Pour un cadeau de Noël anticipé à la faîtière des journalistes, l'Unjci, c'en était un. On peut le dire, car les journalistes, souvent fois confrontés à plusieurs bobos de santé relatifs à la rudesse des travaux, avaient réellement besoin d'un geste salvateur. C'est donc en bon Samaritain que la Fondation Lonaci a fait ce précieux geste à leur endroit. Le geste est vraiment fondé. Il s'agit d'une ambulance médicalisée à laquelle, même le premier responsable exécutif s'attendait le moins. Cette ambulance vient à point nommé pour accompagner les efforts du président de l'Unjci, Jean Claude Ouattara, pour l'équipement du centre de santé de la Maison de la Presse d’Abidjan.

Pour le directeur exécutif de ladite Fondation, Aboubakary Ouattara, cette ambulance vient renforcer les conditions de travail des journalistes dont la mission première est d'informer. Aussi doivent ils exercer leurs métier en bonne santé. En tout cas, ce véhicule flambant a été réceptionné par le président de la faîtière des journalistes, Jean-Claude Coulibaly, ce jeudi 16 novembre , au siège de l’institution. Celui-ci a traduit toute sa reconnaissance et celle de toute la presse à la Fondation Lonaci pour cette grande Tombola.

Norbert Nkaka

L'information a été livrée par le site africatopsussess.com. "La scène peut paraître surréaliste mais elle est pourtant réelle. La ministre sud-africaine des Transports, Sindisiwe Chikunga, a été victime d’un braquage spectaculaire", révèle le confrère. Mais comment cet incident pour le moins rocambolesque a t il pu survenir ? Selon le site, une crevaison à bord de laquelle se trouvait l'autoeité était à l'origine du drame. "Sa voiture s’est arrêtée afin de changer un pneu crevé. Des criminels ont rapidement approché son véhicule et ont volé des objets de valeur", explique le confrère. Mais plus choquant, les scélérats ont également dérobé les armes de ses gardes du corps. Selon la ministre, ce sont les malfaiteurs qui, à l'aide des pointes, ont crevé les pneus du véhicule de commandement pour pouvoir accomplir leur forfait. Le bilan de ce braquage spectaculaire est important : des ordinateurs portables, un téléphone et les armes à feu des gardes du corps. Plongeant ainsi le ministre et sa délégation dans une situation de grande vulnérabilité. Cet événement inhabituel a immédiatement suscité l’indignation et soulevé des questions sur la sécurité dans un pays qui est depuis longtemps aux prises avec une réputation de criminalité violente. L’Afrique du Sud est souvent classée parmi les pays les plus dangereux au monde en dehors des zones de guerre, en raison de son taux élevé de crimes violents. Cependant, il est rare qu’un ministre du gouvernement voyageant avec des gardes du corps armés soit la cible d’un cambriolage dans son propre véhicule. La porte-parole de la police, Athlenda Mathe, a confirmé ce braquage.

Norbert Nkaka (source : Africa top success)

La compagnie minière Barrick Gold dirigée par Mark Bristow, structure exploitatrice de la mine d'or de Tongon, dans le département de M'Bengué, région du Poro, a inscrit sur son agenda, les projets communautaires à impact durables en plus des nombreuses œuvres sociales reparties à l'ensemble des 8 villages impactés par la mine d'or. On pourrait citer pèle-mèle les résidences des chefs de villages, les écoles primaires, les centres de santé et les maternités, les châteaux d'eau et même la réhabilitation tout récemment de l'hôpital du chef -lieu M'Bengué. Pour accompagner la politique de l'autonomisation des jeunes et des femmes du gouvernement ivoirien, plusieurs projets sont initiés dans plusieurs villages dont les plus sensibles sont la réalisation d'une usine de fabrication de savon Kabakrou de Tongon, la fabrication de Soumarah à Kationon et celle du beurre de Karité à Kofiplé sans oublier un vaste projet rizicole. Le tout pour une bagatelle de 10 milliards de F investi depuis plus d'une décennie.

