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Seconde Une

Dame Kadidiatou Diallo, brûlée au deuxième degré dans un incendie qui a déclaré dans sa cuisine, alors qu'elle préparait le repas, le mercredi 28 février, n'a pas survécu à ses graves blessures. Elle est décédée le 4 mars au Centre des grands brûlés du Chu de Treichville où elle a été transférée.


Image d'archives
Image d'archives
La petite lueur d'espoir qu'entre tenaient les populations du village de Goénié- Zibiao ( s/p de Zéo) s'est finalement évanouie le lundi 4 mars. La nouvelle très lourde du décès de Kadidiatou Diallo, est tombée comme un coupéret et s'est aussitôt propagée comme une traînée de poudre dans le département de Bangolo. Brûlée sur presque toutes les parties de son corps dans l'incendie de sa cuisine, le mercredi 28 février, Kadidiatou Diallo, cette brave femme, véritable soutien de son mari, n'a pu survivre à ses graves brûlures. Selon ses proches qui nous ont livré cette triste information, cette dame de 33 ans serait décédée dans la nuit du lundi 04 mars 2024. Toujours selon nos sources, son corps a été transféré dans la ville de Bangolo où elle a été inhumée le mardi 05 mars. " Kady n'a pu survivre à ses graves blessures. Elle est décédée le lundi 4 mars. Le même jour, grâce à une solidarité de nos compatriotes, nous l'avons transférée à Bangolo et nous l'avons enterrée hier (ndlr: mardi)", nous a informé Sékou Bah Sylla, un tenancier de kiosque à café et résident à Bangolo. Pour rappel, le mercredi 28 février dernier, la jeune femme du nom de Kadidiatou Diallo, mère de 3 enfants avait été prise en tenaille par les flammes causées par l'explosion de bidons contenant du liquide hautement inflammable. Grâce aux secours, elle a été retirée des braises dans un état critique. Malgré son pronostic vital engagé, elle à pu être transférée au centre hospitalier universitaire (Chu) de Treichville, à Abidjan.

Osmose Kahiga ( Correspondant régional)


Mercredi 6 Mars 2024 | Commentaires (0)

Gansoré Kassoum, planteur dans le village de Béhoué- Zibiao dans la sous préfecture de Zéo ( Département de Bangolo), a été retrouvé mort le mercredi 28 février. Le planteur avait préalablement mis le feu à une parcelle qu'il devrait ensemencer.


Bangolo/ Un paysan met le feu à sa parcelle et est retrouvé mort.
Malgré les campagnes de sensibilisation pour prévenir les feux de forêt, certains paysans continuent de s'adonner à ces pratiques moyenâgeuses qui mettent en péril leur vieen plus de détruire des centaines d'hectares de forêt. Les victimes des feux de forêt se comptent par dizaines de milliers. Le mercredi 28 février, Gansoré Kassoum, un planteur bien connu de la contrée de Béhoué- Zibiao, en a fait les frais. Il a été retrouvé mort dans sa plantation. Ce jour là, comme nous rapportent nos sources, le jeune planteur âgé de 39 ans, avait mis au préalable, le feu à sa parcelle, préparant ainsi le terrain à la future semence.Un feu rebelle qui va malheureusement l'emporter.

Bangolo/ Un paysan met le feu à sa parcelle et est retrouvé mort.
Aussitôt avait il mis le feu qu'un vent violent se met à souffler. En un clic, les flammes volatiles dévorent les feuilles sèches et se retrouvent dans les plantations voisines. Pris de panique, le paysan s'emploit à circonscrire les flammes. Un peu plus tard il se voit encerclé par le sinistre. Enveloppé par une fumée noire, il étouffe et s'écrase face contre terre. Un peu plus tard, quand des secours arrivent et parviennent à bout des flammes, ils découvrent le paysan déjà mort. Certainement par étouffement dû au gaz carbonique produit par l'épaisse fumée. Les gendarmes informés arrivent sur les lieux pour le constat d'usage. Une enquête a été ouverte pour savoir les causes exactes de cette mort. Le corps a été gardé à la morgue de l'hôpital général de Bangolo.

Osmose Kahiga (Correspondant régional)


Lundi 4 Mars 2024 | Commentaires (0)

Un jeune conducteur de moto-taxi a été mortellement fauché dans les encablures de la ville de Bangolo, dans la nuit du jeudi 29 février au vendredi 1 er mars aux environs de 2 heures. Le jeune chauffeur aurait été pris pour un braqueur.


