorti sur Netflix en 2019, "Inside Bill's brain" ("Dans le cerveau de Bill"), le cofondateur de Microsoft avait expliqué qu'après être sortis ensemble pendant un an, ils s'étaient retrouvés face à l'obligation de faire un choix: "soit rompre soit se marier".  

Bill avait fait une liste sur un tableau blanc "des pour et des contre du mariage", avait raconté Melinda en riant.  

Le divorce des Gates intervient après le divorce d'un autre couple multimilliardaire, celui de Jeff Bezos d'avec sa femme MacKenzie Scott en 2019. 

La séparation de ces derniers avait cependant été annoncée après la publication d'informations sur une liaison extraconjugale du fondateur d'Amazon. 

Dans le cas des Gates, aucune nouvelle récente n'avait laissé présager une séparation, même si Melinda Gates avait évoqué des tensions dans le mariage, notamment dans son livre "The Moment of Lift", sorti en 2019. 

MacKenzie Scott est depuis devenue la 22e personne la plus riche de la planète et une influente philanthrope, avec quelque 6 milliards de dons rien qu'en 2020. Elle a annoncé le mois dernier son remariage.

Abidjan4all avec AFP

Tribune Libre
Tribune Libre
Dans une tribune libre publiée ce mercredi 28 avril 2021, M.Ouattara Dramane dit O.D, homme politique et cadre du Rhdp, candidat malheureux mais élégant lors des élections législatives dernières, appelle les Ivoiriens à un Aggiornamento politique. En d'autres termes, il demande aux Ivoiriens de faire la politique autrement, d'adapter leurs postures politiques à la réalité du pays. 

Elégant, il l'a été puisqu'il a eu le courage et l'honnêteté de reconnaître sa défaite, en félicitant son adversaire avant même l'annonce officielle des résultats par les organes compétents. Chapeau M.O.D,  quand on sait l'arrogance qui habite les tenants du pouvoir sous nos tropiques et particulièrement en Côte d'ivoire !

A présent, venons en à l'argumentaire qui étaye cet appel somme toute noble.
M.O.D dit partir à la fois de l'inévitable futur retrait des " 3 grands leaders charismatiques " que sont Bédié, Gbagbo et Ouattara, et de son expérience politique personnelle découvrant l'hydre de l'ethnicisme et de la corruption. De là, son questionnement : Quel avenir commun pour les Ivoiriens en dehors d'un aggiornamento politique ?

Louons donc dans la forme cette initiative singulière de M.O.D, puisqu'il semble se démarquer positivement des autres cadres de sa chapelle, même s'il est vrai qu'une hirondelle ne fait pas le printemps.
Dans le fond, l'argumentaire nous a laissé sur notre faim, parce que biaisé dès le départ par un faux postulat, celui qui fait de Bédié, Gbagbo et Ouattara des "leaders charismatiques" aux impulsions éclairées. 

Non Monsieur O.D, ils ne le sont pas et leur mise à la retraite est plus que souhaitée. Bien au contraire, ils peuvent être considérés comme les géniteurs malins des monstres que vous dénoncez, à savoir l'ethnicisme et la corruption, pour ne citer que ceux-là. A bien d'égards, ils constituent des boulets à la modernisation du pays, au changement dont aspirent les Ivoiriens. 

C'est parce qu'ils ont flotté dans leurs habits de Chefs d'Etat, n'ayant pas réussi à transformer l'ivoirien en citoyen, que vous êtes aujourd'hui effrayé par l'ampleur de l'ethnicisme, du tribalisme et de la corruption. Ils n'ont pas su mettre les Ivoiriens sous leurs ailes. Sous leur différents mais identiques pouvoirs, la Res publica a volé en éclats. Nos Républiques demeurent bien en papier, au sens théorique et léger du terme.  

