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Seconde Une

Le vendredi 4 octobre 2024, le Pr. Ag. Vanga épouse Bosson Abo Henriette a dressé un bilan détaillé de la 11e édition des Journées Nationales des Pharmaciens, qui se tenait à l’Université Polytechnique de San Pedro. Après deux jours de panels enrichissants, son discours a souligné l’importance de la phytothérapie et des thérapeutiques alternatives et le rôle du pharmacien dans ce protocole.


Bilan de la 11e Édition des Journées Nationales des Pharmaciens de Côte d'Ivoire (JONPCI): communication du Pr. Vanga Henriette



En entame de sa communication, le Pr. Vanga a chaleureusement remercié tous les panelistes pour leurs contributions sur des sujets sensibles et cruciaux en santé. Elle a exprimé son enthousiasme pour le thème choisi cette année : « La place du pharmacien dans La phytothérapie et les thérapeutiques alternatives » Ce sujet a été le fruit d'un brainstorming au sein de la commission scientifique, qui a généré près de quinze thématiques potentielles, bien que seules quatre aient pu être développées lors des sessions en raison des contraintes de temps.
« Nous avons dû faire des choix difficiles, mais nous avons priorisé les thèmes les plus pertinents pour notre pratique », a-t-elle déclaré.

Suivi des Recommandations Jonpci 2023

Le Pr. Vanga a souligné l'importance de faire le suivi des recommandations formulées lors de l'édition précédente. Elle a débuté son bilan en se référant aux recommandations émises l’année dernière, dont l'une concernait la nécessité de garder des fonds pour le développement de l'industrie pharmaceutique. Elle a noté que la mise en place de Finpharma répondait à cette exigence.
Concernant la formation sur la chaîne de valeur de l'industrie pharmaceutique, elle a indiqué que l'Ordre avait lancé une réflexion à travers la création d'une commission prospective et industrie pharmaceutique.

Participation et Engagement

Le Pr. Vanga a également souligné l'engagement des participants, mentionnant la présence de 1 300 personnes, dont 491 pharmaciens et 140 étudiants. Elle a salué les efforts des étudiants de l'UFR des sciences pharmaceutiques, affirmant qu'ils avaient été un modèle d'engagement pour leurs pairs.
« Cette affluence est le signe que notre communauté est en pleine effervescence et que les sujets abordés sont d'un grand intérêt », a-t-elle affirmé.

Recommandations Émergentes

Les recommandations issues des différentes tables rondes ont été particulièrement marquantes. Pour la conférence inaugurale, plusieurs recommandations clés ont été notées Soutenir la culture des plantes médicinales, avec un partenariat établi avec le Serena pour des plantations. Encourager la collaboration entre pharmaciens et praticiens de la médecine traditionnelle pour une approche intégrée des soins.

Dans le cadre de la table ronde sur la recherche et le développement, elle a mis en avant la nécessité de : Construire des unités de recherche pour les médicaments vitaux. Renforcer les collaborations entre pharmaciens, praticiens, et autorités de régulation pour garantir la standardisation.
Elle a également souligné l'importance de former les pharmaciens et les patients sur les médicaments homologués.
 
En conclusion, le Pr. Vagan a exprimé sa gratitude envers tous les partenaires, intervenants et participants, en reconnaissant que sans leur soutien, cet événement n’aurait pas eu lieu. Elle a souligné que les recommandations et discussions avaient ouvert des pistes pour améliorer le secteur pharmaceutique en Côte d'Ivoire.

« Ensemble, nous avons la capacité d'apporter des changements significatifs dans notre domaine. Ces journées sont une opportunité pour bâtir un avenir meilleur pour la santé de notre population », a-t-elle conclu.
Ce bilan, riche en réflexions et recommandations, constitue un tournant dans l'engagement des pharmaciens de Côte d'Ivoire vers une meilleure intégration de la phytothérapie et des thérapeutiques alternatives dans leur pratique quotidienne.
Edithe Valerie Nguekam


Tags : Jonpci
Vendredi 4 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le conseil municipal de Dabou a tenu sa 3 ème session ordinaire le mercredi 2 octobre à la salle Albert Kacou Tiapani. Le maire Yédé Niagne a humblement reconnu les difficultés liées à sa gestion des déchets et au très faible de réalisation des projets.


