Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi | 20/12/2024 | 228 vues
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Seconde Une
Dans un communiqué lu et publié sur les réseaux sociaux, des officiers soutiennent avoir effectivement renversé, ce mercredi 26 juillet, le régime de Mohamed Bazoum au pouvoir depuis 2021
Ce que l'on qualifiait de mutinerie perpétrée par des éléments de la garde présidentielle conduits par le général de brigade Abdouramane Tchiani s'est mué très vite en coup d'État. Le 4 ème du genre depuis 1960. Les négociations entreprise par l'ex président Mahamadou Issouffou avec les putschistes au palais très tôt encerclé et le meeting de soutien des populations civiles au président en exercice n'ont pu ébranler les ardeurs des éléments de la garde présidentielle déterminés. Même les communiqués de la Cédeao appelant au retour à l'ordre constitutionnel ainsi que les menaces de la métropole ont buté sur l'armure du général Tchiani et ses hommes. Dans l'après du mercredi 26 juillet, la confusion et la tension s'installent dans la capitale Niamey. Aux environs de 21 h, les premiers signes du coup d'état se dévoilent. Puis ce communiqué sur la chaîne nationale nigérienne, qui se répand comme une traînée de poudre et qui confirme le putsch. Les mutins, à en croire le communiqué, invoquent entre autres raisons, l'incapacité du régime de Mohamed Bazoum à faire face à l'insécurité grandissante dans le pays.( Cf le communiqué). Les institutions sont suspendues et un couvre-feu est instauré par un comité dénommé le Cnsp installé. On connaîtra plus tard, le visage du nouvel homme fort du Niger. Un véritable coup dur pour la démocratie au Niger d'autant que Mohamed Bazoum a été démocratiquement élu en 2021. Nous y reviendrons.
Norbert Nkaka
Jeudi 27 Juillet 2023
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L'église méthodiste unie de Niguinanou dans la sous préfecture de Dabou a organisé une journée de moisson, le dimanche 23 juillet. La génération N'Djrouman a fait don d'une enveloppe de 1 million de F.
C'est dans la liesse et allégresse que les nombreux fidèles ont investi le temple Emmanuel de l'église méthodiste unie de ce village de mille âmes. En réalité, les membres de la génération N'Djrouman ( tranche d'âge entre 50- 56 ans) de ce village avaient voulu apporter un soutien aux responsables de ce temple dans leur mission. S'inspirant du thème du jour " A l'école de la veuve Sarepta", la célébrante, Révérende pasteur Séri Lydie a exhorté les fidèles à l'école de la foi et du don. "Dieu ne demande rien qu'il te donne les moyens en puissance", a t elle traduit, invitant la génération à la relation du donner et du recevoir. Des vivres et une quête d'un million de F ont été collectés. Avant de clore cette cérémonie arrosée par la chorale, une prière spéciale a été dite pour le président de la république Alassane Ouattara. "Nous prions afin que le cœur du président de la république soit incliné vers son peuple et qu'il fasse de la Côte d'Ivoire, une nation plus prospère. Donne lui l'amour de ton œuvre", a t elle prié.
Après la déclaration du collectif des chefs du Léboutou le 29 juin, après l'intervention à Lopou, du ministre- gouverneur du district autonome des Lagunes Lohouess, Essoh Vincent,le 1 er juillet, après la prise de l'arrêté préfectoral du 5 juillet, confirmant le ministre René Diby, en qualité de chef du village de Lopou, la dissidence persiste que celui-ci a bel et bien été débarqué et remplacé par un chef intérimaire, Gnagne Adou Clément. Au cours d'une conférence de presse tenue le 19 juillet dont nous avons reçu copie, le porte-parole Agnéro Ambroise revient sur les raisons qui ont poussé cette frange de la population à vouloir coûte que coûte se séparer du ministre- chef de Lopou, René Diby .