Le véhicule en panne à l'origine du drame
Le véhicule en panne à l'origine du drame
Bah Hervé ne fait plus partie de l'effectif de la grande famille des conducteurs de moto-taxus de du département de Bangolo. Il à été atrocement tué dans un accident de la circulation dans la nuit du 29 févier au 1 er mars. Son erreur, c'est d'avoir tenté de porter assistance à un usager en détresse. Malheureusement, le jeune conducteur a été confondu à un vulgaire coupeur de route par un autre conducteur qui ne lui a laissé aucune chance de survie. Que s'est il exactement? Pour ce qui est des informations en notre possession, dans la nuit du jeudi 29 février, alors qu'il revenait de l'une de ses courses quotidiennes, tard dans la nuit, le jeune Bah Hervé, la vingtaine révolue, tombe sur un car en panne. Le conducteur du minicar de type Vario supplie alors le jeune conducteur de moto-taxi de l'aider en régulant la circulation, le temps de faire quelques bricoles qui pourraient lui permettre de remettre son véhicule en vie. Car sait on jamais! Ce qu'accepte Bah Hervé, le Samaritain, malgré l'obscurité qui règne à cette heure très avancée de la nuit. Ce qu'il ignore c'est que du fait de l'insecurité sur nos routes, le conducteur de moto-taxi peut être pris pour une cible. C'est malheureusement ce qui va lui arriver. En effet, alors que Bah, d'une torche, s'emploie à réguler la voie à cet endroit dans la nuit noire, un véhicule lancé à vive allure fonce sur lui. Il n'a pas le temps de réaliser le danger qu'il est violemment percuté. Bah Hervé est traîné sur plusieurs mètres. Il succombe Les instants qui suivent. Les gendarmes de la brigade de Bangolo, informés se rendent sur les lieux pour les constatations d'usage. Le corps est ens enlevé et gardé à la morgue de l'hôpital général. Le conducteur du mini car, quant à lui est gardé pour nécessiter d'enquêtes. Il perd ainsi la vie en voulant rendre service.

Osmose Kahiga ( correspondant ré


Dimanche 3 Mars 2024 | Commentaires (0)

Les villageois de Niguinanou, 30 km dans le département de Dabou, ont été honorés par deux vaillants patriarches, très reconnaissants du soutien dont ils ont bénéficié pendant leur carrière. C'était le samedi 2 mars.


Les frères Djédjro ont célébré l'Agbandji à Niguinanou
Les frères Djédjro ont célébré l'Agbandji à Niguinanou
La fête de l'Agbandji en pays Adjoukrou, contrairement à ce que l'on fait croire, n'est point une célébration de la richesse encore moins une fête de noblesse ou d'exhibition de sa puissance financière au point de susciter l'envie et la jalousie des voisinages. C'est plutôt un rituel qui prépare l'impétrant à son entrée dans le giron des tenants du pouvoir détenu par les Bodj'l, appelés très sagement les Ebebou. Les Ebebou forment la chambre haute du pouvoir en pays Adjoukrou et leur décision est irrévocable. Mais pour célébrer l'Ebeb, il faudra passer nécessairement par le feu de l'Agbandji. C'est une condition sine qua non.

Djédjro Esmel Bénoit,  ex agent des douanes, futur Ebebou
Djédjro Esmel Bénoit, ex agent des douanes, futur Ebebou
De fait, selon des sachants du peuple Léboutou, après le Low qui consacre la fin de l'adolescence, période pendant laquelle le jeune a tout obtenu des parents, le nouvel intégré qui a atteint la maturité (21 ans) doit pouvoir s'affirmer par son ardeur au travail. Il doit faire preuve de responsabilité pour apporter de quoi nourrir sa famille à son tour. C'est donc une aventure, un défi qu'il doit relever avec le soutien spirituel du village. Quand il a réussi, il doit revenir pour manifester sa reconnaissance et exprimer sa maturité et son aptitude à faire face aux charges communautaires. Mais aussi il devient l'un de ceux de sa génération montante à qui l'on doit confier le pouvoir gérontocratique, cette démocratie ancestrale qui caractérise le peuple Adjoukrou. Le volet social, c'est l'effet de contagion et didactique que suscite l'Agbandji, car il est l'exaltation au travail et à la quête pour devenir quelqu'un demain. L'Agbandji suscite l'émulation au dépassement de soi, à l'independance financière et à la maturité.

