Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi | 20/12/2024 | 275 vues
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Seconde Une
Sangaré Moustapha, officier de police en service à la Police recours, s'est tiré une balle dans la tête, ce lundi 31 mars aux environs de 10 heures, en plein service.
Un fait curieux mais tragique a secoué la commune de Cocody, ce lundi 31 mars, précisément au Carrefour Duncan. Selon des sources relayées par le confrère informateur.ci, sans qu'on y comprenne, l'officier de police qui avait pris place à bord du véhicule de service, a subitement sorti son arme et "Bang ! ", le coup part. Son collègue de service assis à côté, est pris de panique. Mais il est trop tard. L'officier succombe aussitôt. Alertés, le préfet de police d'Abidjan accompagné du directeur de la police criminelle se sont rendus précipitamment sur les lieux du drame. Une enquête est ouverte pour savoir les circonstances réelles de ce suicide qui en rajoute sur ce phénomène en Côte d'Ivoire. Car cela fait un peu trop, le phénomène des suicides qui défraie la chronique : étudiants, gendarmes, policiers étant les plus concernés. Un drame qui survient au lendemain de la fête du Ramadan.
Norbert Nkaka ( Source : informteur.ci)
Lundi 31 Mars 2025
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Le corps sans vie d'un adolescent d'environs 15 ans a été retrouvé dans les broussailles non loin du village de Samahoulé dans la sous préfecture de Sandougou-Soba ( région du Tonkpi), le mercredi 19 mars. La dépouille a été atrocement mutilée et certains organes emportés.
Un meurtre a été commis dans la sous préfecture de Sandougou-Soba, qui plonge encore les populations de Samahoulé dans l'émoi. Koalaga Bangba qui souffle à peine ses 15 bougies a été atrocement tué et mutilé par des ravisseurs qui l'auraient enlevé un jour plus tôt. Parmi ces tristes individus, du moins les présumés coupables, un certain D. A. Mais qu'est ce qui a poussé le criminel présumé à un tel forfait crapuleux et abjecte? Selon les informations sourcées et émanant du confrère ivoir 24.com, tout remonte au mardi 18 mars. D. A. pour des desseins inavoués, sollicite les services de D. A connu sous le pseudonyme de Ezo, se disant féticheur, domicilié à Sandougou-Soba. Ce dernier lui propose alors son "expertise". Mais avant de faire le job, il lui faut un certain nombre de matériels. " Il me faut du sang humain frais et des organes humains. En plus, tu dois fournir 7 noix de cola rouge et tu devras débourser la somme de 5000 f. Je promets qu'en 10 jours seulement, tu obtiendras tout ce que tu désires ", lui aurait promis le fameux féticheur " Ezo". Sans même se poser la question sur la dangerosité d'un telle exigence, approche l'innocent gamin. À ce dernier, il propose de l'accompagner dans la ferme de son père. Mais une fois en chemin, D. A. se jette sur le gamin qu'il parvient à étouffer à l'aide d'un sac de jute. Ayant perdu connaissance, le criminel a le temps de commettre son forfait en lui donnant le coup de grâce à l'aide d'arme blanche. Il recueille du sang et lui ôte les organes sollicités qu'il présente ensuite au démandeur. À 22 heures, les deux se rendent à la rivière pour le rituel. Mais comme on le dit souvent, un crime ne reste jamais impuni. Car moins de 24 heures après ce crime crapuleux, le jeune Koalaga Bangba dont la disparition suscite des inquiétudes est découvert, mais sans vie. Pis, son corps est atrocement mutilé et des organes humains emportés. C'est la stupéfaction générale. Il faut vite mettre le grappin sur les criminel. La brigade de gendarmerie de la localité est appuyée par le sous préfet, Djékou Fayo Léonard, visiblement choqué par ce crime révoltant. D. A. sur qui pèsent de lourds soupçons, est interpellé le mercredi 19 mars. Conduit dans les locaux de la brigade de gendarmerie sous bonne escorte, il avoue son forfait, non sans citer le féticheur D. A. comme le vrai commanditaire. Ce dernier, sentant l'étau se serrer autour de lui, prend la poudre d'escampette. Il est activement recherché.