Le samedi 4 novembre, il s'agissait de la remise des clés d'une usine ultra moderne de fabrication de savon Kabakrou ainsi que les diplômes de formation à 120 femmes du villages de Tongon. La ferveur et l'allégresse des populations bénéficiaires se traduisaient par les clameurs et les pas de danses au son du balafon réservés à l'accueil des autorités au nombre desquelles le sous -préfet de M'Bengué, Kouadio Didier représentant le préfet du département et une forte délégation de la mine d'or de Tongon, conduite par son premier responsable, Hilaire Diarra. Le responsable régional du Fonds de développement de la formation professionnelle ( Fdfp) ainsi que les chefs n'ont pas voulu se faire conter la cérémonie

Prenant la parole, Soro Gervaise, a, au nom des bénéficiaires, exprimé toute la reconnaissance du village de Tongon à la structure donatrice. "Cette belle initiative de la construction de l'usine de fabrication de savon et la formation aux techniques de fabrication et de commercialisation nous permettront, à coup sûr, de sortir de la pauvreté. Que vos projets impactent tout le département", a signifié la porte-parole des bénéficiaires. Quant au directeur général de la mine d'or de Tongon, Hilaire Diarra, il a insisté sur la politique win-win entreprise par le premier responsable de Barrick Gold, Mark Bristow, avec pour principal objectif de faire profiter des retombées de l'exploitation aux populations impactées. " Le Pdg Mark Bristow est toujours attaché à l'idéal de faire de la lutte contre la pauvreté, son credo. Nous serons toujours là pour soutenir les actions communautaires afin de favoriser un mieux être à nos partenaires ", a t il assuré tout en demandant aux femmes de faire un très bon usage de cet outil précieux qui peut changer leur vie sociale et économique. Lui emboitant le pas, le responsable du Fdfp de la région du Poro, Bolou Hubert a signifié aux populations les retombées positives de cette initiative qui cadre bien avec leur mission d'assurer la formation. Il a soutenu que cette structure étatique a apporté une contribution substantielle de 48,585000 millions destinée à la formation des 120 auditrices de l'usine de Tongon. " Le Fdfp se fera toujours fort d'accompagner ce type de projets structurants en termes de formation ", a t il rassuré tout en saluant l'initiative de la mine d'or de Tongon.

Pour sa part, le sous préfet, Kouadio Didier a salué ce projet qui démontre une fois de plus, l'engagement de la mine d'or à s'inscrire dans la vision du président de la République Alassane Ouattara, celle de lutter contre la pauvreté à travers l'autonomisation des femmes. "Je salue le dynamisme affiché par le Comité de liaison et du développement communautaire de la mine d'or pour les nombreux projets communautaires dans les villages. A travers ces projets femmes, vous faites de l'autonomisation, votre priorité et donc vous accompagnez pleinement la politique de développement et contribuez à l'épanouissement social. Vous aidez ainsi les femmes à accroître non seulement leur pouvoir d'achat mais aussi prendre confiance dans la consolidation de leur liberté et le pouvoir d'agir", a t il longuement félicité le Dg de la mine d'or pour avoir permis aux femmes de renforcer leur capacité de résilience. Il a également encouragé les femmes à s'accrocher à ce projet qui constitue une véritable opportunité en ce sens qu'il va durablement transformer la trajectoire de leurs conditions de vie. " Vous êtes des modèles de réussite. Vous devez tenir ce challenge", a t il conseillé aux femmes pour conclure.

Notons que dans la perspective de ce démarrage de leurs activités, les usinières de Tongon ont réalisé en une journée 4775 morceaux de savons avec 1575 litres d'huile de palme ainsi que d'autres intrants. La vente de ces savons a rapporté pour la seule journée, un chiffre de vente de 555000 F. Il est bien de signaler que pour faciliter la livraison de ses produits, la mine d'or a fait don de 2 tricycles neufs aux femmes de l'usine. Ça promet !

