Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi | 20/12/2024 | 229 vues
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Seconde Une
Le port du cercueil pour désigner le présumé coupable de la mort des personnes en sorcellerie est une pratique vieille dans les sociétés traditionnelles. Car en Afrique, la mort n'est jamais naturelle. Mais vu les graves conséquences et les dérives graves qui découlent de cette pratique, certaines communautés ont vite fait de l'interdire. Dans le département d'Alépé, certaines populations ont du mal à se départir de cette pratique qui consiste à faire désigner par le défunt, celui ou celle qui l’aurait précipité dans l’au-delà. Et l’octogénaire Ohoussou Kalala, en a payé les frais à Monga, localité située à environ 3 km d’Alépé. Le 14 septembre 2024, à l’enterrement d’un jeune décédé dans le courant de ce même mois, ses amis pour qui cette mort n’est pas naturelle, décident de porter son cercueil afin de démasquer tous ceux qui, tapis dans l’ombre seraient à l’origine de sa mort. Le cercueil sur les épaules avec des incessants tangos, ils se dirigent vers le domicile d’Ohoussou Kalala, 80 ans. Selon nos sources, le cercueil a violemment percuté la mâchoire le vieil homme qui s’est écroulé. Pour les adeptes de cette pratique, c’est donc l’octogénaire qui aurait causé la mort de ce jeune qui respirait la grande forme. Très excités, les jeunes sans aucune autre forme de procès, non contents de l’avoir blessé, pour montrer leur détermination, ont incendié sa maison de sept pièces. Les sapeurs-pompiers civils du centre de protection civile d’Alépé, alertés, se sont rapidement rendus sur les lieux. Mais, à leur arrivée, l’infortuné octogénaire avait été déjà évacué aux urgences de l’hôpital général d’Alépé. Rappelons qu’il y a quelques années, cette vieille pratique avait causé la mort des présumés sorciers dans le département.
Norbert NKaka ( Info : BV)
Samedi 21 Septembre 2024
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Une opération de déguerpissements de la forêt classée de Bouaflé, précisément dans le département de Bonon ( région de la Marahoué), a été entreprise par des éléments de la Sodefor depuis le mardi 17 septembre aux environs de 3 heures. Des milliers de planteurs, des femmes et des enfants en fuite ont envahi la ville de Bonon. D'autres seraient introuvables à ce jours. Selon des témoins sur place, la situation humanitaire est très préoccupante pour ces populations dépouillées.
Selon des sources étayées par le correspondant de l'Agence ivoirienne de presse sur place, c'est le 17 juillet, au cours d'une rencontre que les responsables de la Sodefor à qui est confiée la gestion de ce vaste patrimoine forestier, ont sommé les populations de quitter les lieux, à travers une mise en demeure, sous prétexte qu'une opération de reboisement serait bientôt amorcée, dans cette zone déclarée forêt depuis 1929 mais toujours occupée par les planteurs. Mais les populations des 18 campements installés dans cette forêt depuis près de 80 ans pour la plupart, ont cru à des propos de routine, souvent sans effet exécutoire. Erreur !
Mais voilà que dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 septembre aux environs de 3 heures, les populations sont tirées de leur lit par des fortes détonations et autres déflagrations qui déchirent les forêts environnantes. Un important détachement militaire a procédé à une opération de déguerpissement très musclée.C'est la débandade surtout que certains croyaient à une de ces rébellions. Des cases sont détruites et incendiées, des animaux abattus et des biens pillés. Dans leur fuite, plusieurs blessés sont enregistrés quand d'autres sont encore introuvables. Des invalides, dû à leur âge avancé sont évacués de force. Ainsi les populations des nombreuses bourgades telles Yobouékro Antenne, Petit Gohitafla, Djahakro, pour ne citer que ces localités ont dû braver 30 à 40 km à la marche pour accéder à Bonon.
Dans cette localité, si certains ont pu être recueillis par des hommes de bonne volonté, ce n'est pas le cas pour d'autres. La plupart sont actuellement sans abri. D'autres dorment à la belle étoile et à la merci des intempéries, désargentés. "Nous avons été chassés comme des animaux et tous nos bien pillés. Nous n'avons ni toit 'i habits de rechanges ni argent. Nous implorons me gouvernement à nous venir en aide. Nos enfants écoliers sont à la rue. Ils sont obligés de mendier pour survivre", pleure Brou N'Guessan Georges, le président des jeunes de Yobouékro- Antenne.