Vincent To Bi Irié, l'ex préfet Abidjan et actuel président de l'Ong Aube Nouvelle, s'est rendu dans son ancien établissement, le Lycée Dominique Tiapani de Dabou le vendredi 28 mars, en compagnie d'autres condisciples. Au cours de la rencontre avec les élèves, l'ancien préfet d'Abidjan, a retracé son parcours dans ce prestigieux établissement aujourd'hui defraîchi. Il a aussi raconté sa galère tant au niveau familial qu'à l'école.
" Ad augustam per angousta " dit le latin comme pour signifier que rien ne s'obstient dans la facilité. En clair, le parcours de Vincent To Bi Irié, ex préfet d'Abidjan pendant sa vie scolaire n'a pas été aussi rose qu'on puisse le croire. Il n'a pas du tout vécu l'âge d'or. C'était dur ! Très dur même ! Vincent To Bi Irié a relaté sans faux fuyant, mais plutôt avec un enthousiasme teinté d'ironie, son passage à Dabou et singulièrement au lycée Tiapani de Dabou. "J'ai fréquenté le lycée Tiapani. J'ai pratiquement vécu toute mon enfance à Dabou. Mon papa était parmi les plus modestes. J'ai vécu la galère. Je portais des sandales trouées. J'ai même été chassé une fois parce-que je n'avais pas de tenue de sport, faute de moyens financiers. À l'internat, nous dormions avec les moustiques. Les repas qu'on nous servait ne suffisaient pas. Très tard dans la nuit après le contrôle des éducateurs, une autre vie renaissait où nous mangions le "garba et le gari". C'était dur mais on aimait cela", a confié Vincent To Bi Irié.
Cela n'a pourtant pas déteint négativement sur son rendement scolaire. Bien au contraire ! " Nos éducateurs étaient très sévères et aucune faute n'était tolérée. Nous respections nos aînés et nos professeurs et encadreurs comme des demi dieux. Nous travaillons bien à l'école et chacun nourrissait de grandes ambitions. Chacun voulait être un cadre dans ce pays. J'avais cette conviction, chacun de nous avait foi en ce qu'il faisait. On s'y est accroché et on a foncé. J'ai compris qu'il faut aimer ce que vous voulez faire. Aujourd'hui, je marche avec les enfants des riches.
Dans la vie professionnelle, après un brillant parcours en qualité de diplomate où j'ai parcouru pratiquement 43 pays d'Afrique sans compter les pays d'Europe et d'Amérique, j'ai décidé de retourner pour servir mon pays. Je suis alors nommé assistant au ministère de l'intérieur sous feu Ahmed Bakayoko. C'était très dur mais j'ai accepté travailler à côté d'un grand homme. C'est ainsi que je suis nommé successivement chef de cabinet puis directeur de cabinet. Un peu plus tard, soit le 6 août 2018, le Président de la République me confie la préfecture d'Abidjan ", retrace t il.
Au cours de cette rencontre, l'ex préfet d'Abidjan voulait inculquer trois leçons aux élèves, à savoir la foi en ce qu'on fait, l'humilité et la reconnaissance. La foi parce qu'il faut toujours croire en ce qu'on fait. Cela implique la rigueur, la détermination et surtout la conviction. L'humilité implique le respect mais surtout la soumission et l'acceptation et le sacrifice. Enfin la reconnaissance à ceux qui d'une manière ou d'une autre ont permis d'atteindre le sommet. On a toujours besoin du soutien des autres pour mieux avancer. Un retour sur ses traces après 35 ans est une autre forme de reconnaissance. Et ce parcours a profondément ému le proviseur du lycée Tiapani, Siriki Diarrassouba ainsi que les élèves qui ont répondu massivement à cette rencontre. Ces derniers ont plaidé auprès de l'hôte du jour pour que certains bâtiments leur lycée soient réhabilités.
Norbert N'Kaka
Le village de Kiendi Oualogo, 18 km dans la sous préfecture de Bondoukou, a été le théâtre d'un affrontement sanglant entre les orpailleurs clandestins et des villageois, dans la nuit du samedi 15 au dimanche 16 mars. On dénombre pour l'instant 3 morts ainsi que des blessés.
