La monarque Britannique est morte de vieillesse selon un certificat médical confirmé par la princesse Anne. RA

Téhéran y voit une ingérence dans ses affaires intérieures. Près de deux semaines après l'éclatement de la contestation populaire contre le port obligatoire du voile, le bilan de la répression serait d'au moins 76 morts selon des sources indépendantes. Le régime parle lui de 41 personnes tuées. RA

L'ancien officier de police, le lieutenant Allah N'Goh, anciennement en service au 2 ème arrondissement de Yamoussoukro, selon des sources, fait partie de la 44 ème promotion des commissaires nouvellement formés. Il attendait son affectation. C'est cet officier dont on dit assez rompu dans le service de la police, qui a été retrouvé mort, la poitrine et le cou perforés par plusieurs impacts de balles, dans le sous quartier d'Abobo, une zone très criminogène. Est ce le commissaire Allah N'Goh qui s'est lui même donné la mort en pointant sa propre arme contre lui? Cette hypothèse est vite écartée, vu que le jeune officier de la police portait plusieurs impacts de balles. Aussi son arme est rangée sur son corps sans vie. Toute chose qui pourrait supposer que ses bourreaux qui lui ont ôté la vie de façon brutale et cruelle, probablement avec sa propre dotation, qu'ils lui ont arraché préalablement, n'ont pas jugé utile de l'emporter. Une autre façon de brouiller les pistes d'une éventuelle enquête. Mais comment l'officier s'est il retrouvé dans un sous quartier, où la pègre et la drogue se conjuguent au quotidien ? A t il été torturé avant d'être tué? Est ce un règlement de compte ourdi par des bandits? Ce sont autant d'interrogations à soulager par les éléments commis pour l'enquête de ce crime de trop dans les rangs des commissaires de police. On se souvient en effet qu'en octobre 2020, un jeune commissaire Akoun Charles Louis Étienne, avait été abattu dans un bistrot à Cocody-Angré, non loin de la Cnps. Nous y reviendrons. Norbert Nkaka

Je connais et je suis tombée amoureuse de mon jeune patron qui est également marié depuis des années avant même qu’il ne devienne mon patron, mais j’avais gardé ce secret pour moi tout ce temps jusqu’à ce que je lui fasse récemment part de mes sentiments pour lui parce que je ne pouvais plus le garder pour moi. Il a également montré son intérêt pour moi, mais parce que je suis mariée, il a également gardé le calme, mais grâce à une communication constante, il a montré son intérêt à coucher avec moi.
Le problème maintenant, c’est que j’ai très peur. Je n’ai jamais commis d’infidélité auparavant, mais voici le cas qui se pose, je n’arrive pas à me défaire de l’amour de ce gars. Je ne sais pas quoi faire. Sa présence à mes côtés me fait mouiller. Famille, s’il vous plaît, conseillez-moi sur ce qu’il faut faire.

Charlemanges Charly 

Selon le premier magistrat de la ville de Dabou, cette situation a pris son encrage en 2013 où le gouvernement avait pris un décret pour sortir les préfectures et les mairies du système de contrôle au niveau du foncier. Cela va consacrer de fait, les pouvoirs des communautés villageoises, qui au mépris de certains critères, se sont livrés à des lotissements anarchiques. " C'est le gouvernement qui gérait tout désormais. Les populations étaient livrées à elles mêmes et les lotissements se font sans aucune autorisation préalable. Chacun fait son lotissements sans tenir compte des équipements que l'État a prévus", dénonce le maire Yédé Niagne Claude visiblement agacé. Le résultat selon lui, est dramatique. " Le constat est ahurissant. Les établissements scolaires comme le lycée d'excellence Dominique Tiapani et le collège Bessio, les aires de jeux et même des zones non habitables sont relotis. Malheureusement les eaux d'écoulement sont refoulées vers la ville", déplore le maire, furieux. Pour lui, quelques chose doit être fait pour réparer cette injustice et dissuader les éventuels contrevenants. A l'en croire, un nouveau décret vient d'être pris pour que les commissions d'autorisation de lotissement soient remises en place. Mais comment récupérer les réserves administratives face au mal déjà établi. Sur ce volet, le maire Yédé Niagne Claude est sans ambages. " Les terrains sont la propriété de la ville. Nous allons mettre de l'ordre", se convainc t il.

En clair, le premier magistrat est déterminé à mettre fin à ce désordre qui ne profite pas à la cité du Léboutou. Et de brandir la menace. " Tous ceux qui vont acheter des terrains sur le front lagunaire vont perdre. Nous allons les déguerpir pour mettre fin à cette situation insupportable", tape t il du poing sur la table. Norbert Nkaka