Le ministre René Diby, chef de Lopou toujours dans le viseur de ses détracteurs
L'affaire de la chefferie de Lopou est devenue un véritable serpent de mer. D'un côté, une administration qui, usant d'un arrêté conformément aux dispositions légales, à savoir le caractère non limitatif du chef ( nommé à vie), confirme le ministre René Diby, chef de Lopou. De l'autre, des populations, conservatrices et qui rétablir la chefferie selon la gérontocratie Adjoukrou, à savoir, un chef tournant tous les huit ans. Arguant donc du fait que le ministre René Diby, désigné par élection le vendredi 18 août 2000 ne peut pas s'éterniser au pouvoir après 23 ans d'exercice, ils ont décidé de le démettre pour faire monter la nouvelle vague des Bodj'l qui ont en charge,en tout cas selon la coutume, la gestion politique du village. "Le village est dans la dynamique de réhabilitation de ses us et coutumes longtemps foulés aux pieds. Le chef Gnagne Adou Clément de la génération Bodj'l a été choisi par ses pairs et installé publiquement sur la place par l'archi- patriarche et doyen d'âge du village Djèdje Akpa Akpro Jean-Baptiste après invocation des mânes dans la liesse populaire. Ainsi, la page Diby René est définitivement tournée et il faut que l'administration comprenne qu'elle n'a pas à nous imposer un chef", peut on lire dans le document relatif à cette conférence de presse. Pour faire simple, il convient de noter que cette destitution tire sa source dans la culture Adjoukrou. Comme le précise en effet ce document, le ministre René Diby aurait été désigné en qualité de chef de village dans des conditions assez calamiteuses, notamment à la suite des élections. Du jamais vu dans la culture Adjoukrou. Mais après 8 ans au lieu de céder le pouvoir, René Diby " revient à la charge et est installé de force par l'administration. En 2020, alors qu'il doit céder son fauteuil, ce dernier négocie et obtient une rallonge d'un an. Mais il ne respectera pas sa parole. Las des roublardises de Monsieur René Diby, le dimanche 11 juin, le village de Lopou a mis fin à ses fonctions en procédant à la désignation de Gnagne Adou Clément de la génération Bodj'l comme chef intérimaire", signifie le porte parole dans ce dossier. Mais l'autre motif et non moins important, c'est qu'on reproche au chef René Diby, son manque de poigne et son indifférence face aux crises qui secouent le village de Lopou. D'abord avec les responsables de la Sodeci. A ce jour, la jeune sous préfecture de près de 30 mille âmes n'a pas d'eau potable. Les populations boivent l'eau de puits. L'autre crise oppose Lopou à son voisin de Youhoulil. Une crise foncière qui a conduit 23 jeunes de Lopou en prison. Et comme le malheur n'arrive jamais seul, une autre crise avec la Saph portant sur une parcelle de 142 ha pour laquelle la société agro industrielle aurait conclu un accord avec le ministre René Diby au mépris des populations. Ce serait la face visible de l'iceberg qui aurait déclenché la colère des populations depuis le 29 mai où les jeunes et les femmes ont pris d'assaut, les locaux de la sous préfecture pour signifier leur ras-le-bol aux "manquements" du chef René Diby. Le 11 juin, cette frange de la population dit l'avoir déposé. Depuis lors, les tractations pour trouver une médiation butent sur l'intransigeance des villageois visiblement déterminés. Pour ces derniers qui ont même " déchiré" l'arrêté préfectoral du 5 juillet, la page de René Diby, chef de Lopou est définitivement tournée. Ils invitent l'administration et même les chefs des 42 villages du Léboutou à se rendre à Lopou pour mieux s'imprégner de leur quotidien.
Gnagne Adou Clément, le choix des opposants de René Diby
Norbert Nkaka (Source: Document relatif à la conférence de presse du 19 juillet animée par Agnéro Ambroise)
Les acteurs et les auxiliaires des transports regroupés au sein du syndicat la Maison des transporteurs de Côte d'Ivoire ( Mtci) ont organisé une importante rencontre le samedi 22 juillet au siège de leur structure, en présence des responsables de la gendarmerie nationale. Soumahoro Mamadou, le président fondateur de la Mtci a longuement décrié le comportement des agents de la police nationale et municipale sur nos routes.
M. Soumahoro Mamadou, très remonté contre les forces de la police nationale et municipale
" Pourquoi tant de difficultés dans le secteur des transports?", tel était le thème de cette rencontre. Abordant ce sujet sensible devant la presse et les autorités de la gendarmerie, notamment le lieutenant colonel Boli Zatté, adjoint au commandant de la 1 ère légion de gendarmerie, Soumahoro Mamadou n'a pas voulu chausser de gant pour fustiger les éléments de la police nationale et municipale déployés sur les routes. "Les transporteurs souffrent surtout à cause des rackets pratiqués par les forces de la police nationale. Aujourd'hui, les éléments de la police municipale sont venus empirer la situation. C'est du jamais vu dans la sous région. Nous sommes victimes de nombreux abus au point que les transporteurs tirent le diable par la queue. Certains sont même obligés de vivre dans des habitations de fortune, incapables d'assurer les charges familiales quotidiennes", condamne t il.
Pour le premier responsable de la Mtci, qui a rendu un vibrant hommage aux forces de la gendarmerie pour leur attitude républicaine et exemplaire, les forces de la police nationale et municipale sont les véritables plaies du système des transports en Côte d'Ivoire à cause des nombreuses tracasseries dont ils se rendent coupables. " Le gouvernement fait tout pour moderniser ce secteur vital pour l'économie ivoirienne mais la police nationale et municipale jettent les transporteurs dans le trou. On est fatigué! S'ils n'arrêtent pas, nous allons prendre nos responsabilités et notre dernier recours, c'est de paralyser la ville d'Abidjan", a t il menacé vertement. Dans la foulée, Soumahoro Mamadou s'en est également pris aux Gnambro qui pullulent la ville d'Abidjan. "Nous allons mettre un système en place pour que ces faux transporteurs ou auxiliaires qui ont pris le transports en otage soient démasqués.