Le phénomène de l'orpaillage clandestin est déploré un peu partout en Côte d'Ivoire. Aussi les crises récurrentes qui en découlent sont le résultat de la farouche résistance de ces indécrotables orpailleurs. Même les opérations musclées des forces de l'ordre, soldées par la confiscation et la destruction des matériels afférents ne parviennent guère à les dissuader. " Rien ne vaut plus que l'or", a t on coutume de dire. Mais les villageois qui subissent au quotidien les tristes retombées sociales, économiques, sanitaires, sécuritaires et surtout écologiques de cette ruée vers l'or n'en finissent pas de manifester leur ras-le-bol. C'est le cas malheureusement à Kiendi Oualogo. Selon l'Aip, ce sont des coups de feu qui ont déchiré toute la nuit du samedi 15 au dimanche 16 mars entre des membres du comité de veille et les orpailleurs. Ces jeunes "qui ont décidé de prendre leurs responsabilités", ont ouvert les hostilités nuitament pour tenter de déloger " ces hôtes encombrants ". Le bilan est à la dimension de l'ampleur des affrontements: 3 morts ainsi que plusieurs blessés.

La brigade de gendarmerie informée s'est déployée sur les lieux pour un " cessez-le-feu immédiat ". Ensuite, le préfet de la région du Gontougo, Kouadio Gbangbo André et le Secrétaire général de la préfecture, se sont rendus sur les lieux pour apporter leur compassion aux familles endeuillées par cet incident malheureux. Un calme précaire règne désormais dans la localité. Mais des patrouilles renforcées sont organisées pour sécuriser la zone toujours marquée par la présence de ces orpailleurs clandestins. Pour les villageois de Kiendi Oualogo, plus question de la présence de ces orpailleurs clandestins, qui ont tout détruit et souillé les eaux des rivières avec des produits dangereux. "La présence des orpailleurs clandestins dans une région est une véritable catastrophe. Ils creusent des fosses partout, détruisent les plantations et rendent la zone inaccessible à cause des puits, un piège mortel. Que dire des eaux des rivières dans lesquelles ces orpailleurs clandestins déversent le syanure, tuant les poissons et rendant la source imbuvable", déplorait un habitant de Yakassé-Attobrou où ce phénomène a déjà occasionné 2 morts dont un enseignant l'an dernier.
Norbert Nkaka ( Source : Aip)
La Côte d’Ivoire présente la candidature du Dr N’da Konan Michel Yao pour le poste stratégique de Directeur régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique, dont l’élection se tiendra le 18 mai 2025 à Genève, lors d’une session extraordinaire en présentiel du Comité régional de l’OMS pour l’Afrique.
Cette élection fait suite au décès soudain en novembre 2024 du Dr Faustine Ndugulile, alors Directeur régional élu. Pour pallier ce vide à la tête de la région Afrique, le Comité régional de l’OMS a tenu une session extraordinaire en ligne le 14 janvier 2025 afin d’adopter une procédure accélérée pour la désignation d’un nouveau Directeur régional. Les États membres avaient jusqu’au 28 février 2025 pour proposer des candidats, parmi lesquels figure le nom du Dr Yao.
Le 14 mars 2025, le Directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a transmis aux États membres la liste des cinq candidats retenus pour cette élection.
Le 14 mars 2025, le Directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a transmis aux États membres la liste des cinq candidats retenus pour cette élection.
Un parcours exemplaire au service de la santé publique
Entre 2001 et 2004, il œuvre comme assistant de recherche et d’enseignement à l’Université de Montréal, avant de rejoindre l’OMS en 2004. Depuis, il a exercé dans 32 pays africains et à l’échelle mondiale, dirigeant de nombreuses missions d’intervention de l’OMS dans des contextes critiques, notamment lors des épidémies d’Ebola en République Démocratique du Congo et durant la pandémie de COVID-19, qu’il a coordonnée dans les 47 pays de la région Afrique de l’OMS.
Né à Bouaké, en Côte d’Ivoire, Dr N’da Konan Michel Yao, 56 ans, est un médecin de formation, spécialiste en médecine de catastrophe et d’urgence formé aux universités d’Abidjan et de Paris V. Il est également titulaire d’une maîtrise en santé communautaire de l’Université de Montréal, où il a approfondi ses compétences en gestion des services de santé. Il détient aussi un certificat en diplomatie de la santé de l’Institut d’études internationales de développement de Genève.
Fort de 27 années d’expérience en santé publique, Dr Yao a mené une carrière marquée par un engagement constant dans les urgences sanitaires et les interventions humanitaires. Il débute en 1995 au sein de l’équipe d’urgence de la Croix-Rouge de Côte d’Ivoire, avant de coordonner le programme de santé pour les réfugiés jusqu’en 1999.