Monsieur O.D, poussez plus loin le courage et vous serez guéri et les Ivoiriens avec. Surtout ne vous en remettez pas à la fatalité à travers les "tragédies vécues". Elles ne sont pas un "message du destin" comme vous le pensez, mais les oeuvres des piètres agents historiques que nous sommes, pris individuellement et collectivement. 

L'aggiornamento que vous demandez ne peut être pertinent que si nous sommes en mesure d'identifier la réalité sociale des Ivoiriens, de décrypter leur vécu, leurs angoisses et de proposer des remèdes en termes d'offres politiques. Les valeurs dont vous parlez si bien à propos, devront sortir de l'abstrait pour faire corps avec le réel et réconcilier le citoyen avec le politique.

Le désordre devrait faire place à l'ordre. Et le respect des lois que nous nous sommes librement donnés devrait être le seul leitmotiv qui vaille. L'Occident l'a si bien compris qu'il a pris une longueur d'avance sur le reste de l'humanité. Il n'y a pas de fatalité, nous pouvons y parvenir à condition de le vouloir. 

Gnêrèwolloh

Albert Pahimi Padacké, dernier Premier ministre d'Idriss Déby Itno, chef de l'Etat mort au combat contre des rebelles, a été nommé lundi chef du gouvernement de transition au Tchad par son nouvel homme fort, Mahamat Idriss Déby fils du défunt président.


Tchad: Albert Pahimi Padacké retrouve son poste de Premier ministre

M. Pahimi Padacké dirigera, selon la charte de transition, un gouvernement de transition dont les membres seront nommés et révoqués par Mahamat Idriss Déby, président du Conseil militaire de transition (CMT) composé de 15 généraux parmi les plus fidèles de son père.

Mahamat Idriss Deby a promis des "élections libres et démocratiques" dans 18 mois. Général de corps d'armée âgé de 37 ans, il est également "le chef suprême des Armées" et préside outre le CMT, "le conseil des ministres, les conseils et comités supérieurs de défense nationale", selon cette charte.

Lors des funérailles d'Idriss Déby Itno vendredi, la France et les pays du G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger, outre le Tchad), qui combattent ensemble les jihadistes dans cette région, avaient appelé à un "processus de transition civilo-militaire".
Les principaux partis d'opposition, ainsi que syndicats et société civile, ont vu dans l'arrivée au pouvoir du fils d'Idriss Déby Itno un "coup d'Etat institutionnel" et appelé à une "transition dirigée par les civils".

-Deuxième à la présidentielle-
M. Pahimi Padacké a déjà été Premier ministre de 2016 à 2018, date à laquelle M. Déby a fait supprimer ce poste pour concentrer dans ses mains tout le pouvoir exécutif.
Il est arrivé deuxième de la présidentielle du 11 avril avec 10,32% des voix, loin derrière le défunt président, réélu au premier tour pour un sixième mandat avec 79,32% des suffrages.
Durant la campagne présidentielle, il s'était présenté comme "indépendant" du pouvoir et de l'opposition qui appelait au départ d'Idriss Déby. "Idriss Déby a montré son courage sur tous les fronts, j'en suis témoin. Un seul courage lui manque, celui d'accepter une passation pacifique du pouvoir", avait-il déclaré.

Lundi, il a plaidé pour une "union sacrée pour sauver (la) Nation" dans un entretien à l'AFP après sa nomination. "Le défi (...) est celui de la paix", a-t-il déclaré. "Comment faire pour que les armes se taisent dans notre pays? Et comment faire pour que les Tchadiens ensemble jettent les bases d'un grand consensus national afin d'arriver au terme de cette transition à des élections libres et transparentes?".

Opposant historique à Idriss Deby Itno, Saleh Kebzabo a dit qu'il allait "accompagner M. Pahimi Padacké". "On lui souhaite beaucoup de réussite pour le Tchad. Il faut que tous les Tchadiens se rassemblent dans cette période difficile", a-t-il déclaré à l'AFP.
Succès Masra, président du mouvement d'opposition Les Transformateurs, a de son côté estimé qu'il "aurait d'abord fallu passer par un président civil et ensuite nommer un Premier ministre civil".