M. Yédé Niagne Claude, maire de la commune de Dabou
M. Yédé Niagne Claude, maire de la commune de Dabou
La ville de Dabou, il faut le dire honnêtement, ploie sous le poids des ordures ménagères. On ne peut franchir plus de 100 mètres sans que l'on ne soit surpris par des tonnes d'imondices, donnant même l'impression d'une d'unité de fabrication de déchets. Naturellement, avec son corollaire de mouches et moustiques, eux mêmes de grands vecteurs de maladies endémiques telles le paludisme et la fièvre typhoïde. À cela il faut ajouter le mauvais entretien des voiries: voies dégradées, rues colonisées par des commerçants aux abords du marché, caniveaux bouchés, rues crevassées ou impraticables... tel est le décor insupportables qui accueille les visiteurs. " Il ne fait pas très bon vivre à Dabou à cause des ordures et des rues complètement dégradées", font souvent remarquer, des visiteurs, avec un air ironique.

Dabou/ Gestion des déchets, faible taux de réalisations, voiries... Le maire  avoue ses difficultés
En effet, lors du conseil municipal, le maire Yédé Niagne Claude, sous l'avalanche des critiques et autres remarques parfois désobligeantes des chefs de quartiers et de communautés, ne s'est pas contenté de les esquiver. Il a humblement reconnu que sa cité ne donne pas fière allure. " Nous faisons ce que nous pouvons avec de maigres moyens pour nous débarrasser des ordures. Nous avons un véhicule vieux de plus de 30 ans qui ne marche plus d'ailleurs. Les tricycles et un vieux tracteur ne peuvent rien devant les ordures qui se multiplient chaque jour ", confesse le maire qui demande la participation des populations à l'aider à assainir la ville, à travers un comportement citoyen. " Ce n'est pas à moi d'aller nettoyer devant vos maisons. Prenons conscience que les ordures entraînent des maladies. On peut les pré -collecter et rendre ainsi les quartier propres", propose t il. Au niveau des voiries, une opération de rechargement lourd et de réprofilage des rues a été entreprise. Mais, au dire de certains chefs de quartiers, plusieurs secteurs ont été ignorés ou sacrifiés. C'est le cas du quartier Grande scierie, Tchotchoraff et des secteurs de Pépinière, pour ne citer que ceux là.

Dabou/ Gestion des déchets, faible taux de réalisations, voiries... Le maire  avoue ses difficultés
En terme de réalisations, tous les 37 conseillers/50, présents se sont accordés que le taux réalisations est en deçà des estimations. Il est seulement de 13 %. " Nous n'avons rien fait de tout ce qui a été prévu. Et je crains que pour le reste du temps pour atteindre 2025, nous puissions réaliser quelque chose", avoue le maire impuissant. À la lecture, deux facteurs ont contribué à cette déconvenue. D'abord, la mauvaise foi des entrepreneurs qui traînent les pieds sur l'exécution des chantiers. C'est le cas de l'espace gastronomique de Bastos où depuis 6 ans, les travaux n'ont guère atteint 60 % alors qu'il devait livrer en 6 mois. Le jardin public attend aussi d'être livré après plus de 7 ans. L'autre facteur est lié à l'état de santé du maire Yédé Niagne Claude au point qu'il n'a pas eu le temps nécessaire pour mettre la pression sur les entrepreneurs.

Dabou/ Gestion des déchets, faible taux de réalisations, voiries... Le maire  avoue ses difficultés
Mais le maire promet de se rattraper. "Nous allons corriger plusieurs facteurs afin que nous puissions nous rattraper", promet il. De fait, la bonne nouvelle, c'est que le conseil municipal bénéficie d'un excédent budgétaire de 356 millions de F. Ce fonds pourrait aider à l'exécution du programme triennal de 2025, 2026 et 2027. Selon les prévisions, il est prévu des rechargements lourds des pistes, les équipements de centres de santé, la réhabilitation du centre culturel, la construction d'un centre multimédias, l'achat d'une nivelleuse, une gare routière et la réhabilitation du fort Faidherbe de Dabou.