Entre 2001 et 2004, il œuvre comme assistant de recherche et d’enseignement à l’Université de Montréal, avant de rejoindre l’OMS en 2004. Depuis, il a exercé dans 32 pays africains et à l’échelle mondiale, dirigeant de nombreuses missions d’intervention de l’OMS dans des contextes critiques, notamment lors des épidémies d’Ebola en République Démocratique du Congo et durant la pandémie de COVID-19, qu’il a coordonnée dans les 47 pays de la région Afrique de l’OMS.
Leadership et reconnaissance internationale
Reconnu comme un stratège de terrain, orienté vers les résultats, Dr Yao est également formateur et conférencier dans plusieurs forums scientifiques internationaux, notamment en Allemagne, Suède, Espagne, et auprès d’institutions de santé publique de renom.
Un processus électoral transparent
Le forum des candidats au poste de Directeur régional se tiendra en ligne, le 2 avril 2025, permettant aux États membres de mieux connaître les parcours et visions des postulants. Le représentant de la Côte d’Ivoire postule à coté de ses pairs du Togo, Tanzanie, Niger, et de Guinée. Le vote à huis clos pour la désignation aura lieu le 18 mai 2025 à Genève, lors de la session extraordinaire du Comité régional.
Le candidat élu sera ensuite nommé par le Conseil exécutif de l’OMS, pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois.
Avec la candidature du Dr N’da Konan Michel Yao, la Côte d’Ivoire met en avant un leader expérimenté et respecté sur le plan international, doté d’une vision claire et pragmatique pour renforcer les systèmes de santé en Afrique et répondre efficacement aux défis sanitaires actuels et futurs. Edithe Nguekam.
De 2014 à 2017, Dr Yao a été Représentant de l’OMS en République Centrafricaine, où il a également assumé à plusieurs reprises les rôles de Coordinateur Résident et Coordinateur Humanitaire des Nations Unies. Son action exceptionnelle lui a valu la distinction de Commandeur dans l’Ordre de la reconnaissance de la République Centrafricaine en 2014.
Depuis juillet 2017, Dr Yao a été Chef du Programme des opérations d’urgence de l’OMS pour la Région africaine, avant d’accéder en août 2020 au poste de Directeur des opérations sanitaires stratégiques de l’OMS. En 2018, il a été distingué par le Prix du Directeur général de l’OMS pour ses actions dans les opérations d’urgence.
Reconnu comme un stratège de terrain, orienté vers les résultats, Dr Yao est également formateur et conférencier dans plusieurs forums scientifiques internationaux, notamment en Allemagne, Suède, Espagne, et auprès d’institutions de santé publique de renom.
Un processus électoral transparent
Le forum des candidats au poste de Directeur régional se tiendra en ligne, le 2 avril 2025, permettant aux États membres de mieux connaître les parcours et visions des postulants. Le représentant de la Côte d’Ivoire postule à coté de ses pairs du Togo, Tanzanie, Niger, et de Guinée. Le vote à huis clos pour la désignation aura lieu le 18 mai 2025 à Genève, lors de la session extraordinaire du Comité régional.
Le candidat élu sera ensuite nommé par le Conseil exécutif de l’OMS, pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois.
Avec la candidature du Dr N’da Konan Michel Yao, la Côte d’Ivoire met en avant un leader expérimenté et respecté sur le plan international, doté d’une vision claire et pragmatique pour renforcer les systèmes de santé en Afrique et répondre efficacement aux défis sanitaires actuels et futurs.
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26/02/2023
08:53
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Pierre Palmade a été victime d’un AVC à l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif (Val-de-Marne) ce samedi, selon nos informations. Le pronostic vital de l’humoriste n’est pas engagé. Il a été transféré à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre. Le comédien est assigné à résidence, avec port d’un bracelet électronique, dans un service d’addictologie de l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif depuis sa mise en examen pour « homicide et blessures involontaires ».
19/01/2023
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Le Commissaire du Gouvernement Ange Kessi a fait ses adieux à l’armée Ivoirienne ce jour, mercredi 18 janvier 2023, prenant ainsi sa retraite après plusieurs années de bons et loyaux services à la nation.
06/01/2023
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Mali/ Assimi Goita accorde la grâce présidentielle aux 49 soldats ivoiriens détenus depuis juillet 2022
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Publié par Junior Gnapié
le 13/06/2024
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