Norbert Nkaka

"Le viol est un crime qui doit être condamné sans excuse", ces propos sont d'une procureure ivoirienne, de surcroît l'une des responsables de l'association des femmes juristes. Défini comme un acte sexuel soumis à une personne sans son consentement, le viol est classé parmi les comportements les plus délictueux au même titre que le meurtre ou l'assassinat, surtout lorsqu'il est commis sur une mineure pratiquement inconsciente. C'est ce qui est malheureusement arrivé à la fillette GDB. La petite écolière de 4 ème dans un collège de Biankouma sera certainement marquée à vie par cet acte abject dont elle a été victime. Elle a été en effet violée à plusieurs reprises par 6 individus, certes jeunes, mais déjà animés de comportements sataniques inqualifiables. De quoi s'agit-il en réalité? Selon le confrère l'infoivoire. net qui livre l'information, ce sont les forces de l'ordre du Commissariat de police de la ville, où la jeune élève à déposé plainte qui ont mis le grappin sur les 6 violeurs, le lendemain de leur forfait. Il s'agit de TMC ( 15 ans), DL (16 ans), DA (15 ans), DWI (17 ans), ZM (17 ans) et DOK (16 ans). Pressés de questions dans les locaux du commissariat de police, ces vilains garçons ont avoué leur crime. Ils seront mis aux mains de la justice. Toujours selon notre confrère, la fillette qui souffre de nombreux traumatismes a bénéficié d'une prise en charge holistique. Aussi Dr. A A, médecin généraliste à l'hôpital de la ville, a délivré un certificat médical qui confirme, après examen que GDB a été victime d'agression sexuelle. Autant d'éléments qui enfoncent les 6 individus qui n'ont pas révélé les motifs réels de leur comportement insensé.

Norbert Nkaka ( source : l'infoivoire.net)

Selon les informations reçues, dans la journée du vendredi 03 novembre, Tra Léontine, une dame d'une quarantaine d'années vient à décéder à la suite d'une longue maladie. Pour Doho Anicet, cousin de la défunte, le coupable n'est personne d'autre que leur oncle, Modeya Jean Bertrand, le chef de famille, par ailleurs le chef de terre du canton Tahouaké. Il se dit convaincu. Mais ce" crime mystique " ne sera pas impuni. Aux environs de 2 heures du matin, Doho Anicet qui mijote un vilain coup, s'empare de son couteau bien aiguisé et fait irruption dans la chambre de Modeya Jean Bertrand, le chef de terre. Une fois dans la chambre du vieux chef coutumier, Doho Anicet sort son arme blanche, qu'il avait pris soin de dissimuler dans son pantalon. Les choses se passent si vite que le vieil homme n'a pas le temps d'articuler un mot. Son neveu qui a savamment préparé son coup se jette sur lui. Le septuagénaire, très affaibli par le poids des ans n'a aucune force pour repousser son bourreau du jour. Ce dernier lui plante alors plusieurs coups au thorax, puis à l'abdomen ainsi que les membres superieurs. En tout cas sur tout le corps du vieux Modeya est qui s'affaisse tout en se vidant de son sang. Son forfait accompli, Doho Anicet, le tueur, profite de la nuit pour disparaître en se faufilant entre les cases. Alertés par les cris de détresse, des voisins accourent. Ils trouvent patriarche dans une mare de sang. Très vite, ces bonnes volontés le transportent au dispensaire dudit village, espérant pouvoir sauver l'infortuné patriarche. Que nenni. Car à peine foulent ils ce centre de santé que cet enseignant à la retraite succombe à ses nombreuses blessures. Informés, les éléments de la brigade de gendarmerie de Bangolo se rendent le lendemain dans la localité pour mettre la main sur l'auteur des coups mortels. Pressé de questions, il ne tarde pas à se mettre à table, justifiant son acte en accablant le septuagénaire et chef coutumier de pratiques de sorcellerie ayant donné la mort à sa cousine. Mais Doh Anicet avait il le droit de se rendre justice ? À présent, il mesure le poids de son acte odieux et doit en subir seul les conséquences. C'est pourquoi il séjourne actuellement dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Bangolo en attendant son défèrement au tribunal de Man pour y être juger. Notons que ces derniers jours, il règne un regain de tension dans ce département.

Osmose Kahiga ( correspondant régional)