Norbert Nkaka


Vendredi 4 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le comité de gestion locale du parc national du mont Péko a tenu une réunion extraordinaire le lundi 30 octobre, dans la salle de réunions de la ville de Duekoué. Au cours de cette rencontre, l'Office ivoirien des parcs et réserves ( Oipr) a décidé d'initier un concours villageois de préservation du parc national du mont Péko où le meilleur empochera la somme de 10 millions de F. 24 villages sont en compétition.


Préservation du parc national du Mont Péko/L'Oipr met 24 villages en compétition pour 10 millions de F.
Le parc national du mont Péko, patrimoine mondial, a été l'objet de pillages monstrueux de la part d'un groupe de riverains conduits par un certain Amadé Ourémi, mis aux arrêts depuis 2013, lors d'une opération militaire organisée par les forces armées de Côte d'Ivoire. Depuis cette date, le gouvernement, à travers le ministère des Eaux et forêts, fait main et pieds pour restaurer ce site. D'où l'instauration d'un concours lancé lors de la réunion du Comité de gestion locale ( Cgl). Ce prix de 10 millions de F CFA met en compétition, les 24 villages riverains du Parc National du Mont Péko. Il convient de préciser que ce patrimoine forestier couvre une superficie de 32 hectares. S'agissant des modalités, ces villages seront évalués aux performances de protection et de conservation de l'environnement à compter de ce mois d'octobre, à en croire le responsable local de l'Oipr, le colonel Zanou Moïse. Le village vainqueur empochera la somme de 10 millions de F CFA, le second partira avec 3 millions de F et le troisième village 2 millions. " A travers ce prix , le gouvernement veut inciter les populations à poser des actes de protection de l'environnement et du cadre de vie", a justifié le colonel Zanou Moïse. Des critères de choix sont, la propreté du villages , le reboisement, la mise en pratique effective de l'agro-foresterie et enfin la mise en œuvre des comités de lutte contre les feux de brousse. Des responsables locaux de défense du parc ont apprécié l'avènement de ce prix et ont promis de tout mettre en œuvre pour une préservation effective du parc national du mont Péko.

Osmose Kahiga ( Correspondant régional)


Mercredi 2 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le meurtre de l'étudiant en Master2, option Anglais, Agui Mars Aubin Déagoué, le lundi 30 septembre au Chu de Cocody secoue les universités et singulièrement la plus grande organisation syndicale, la Fesci. Le secrétaire général de la Fesci, Kambou Sié, cité dans cette scabreuse affaire, est déjà sur des braises d'autant que l'un de ses proches collaborateurs est interpellé. Le gouvernement a pris des mesures conservatoires, interdisant toutes activités des organisations syndicales estudiantines.


Fesci/ Après le meurtre d'un étudiant, Kambou Sié (Sg Fesci) sur la sellette/Le gouvernement interdit toutes les activités des étudiants.
Qui a tué Agui Mars Aubin Déagoué ? C'est cette interrogation qui est sur les lèvres des nombreux ivoiriens qui ont appris avec stupeur et désolation, la mort de l'étudiant en Master 2, option Anglais à l'université Houphouët-Boigny de Cocody. Selon le communiqué du Procureur de la République dont nous avons reçu copie, l'étudiant âgé de 49 ans, Agui Mars Aubin Déagoué alias " Général Sorcier ", a été enlevé puis retrouvé mort par la suite. Plus grave, le corps de l'étudiant portait plusieurs signes de violences physiques. D'où la preuve que Agui Mars Aubin Déagoué qui a été physiquement agressé a succombé à ses nombreuses blessures. Mais qui sont ceux qui lui ont fait subir le martyre avant de lui porter l'estocade? Dans le communiqué, deux indices laissent penser que des responsables de la Fesci ont un lien avec ce meurtre. En effet, Agui Mars Aubin Déagoué alias Général Sorcier, ne serait pas en odeur de sainteté avec le secrétaire général de la Fesci, Kambou Sié, depuis que ce dernier est aux commandes. Pour décrisper cette crise, Kambou Sié met son agent de renseignements, Sidibé Abdoul Karim, mission de " médiation avec Agui Mars Aubin Déagoué ". La rencontre a eu lieu à Cocody-Angré-Pétro Ivoire entre l'émissaire de Kambou Sié et Agui Mars Aubin Déagoué. Et c'est là que ce dernier est enlevé par des individus venus à bord d'un véhicule VTC.