Les Transformateurs, via le collectif Wakit Tamma composé de partis d'opposition et d'associations de la société civile, a appelé lundi les Tchadiens à "sortir massivement" mardi "pour exiger la démission du CMT et dénoncer l'ingérence négative de la France dans les affaires intérieures du Tchad".
Paris, qui considère le Tchad comme un allié essentiel contre les jihadistes au Sahel, a sauvé militairement à deux reprises au moins, en 2008 et en 2019, le régime d'Idriss Déby Itno face à des rebelles. Le président français Emmanuel Macron était le seul chef d'Etat occidental aux obsèques de son homologue.

Refus de négocier
La nomination d'un Premier ministre intervient au lendemain du refus exprimé par les militaires au pouvoir de négocier avec les rebelles du Front pour l'alternance et la concorde au Tchad (FACT) qui s'étaient dits samedi ouverts à une cessez-le-feu. C'est lors de combats opposant l'armée au FACT - qui a lancé le 11 avril une offensive contre N'Djamena - que le président Déby, monté au front, a trouvé la mort.

"L'heure n'est ni à la médiation ni à la négociation avec des hors-la-loi", a déclaré dimanche à la télévision d'Etat le général Azem Bermandoa Agouna, porte-parole du CMT, qui a appelé le Niger voisin à "capturer" le chef du FACT Mahamat Mahadi Ali, qui y serait, selon l'armée, réfugié avec certains de ses hommes.

La présidence du Niger a fermement démenti lundi tout contact entre le chef de l'Etat nigérien Mohamed Bazoum et Mahamat Mahadi Ali, parlant d'une "affabulation".
"S'ils veulent faire la guerre, on fera la guerre", a affirmé M. Mahadi Ali dimanche soir à l'AFP, démentant également être au Niger.

Abidjan4all.net avec AFP
 


1 ... « 177 178 179 180

Inscription à la newsletter

Publicité





EN CONTINU
26/02/2023 08:53

Pierre Palmade a été victime d’un AVC

Pierre Palmade a été victime d’un AVC à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif (Val-de-Marne) ce samedi, selon nos informations. Le pronostic vital de l’humoriste n’est pas engagé. Il a été transféré à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. Le comédien est assigné à résidence, avec port d’un bracelet électronique, dans un service d’addictologie de l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif depuis sa mise en examen pour « homicide et blessures involontaires ».
19/01/2023 01:29

Ange Kessi a fait ses adieux à l’armée Ivoirienne

Le Commissaire du Gouvernement Ange Kessi a fait ses adieux à l’armée Ivoirienne ce jour, mercredi 18 janvier 2023, prenant ainsi sa retraite après plusieurs années de bons et loyaux services à la nation.
06/01/2023 22:08

Mali/ Assimi Goita accorde la grâce présidentielle aux 49 soldats ivoiriens détenus depuis juillet 2022



Télé4all - La Télé pour tous
Paris : Conférence de presse de lancement de la CONIF 2024
Publié par Junior Gnapié le 13/06/2024 à 10:08

Inscription à la newsletter

Publicité


Inscription à la newsletter

Publicité

Inscription à la newsletter

Mentions Légales

- Editeur : Exclusiv'AG
- Adresse : Paris, France
- Téléphone : +33773480039
- Capital social : 5000 euros
- Numéro RCS de l'éditeur : Evry B 902 443 183
- Nom du directeur de publication : M. AKA AKA GEORGES


Galerie
CAN 2023 : Stade de la paix de Bouaké
CAN 2023 : Stade de la paix de Bouaké
IMG-20240211-WA0217
IMG-20240211-WA0216
IMG-20240211-WA0209
IMG-20240211-WA0208