Des dons ont été offerts aux impétrants
Des dons ont été offerts aux impétrants
Le caractère festif de cette célébration, c'est l'abondance et les gestes de grande générosité et de largesses. Mais aussi les dons. Ce samedi 2 mars à Niguinanou, après avoir dégusté le foufou à la sauce Soumérédi ( sauce feuille avec la viande de requin) ainsi que l'Attiéké huilé au poisson, tout cela bien arrosé de vin ou d'alcool frelaté, nous voilà sur la place publique où se bouscule un monde fou. On eût dit que ce petit village, peuplé d'ordinaire de 1500 âmes, est devenu la capitale du peuple Adjoukrou. Les villages voisins ainsi que plusieurs artistes sont de la fête.

Célébration de l'Agbandji à Dabou/ Deux patriarches expriment leur reconnaissance aux populations.
Sur la place elle même, l'ètèkprè ou la danse du tam tam parleur bât son plein. Après une parade au son de la fanfare, ponctuée par les jets de pièces d'argent et de friandises sur les foules, les impétrants, Djédjro Adjessi Clément, planteur ( Bodj'l Odjongba) et son cadet Djédjro Esmel Bénoit, ex agent des douanes à la retraite (Bodj'l Bago) font leur entrée. L'ambiance devient alors électrique. Danses traditionnelles et prestations d'artistes rivalisent. Puis la série des dons en nature et en espèces. Mais le couronnement, c'est le port du chapeau en signe de chef. Désormais, ils sont admissibles à la fête de l'Ebeb qui aura lieu au mois de décembre et qui va porter sa génération au pouvoir. Et ils en feront partie. " Je suis visiblement ému. On ne peut jamais rembourser tout le soutien que les parents et les villageois nous apportent pendant notre carrière. C'est immense. Nous voulons tout simplement leur dire de continuer à oeuvrer pour le développement du village. Nous sommes prêts à y contribuer ", a traduit Djédjro Esmel Bénoit . La fête a continué très tard dans la nuit

Norbert Nkaka


Dimanche 3 Mars 2024 | Commentaires (0)

Kadidiatou Diallo, une ménagère basée à Zibiao dans le département de Bangolo, lutte en ce moment contre la mort au Chu de Treichville où elle est internée. Alors que celle-ci préparait le repas, un sinistre s'est déclenché, la brûlant au 2 ème degré. C'était le mercredi 28 février.


En pleine cuisine, la maison prend feu/ Une femme brûlée au 2 ème degré
L'imprudence toujours décriée a eu raison de cette pauvre dame, dont la survie relèverait d'un miracle. A la vérité, c'est le coeur meurtri que les populations ont assisté, impuissantes à l'incendie de la petite maison occupée par Kadidiatou Diallo et son mari. Malheureusement, la ménagère restée prisonnière des flammes a dû être sortie presque cuite mais encore vivante par de braves voisinages. Mais qu'est ce qui a provoqué ce brasier qui risque de coûter la vie à dame Kadidiatou ? En effet, selon notre correspondant qui a recueilli les faits, nous sommes le mercredi 28 février. Dans la journée, dame Kadidiatou Diallo entreprend de concocter un mets très préféré de son mari. Elle entre alors dans la cuisine. La chaleur est forte et elle transpire fortement surtout avec le fourneau allumé. Mais elle est déterminée à réussir son plat. Mais dame Kadidiatou Diallo ignore que son mari, vendeur de carburant, avait entreposé non loin de la cuisine, des bidons de ce liquide hautement inflammable, pouvant exploser à tout moment sous la forte chaleur. Et ce que l'on redoutait arriva. Mais alors qu'elle faisait la cuisine, une brasie vient à déclencher la flamme d'un des bidons qui explose aussitôt. Dès lors, la pièce se transforme en un brasier surtout avec le contact des autres bidons. La pauvre dame restée prisonnière se consume. Sa situation est désespérée. C'est alors que des voisins qui ont tenté de corconscrire les flammes en vain, se résolvent à braver le sinistre pour sauver la pauvre dame. Ils réussissent à l'extraire du feu mais dans un état presque méconnaissable. Dame Kadidiatou Diallo est brûlée au 2ème mais elle est encore en vie. Ce même jour, vu la gravité de son état, elle est transférée au centre des grands brûlés du Chu de Treichville. La vie de Kadidiatou Diallo est en danger et elle lutte contre la mort.

Osmose Kahiga (correspondant régional.)


Vendredi 1 Mars 2024 | Commentaires (0)
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