Fesci/ Après le meurtre d'un étudiant, Kambou Sié (Sg Fesci) sur la sellette/Le gouvernement interdit toutes les activités des étudiants.
Dès lors, l'envoyé du secrétaire général de la Fesci n'est pas étranger aux événements qui ont suivi cette rencontre. Que s'est il passé pour que l'étudiant Agui Mars Aubin Déagoué soit enlevé en ces lieux? Sidibé Abdoul Karim a t il pris le soin d'informer la police de l'enlèvement, ce d'autant que Agui Mars Aubin Déagoué répondait à son invitation? Trop de zones d'ombres autour de ce rendez-vous qui rapprochent l'étau contre Sidibé Abdoul Karim et par ricochet le mandataire Kambou Sié. Agui Mars Aubin Déagoué a t il été liquidé par les hommes de Kambou Sié, pour son acharnement contre le secrétaire général de la Fesci? En tout cas, le procureur de la République qui s'est saisi du dossier, entend mettre tout en oeuvre " pour que la lumière soit faite sur cette affaire d'une extrême gravité afin que les auteurs et les complices de cet homicide soient recherchés, interpellés et déférés à son parquet. Dans le cadre de cette même affaire, le gouvernement a pris des mesures conservatoires interdisant toutes activités des organisations syndicales sur le territoire national. On peut le dire, le secrétaire général de la Fesci, très concerné par cette sombre affaire, est sur la sellette.

Norbert Nkaka


Mercredi 2 Octobre 2024 | Commentaires (0)

Le sous préfet de Tinhou ( 15 km dans la sous préfecture de Bloléquin), Abomahin Djama, a été relevé le vendredi 27 septembre et mis à la disposition du directeur des ressources humaines du ministère de l'intérieur et de la décentralisation. Voici l'erreur qui a conduit à la sanction de l'administrateur civil.


Bloléquin/ Le sous préfet de Tinhou relevé.  Ce qu'on lui reproche.
Le sous préfet de Tinhou, Abomahin Djama, arrivé à la tête de cette jeune sous préfecture, par ailleurs le village de feu, le ministre Dagobert Banzio, en 2021, aura juste passé 3 ans à peine. Il a été relevé par le ministre de l'intérieur et de la décentralisation, le général Vandongo Diomandé. Que lui reproche son ministre de tutelle. En effet, selon des sources recueillies sur un réseau social dénommé Tinhou info, l'administrateur civil, du moins le représentant du chef de l'Etat, se serait maladroitement répandu dans une vidéo, fustigeant l'Etat qu'il est lui même censé représenter et défendre. En effet, toujours selon nos sources, dans une vidéo sur les réseaux sociaux, le sous-préfet de Tinhou, Abomahin Djama, lançait un cri de coeur sous la forme d'une interpellation à l'État de Côte d'Ivoire, relatif aux pluies diluviennes qui s'abattent sur le département de Bloléquin, notamment dans la sous-préfecture de Tinhou. Depuis le mardi 24 , la rivière Gba est sortie de son lit, coupant l'accès aux villages de Petit-guiglo, Zouyahi et Tinhou, chef-lieu de la sous-préfecture. " Les crues de la rivière Gba ont envahi les voies d'accès à ces deux villages sur plus de 500 m. Je ne peux plus accéder à ces localités. Et même si j'ai besoin des responsables des villages, ils ne peuvent plus venir dans les locaux de la sous-préfecture, faute de voies d'accès " a dénoncé dans la vidéo sur les réseaux sociaux le sous-préfet Abomahin Djama, avant de s'inquièter " Quels sorts seront réservés aux malades et autres personnes en mauvaise situation, en cas de référencement à un niveau supérieur où le plateau technique est plus relevé à partir du centre de santé de Tinhou ? " a t il interpellé le chef de l'Etat. Une telle attitude qui frise le manque de responsabilité et qui est susceptible d'inciter les populations de ces localités au soulèvement ne saurait être acceptée par l'autorité compétente qui a agi promptement. Ainsi, le sous préfet a t il relevé et remis à la disposition de la Drh pour ce grave manquement. Les populations dit on, implorent la clémence du ministre de l'Intérieur, Diomandé Vagondo pour rétablir le sous-préfet Abomahin Djama.

Norbert Nkaka ( Sources : Tinhou info)


Lundi 30 Septembre 2024 | Commentaires (0)
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