La situation des déguerpis de la forêt de Bonon est très préoccupante Car ils sont des milliers de paysans sans abris, exposés à toutes sortes d'intempéries et dangers. Parmi eux des personnes âgées et assez fragiles. À cela s'ajoutent les nombreux écoliers actuellement à la rue, pendant que leurs camarades des autres localités vont à l'école. Certains sont obligés de mendier pour survivre. Mais le contraste, c'est que les écoles déguerpies sont des patrimoines de l'Etat. "Nous avons une école primaire où les enseignants sont affectés par l'État", précise le président des jeunes. Le gouvernement a t il envisagé des mesures recasement des populations et de réaffectations des enseignants et des élèves avant de procéder à une telle opération traumatisante, humiliante et déshumanisante? Ce sont autant de situations qui choquent les populations. Et dire que ces valeureux planteurs participent à leur manière à l'essor économique du pays, il y a plusieurs mécanismes pour leur réserver un traitement digne et humain. Il y va de la dignité de l'ivoirien et de son bien être aussi.
Depuis le mardi 18 septembre, des hommes en tenue auraient effectué une descente dans la forêt classée de Bonon pour y déloger les occupants. On dénombre plusieurs dizaines d'habitations rasées ou incendiées, selon des sources. Plusieurs habitants seraient introuvables ainsi de nombreux biens pillés.
Images d'archives
Selon des sources, cette opération punitive porterait la marque d'un détachement de l'armée ivoirienne mise en mission dans la forêt classée de Bonon où séjournent des centaines de milliers de planteurs, installés pour la plupart depuis les années 70. L'opération s'inscrirait dans le cadre d'un vaste déguerpissement de la réserve de la Sodefor. Selon des témoins, ces populations pour la plupart, auraient été surprises dans leurs campements aux environs de 3 heures du matin par des coups de fusils. Apeurés et traumatisés par la brutalité de cette descente, certains ont regagné la brousse quand d'autres couraient ça et là dans les campements. Ils soutiennent avoir été dépouillés de tous leurs biens par les hommes en armes. Plusieurs parmi les fuyards auraient trouvé refuge à Bonon après avoir parcouru plusieurs dizaines de kilomètres à pied nuitamment. Les moins chanceux sont actuellement introuvables. Sans abri et totalement démunis, Parmi eux, plusieurs écoliers qui fréquentent l'école primaire dans certaines localités. Ceux ci demandent que le gouvernement leur vienne en aide car ils n'ont pas à manger ni de quoi se vêtir. Selon des témoignages rapportés, leur situation est très catastrophique. Nous y reviendrons.
Norbert Nkaka
Le chef du village de Cosrou, dans le département de Dabou, le général Djama Djama Albert, n'est plus à la tête de l'instance dirigeante traditionnelle du village. L'annonce de sa mise à l'écart a été faite par un groupe de patriarches des trois quartiers, au cours d'une assemblée, le jeudi 19 septembre.
Le général de police Albert Djama Djama, chef du village de Cosrou et une frange de la population sont sur la corde raide. Une vague de dissidents soutenus par plusieurs patriarches ( Ebébou), par ailleurs des membres de sa génération, ont décidé de lui tourner le dos au niveau de la gestion des affaires du village. Ce jeudi 19 septembre, ils ont annoncé au cours d'une assemblée tenue sur la place publique du quartier Affr, sa mise à l'écart de la gestion des affaires traditionnelles du village. En clair, ils ne reconnaissent plus le général Djama Djama Albert comme le chef du village de Cosrou, à partir de ce jour.
Dans ce quartier Affr, la prise de cette décision qui sonne comme un putsh ou une insurection, avait l'aspect d'une fête, une sorte de délivrance d'un peuple, longtemps sous le joug d'un chef tyran. C'est en effet une longue procession de patriarches et de matriarches en uniforme et accompagnés, qui s'est ébranlée sur la place publique où un monde en délire attendait. S'ensuit le tam tam parleur dont le bruit sourd et vibrant enveloppe le quartiers. Les milowls des 3 quartiers, à savoir, Mel Fabien ( Affr), Nadi André ( Olikew) et Ganga Joseph (Sébime) prennent place aux côtés des archi patriarches ( Makpékoun) ainsi que d'autres Ebébou, soient une trentaine au moins. C'est dans cette ambiance surchauffée que le porte parole, Affi Kodjo Silas prend la parole. " Ce sont les patriarches qui ont proposé le général Djama Djama Albert qui a été désigné chef du village de Cosrou. Mais il ne reconnaît plus l'autorité de ceux qui l'ont proposé. Il gouverne seul et n'écoute plus personne. Ce qui tranche avec les principes de la tradition. À compter de ce jour, il est écarté de la gestion traditionnelle du village de Cosrou. Nous l'avons destitué. Il n'est plus notre chef. Désormais, nous nous reconnaissons dans les 3 Milowls des 3 quartiers. C'est ce collège de chefs qui va gérer les affaires courantes avant la désignation d'un nouveau chef", annonce le porte-parole Affi Kodjo Silas. Cette annonce a bénéficié de l'approbation du porte-parole des archi patriarches, Kpeb Seydou. " Nous voulons la paix et l'union dans ce village. Le chef Djama Djama Albert nous a déçu. Il a ruiné notre confiance, il a échoué. Il doit démissionner ", enfonce t il. Selon le porte-parole, ces patriarches ont déjà informé les autorités préfectorales et sous préfectorales de la mauvaise gérance des affaires villageoises par le chef Djama Djama Albert.