Le lieutenant colonel Boli Zatté
Tour à tour Samaké Bakary, Koné Aboubacar et surtout Yacouba Diakité alias Bozizé, président des conducteurs, se sont élevés contre le racket et les nombreuses contraventions que la police nationale et municipale font subir aux conducteurs. " Le transport nourrit son homme mais les forces de police veulent nous détruire et nous enterrer. Nous ne l'accepterons pas. Nous allons nous lever pour notre indépendance", ont ils frappé du poing sur la table. Prenant à son tour la parole, le lieutenant colonel Boli Zatté a, au nom de ses supérieurs hiérarchiques, salué le sens de l'organisation et surtout la franche collaboration entre les transporteurs et les forces de la gendarmerie nationale. Toutefois, il leur a rappelé la principale mission de la gendarmerie nationale qui est la protection des populations et l'application des lois qui régissent la république de Côte d'Ivoire. " Nous sommes au service de la population pour la tranquillité et l'application de la loi. Nous allons vous accompagner pour garantir la paix", a t il rassuré.
Le maire de la commune de Jacqueville a procédé à l'inauguration de la nouvelle gare de sa cité, le jeudi 20 juillet. Ce futur pôle économique qu'il a façonné grâce à son génie relationnel, était une ancienne décharge, selon le récit du maire Joachim Beugré.
Situé à l'entrée de la cité balnéaire et a quelques mètres seulement du lycée professionnel, la nouvelle gare routière est bâtie sur un espace d'environs 1,5 ha (200m sur 70m). Elle comprend un bâtiment principal de 5 compartiments avec chacun d'un bureau, d'une salle d'attente et d'un quai de stationnement, le tout surmonté d'un grand espace vert servant d'activités diverses. Cet espace entièrement clôturé et éclairé est doté de magasins pour les commerces. Un véritable joyau qui va véritablement booster les activités commerciales d'une cité balnéaire en plein essor depuis l'inauguration du pont Philippe Grégoire Yacé en mai 2015 par le président Alassane Ouattara. " Même on ne mange pas les ponts, les ponts peuvent nous faire manger", avait lancé le maire Joachim Beugré ce jour là dans un discours bien enflammé. Mais cette nouvelle gare qui compte désormais parmi les vitrines de la ville de Jacqueville n'est pas venue ex nihilo. C'est bien le rêve du premier magistrat de la ville qui se matérialise. Joachim Beugré a su user de son génie relationnel pour transformer une décharge logée dans un précipice profond de 3 m en un endroit aussi pittoresque. " Je suis un maire soulagé, comblé. Mon salaire, c'est la satisfaction d'être arrivé à bout de ce trou que j'ai façonné pour qu'il soit habitable. Merci à tous ceux qui m'ont aidé car la mairie n'a pas déboursé un centime", confie t il. Mais comment est ce possible ?
Tout est parti quand Joachim Beugré dest élu maire de Jacqueville en 2013. "Étant maire, j'avais mal de voir qu'à l'entrée de la ville, ce sont des tonnes d'immondices qui vous accueillent. J'ai décidé de changer le visage de ce trou qui existe depuis 1989 à la faveur du bitumage de la route de Jacqueville. Je fais alors dépoussiérer un vieux dossier élaboré depuis 2003 par le maire Avi Adroh et qui fait de cette zone une gare routière. Une expertise diligentée mentionne qu'il faut environ 250 millions de F pour fermer ce trou et envisager la construction de la gare. Le budget communal étant seulement de 149 millions de F. Mais tour à tour, grâce aux relations, je bénéficie du soutien d'une entreprise qui ferme le trou, du conseil pétrole -gaz et d'un soutien de la présidence de la république, notamment le projet à impact rapide des régions ( Pirr) d'un montant de 150 millions de F pour la construction du bâtiment et de l'électrification. Voilà le résultat. Grâce aux relations j'ai pu réaliser le rêve des transporteurs d'avoir une gare moderne, digne", retrace le maire qui ajoute que le ministère des transports instruit, se chargera d'aider à l'achèvement de cette gare par le truchement de l'autorité mobilité urbaine du grand Abidjan ( Amuga).
Mais pour garantir la bonne tenue de cet espace et permettre aux femmes d'y mener des activités génératrices de revenus, un comité de gestion dirigé par Nanga Arnaud a été installé. " Nous sommes heureux et très reconnaissants que le maire pense à nous. Nous n'avions pas de gare routière. C'est un vide qui est comblé", a signifié Avit Christophe, président des transporteurs de Jacqueville qui promet d'en faire un bon usage. Notons qu'en plus de cette nouvelle gare qui sort de terre, les locaux de la mairie entièrement rénovés seront livrés le jeudi 27 juillet.
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Le Commissaire du Gouvernement Ange Kessi a fait ses adieux à l’armée Ivoirienne ce jour, mercredi 18 janvier 2023, prenant ainsi sa retraite après plusieurs années de bons et loyaux services à la nation.
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