Dans la foulée, ces patriarches ont rétabli Lekr Bédi Djadja Moustapha, radié depuis plusieurs mois par le chef Djama Djama Djama Albert, dans ses fonctions de chef du quartier Affr. Celui-ci a bénéficié de l'onction de tous les patriarches. " Je suis descendant des premiers chefs de ce village. Mon crime avec le chef Djama Djama Albert, c'est ma sincérité, ma franchise. Il ne supporte pas la contradiction et les conseils. Or un chef doit faire preuve de grande sagesse. Il doit écouter son peuple. Au contraire, le général Djama Djama Albert est devenu un monstre contre ceux qu'il est censé diriger, préférant des menaces et dressant les quartiers les uns contre les autres. Nous voulons la paix, nous voulons être un pour le développement de notre village. Si les patriarches l'ont renié, qu'il ait le courage de rendre le tablier ", réclame le chef de quartier, Djadja Moustapha qui se dit disposé à oeuvrer au bien être des populations de son quartier. C'est à 12 h 45 que la cérémonie a pris fin.
Notons que c'est en 2022 que le général Djama Djama Albert a été investi chef du village de Cosrou, en présence du ministre de la santé, de l'hygiène publique et de la couverture maladie universelle, Dimba Pierre et du préfet de la région des Grands Ponts, N'Zi Kangah Rémi. Mais depuis près d'un an, des patriarches et des jeunes villageois qui n'apprécient pas sa gestion de la chose villageoise, sont entrés en dissidence. Une crise qui enfle et qui amène cette frange d'opposants à annoncer la destitution du chef des affaires traditionnelles de Cosrou. Affaire à suivre.
La ville de Dabou, chef lieu du district autonome des Lagunes, abrite le vendredi 20 septembre, les Assises nationales des femmes de Côte d'Ivoire. À quelques heures de cet événement, les femmes du district autonome des Lagunes se mobilisent pour garantir le succès de ce rassemblement. Yapo Marie France, la présidente du Comité d'organisation que nous avons rencontrée, nous situe sur les enjeux de cette manifestation pour laquelle son équipe multiplie les rencontres dans les trois régions ( Grands Ponts, La Mé et l'Agnéby-Tiassa)
Yapo Marie-France ( au centre) et son équipe à pied d'oeuvre pour la réussite de l'organisation de l'Anafci à Dabou
La Côte d'Ivoire est batie sur les fondements de la solidarité collective et d'égalité. C'est dans cette perspective que les femmes ont mis en place ces assises nationales dénommée Assises nationales des femmes de Côte d'Ivoire ( Anafci). L'objectif est de construire une plate-forme nationale de solidarité féminine, d'influencer les politiques publiques en faveur des femmes, d'établir une chaîne de solidarité, de réaliser l'inclusion au sein des populations et de formuler des propositions concertées à l'État sur la situation des femmes. En clair, il s'agit de fédérer et valoriser les énergies féminines pour le développement de la Côte d'Ivoire.
Selon la présidente du point focal du district des Lagunes, Yapo Marie-France qui nous a déroulé le chronogramme, plusieurs autorités notamment les ministres Pierre Dimba de la santé de l'hygiène publique et de la couverture maladie universelle, Nassénéba Touré de la Femme, de la Famille et de l'Enfant, du ministre délégué des sports et du cadre de vie, Metch Adjé Silas et du ministre-gouverneur, Vincent Essoh Lohoues, sont attendus. Toujours selon Yapo Marie-France, la cérémonie qui va se dérouler sous le coup de 13 heures à la mythique place Bédié de Dabou s'articulera autour de 3 thématiques majeures, à savoir : Femmes, institution politique et espace public, contribution économique des femmes et les femmes dans la Côte d'Ivoire solidaire, enjeux et idéal de société.
Pour garantir la réussite de cet événement, plusieurs rencontres des femmes sont initiées sous la houlette de Yapo Marie-France et son équipe. Plusieurs organisations féminines, des groupes de femmes religieuses, les couches socio professionnelles, des commerçantes... des trois régions qui constituent le district autonome des Lagunes, notamment les régions des Grands-Ponts, de La Mé et de l'Agnéby-Tiassa sont fortement sensibilisées et mobilisées. " La mobilisation est totale. Nous allons inonder la place Bédié de Dabou afin de faire entendre nos voix", nous a rassuré Yapo Marie-France. Notons que cette cérémonie est placée sous le haut patronage du ministre-gouverneur Vincent Lohoues, sous la présidence de la ministre de la Femme, de la famille et de l'enfant, Nassénéba Touré et sous le co-parrainage des ministres Pierre Dimba et Metch Adjé Silas, respectivement ministre de la santé, de l'hygiène publique et de la couverture maladie universelle et ministre délégué chargé des sports et du cadre de vie.
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